Outlaws, tome 1 : Le cartel des cimes

Club N°49 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique
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Début prometteur pour cette nouvelle série dans l'univers d'Orbital.

On retrouve le dessin et l'ambiance qui ont fait le charme de la série originelle.

Samuel
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Pure BD de SF qui commence en Planet opera et va obligatoirement tourner aussi en Space opera.

Les amateurs vont se régaler, même si cette BD peut se lire indépendamment d'Orbital, elle donnera surement envie de relire la série mère.

Aaricia
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Sympathique et classique, une histoire d'esclave dans le monde d'Orbital dont on pense qu'ils deviendront vite des hors-la-loi.

A lire.

VT
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L'histoire et l'ambiance sont prenantes.

Le dessin me plait beaucoup.

Steph
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Lien : https://mediatheque.lannion...

Premier épisode du spin-off d'Orbital qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu mais je pense malgré tout qu'il est préférable de l'avoir fait ! Dans ce volume la Terre a intégré la Confédération où elle semble très mal acceptée.

Une jeune terrienne, Kristina, va devoir se battre pour sa survie comme d'autres clandestins-esclaves parmi les trafiquants du Cartel des cimes, se défier du racisme antihumain des extra-terrestres, tout en se préservant de la Police de la Confédération bien décider à éliminer le Cartel !

Point négatif : c'est trop court !!

Les dessins sont pleins de détails parmi lesquels il faut déjà reconnaître les différents êtres même si nous ne saurons pas leur histoire et ne pas hésiter à prendre son temps. Les traits ne sont pas très précis mais les nuances de couleurs rendent bien les ambiances et les ressentis des personnages.

L'histoire est très rythmée, les événements se déroulent rapidement, un peu trop même, faisant abstraction du temps qu'ont pu prendre certains faits !

Un volume qui me donne très envie de plonger dans la série Orbital !

#Outlaws #lecarteldescimes #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022

Challenge 50 Objets 2022/2023

Voici mon retour de lecture sur le cartel des cimes, premier tome de la série Outlaws.
Petite précision : il s'agit d'un spin-off de la série Orbital, ce que j'ignorais en la lisant.
Honnêtement, même s'il est préférable de lire la série d'origine, j'ai très bien compris ce tome ci sans avoir l'avoir lu.
Espace confédéré. Année 2779.
Un vaisseau mené par le commandant Grello arrive en vue de l'Astroport de Lugmila.
À son bord : un chargement de clandestins échappés de leurs planètes respectives, qui se voient forcés de travailler six mois pour le terrible cartel des Cimes, mafia qui a organisé leur passage.
Parmi ces hors-la-loi, une mystérieuse humaine, représentante d'une race honnie pour être la dernière à avoir intégré la Confédération.
Taciturne et têtue, elle va se trouver au coeur d'une incroyable lutte de pouvoir d'où le cartel des Cimes pourrait ne pas sortir gagnant. Mais elle, peut-être...
Le cartel des cimes est une bande dessinée de science fiction dont j'ai tout de suite apprécié les dessins et la colorisation. Il y a énormément de détails, les traits sont précis.
L'ambiance parfois lourde est parfaitement retranscrite.
Nous découvrons un vaisseau avec des clandestins dedans. Une humaine, Kristina, différente des autres. Elle va devoir se battre encore plus que les autres pour sa survie.
J'ai trouvé ça mystérieux, intrigant et cela m'a tout de suite plu.
J'ai beaucoup aimé l'univers crée ici, il y a énormément de rythme, impossible de m'ennuyer.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce spin-off et si j'ai l'occasion je lirais la série Orbital.
Ma note : quatre étoiles.

En 2779, un vaisseau arrive à Lugmila, chargé de clandestins. Ces derniers sont embrigadés malgré eux par le cartel des cimes, organisation criminelle locale. Parmi eux, une humaine, originaire de la dernière planète intégrée à la Confédération.
Je commence par un aveu, je n'ai pas lu Orbital (non, ne me jetez pas de tomates). C'est une erreur que je pense réparer assez rapidement. Pas de problème pour appréhender ce spin off, cependant, c'est parfaitement compréhensible.
Je commence par les dessins d'Eric Chabbert, qui créée un univers visuel dense et fort pour cet album. J'aime beaucoup son coup de crayon et la palette gris bleuté avec des touches de jaune qu'il utilise.
Côté histoire, le récit pose les bases d'une rencontre à travers un récit qui montre bien que la cruauté ne se limite pas à la planète Terre. Les autres membres de la Confédération montre bien qu'ils sont eux aussi capables de se livrer au trafic d'êtres humains (et autres). L'histoire aborde aussi par touche d'autres sujet, comme l'intolérance ou la mafia. Mais c'est surtout un récit d'aventure, avec ses personnages au caractère trempé qui vont trouver des raisons de s'associer.
Pour conclure, cet album est une excellente introduction pour un nouveau space opéra. A suivre évidemment.

La sortie de Outlaws m'a permis de m'attaquer à la pile de bd Orbital qui attendait depuis trop longtemps d'être lue. C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai découvert cet univers « Space opéra ». Si j'ai apprécié de lire à la suite l'ensemble de la saga, Outlaws est compréhensible même sans avoir lu Orbital. Dans ce spin-off, Runberg, le scénariste associé avec un nouvel illustrateur nous raconte l'entrée en clandestinité de Kristina, la soeur de Caleb. Dans ce récit rythmé et superbement illustré, la jeune femme sera en lutte incessante pour sa survie et devra affronter le racisme anti-humain des extra-terrestres. A la fois Space opéra et roman noir, Outlaws nous amène à nous questionner sur notre société.