AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,55

sur 103 notes
5
36 avis
4
12 avis
3
0 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un roman historique inspiré d'une histoire vraie, dont la lecture m'a vraiment émue.
Helena, jeune slovaque juive, est déportée à Auschwitz en 1942. Son destin prend une tournure imprévue lorsqu'elle est sauvée de la chambre à gaz par un soldat SS pour qui elle avait été obligée de chanter pour son anniversaire. Ce dernier, Franz Dahler, l'intègre alors à son unité de tri des biens des déportés, surnommée le "Kanada". Amoureux de la jeune femme, bien qu'elle soit à l'opposé des critères nazis, il fera tout pour prendre soin d'elle. En 1947, s'ouvre le procès pour dénazification de Franz Dahler. Assurant seul sa défense, il n'a convié qu'un seul témoin à la barre : Helena.
Bien documenté, le roman décrit le système interne d'Auschwitz concernant cette unité particulière du "Kanada", où les conditions de vie des déportés étaient bien meilleures que dans le reste du camp. Ellie Midwood colle le plus possible à la réalité (la plupart des protagonistes ont réellement existé) et n'épargne ainsi rien au lecteur : certains passages sont donc assez durs à lire.
J'ai donc vraiment beaucoup aimé cette lecture, étoffée d'une note de l'auteur précise sur les faits et personnages historiques cités. Un bémol toutefois pour les éditions Faubourg Marigny : le texte contient beaucoup de coquilles, notamment sur les noms et prénoms des personnages, souvent erronés d'une ligne à l'autre, ce que j'ai trouvé dommage, même si cela n'a pas gâché mon plaisir de lecture.
Commenter  J’apprécie          130
Je suis extrêmement touchée par cette histoire d'amour atypique : celle d'un SS et d'une prisonnière juive.

Je retrouve avec plaisir la plume d'Ellie Midwood pour ce récit ayant à nouveau pour décor le terrible camp d'extermination d'Auschwitz. J'ai aimé que l'auteure nous montre les faits sous un jour quelque peu différent. Bien que la narration soit du point de vue d'Helena durant la période des camps, nous voyons à travers ses yeux la métamorphose de Franz, SS obéissant aveuglément aux ordres sans se poser de question qui petit à petit se rend compte des horreurs perpétrés par ses pairs. J'ai eu envie de croire en l'amour qui rend meilleur, en la possibilité qu'un être change et ose dire ce qu'il pense.

J'ai été touchée par les personnages, par Helena bien sûr, jeune femme qui s'interroge sur ses relations avec l'ennemi, celui qui représente l'anéantissement de son peuple. Sa fragilité m'a beaucoup émue, ainsi que les liens indéfectibles des deux époux. L'attention constante que Franz porte à sa femme pour laquelle il est aux petits soins, son désir véritable de se racheter à travers l'amour qu'il lui porte sont d'une grande beauté.

Ellie Midwwod met en lumière ces jeunes allemands qui ont été enrôlés bon gré mal gré dans cette horreur. Je me suis souvent demandé si les Allemands avaient été appris différemment (à ne pas toujours obéir sans réfléchir, surtout s'ils étaient en profond désaccord), edt-ce sue cela aurait changé le cours de l'Histoire ?

Cela n'excuse rien bien sûr, il y avait des SS qui étaient bel et bien antisémites et prenaient un malin plaisir à faire preuve d'une extrême cruauté. Nous retrouvons par exemple dans ce roman Mengele, mais aussi Moll et Höss, qui eux obéissaient avec joie et se montraient horribles.

Je reste toujours aussi choquée par l'Holocauste et même si j'ai lu de nombreux romans sur le sujet, je suis toujours aussi bouleversée de me dire qu'un homme ait pu faire subir des choses aussi inhumaines à un autre, et au nom de quoi ? Quelle absurdité.
Commenter  J’apprécie          101
C'est le troisième roman que je lis de cette autrice et mon dieu que d'émotions ressenties, à chaque lecture je perds une partie de mon coeur et de mon insouciance. Il faut savoir que ce roman est inspiré d'une histoire vraie et cela rend les choses encore plus prégnantes.

Ce roman aborde la période de dénazification, un processus dirigé par les Alliés au sortir de la Seconde Guerre mondiale et destiné à éradiquer le nazisme dans les institutions et la vie publique allemandes. le Dr Hoffman, psychiatre américain, va devoir faire face à un cas pas comme les autres, il va devoir juger le cas de Franz Dahler, ancien SS à Auschwitz qui va souhaiter être entendu avec son épouse, Helena, jeune femme juive qui était prisonnière dans le camp de concentration ou Franz était gardien. Comment une femme juive peut-elle avoir épousé un ancien SS ? Est-ce réellement de l'amour qui les unit ? Est-elle sous sa coupe ? Souffre-t-elle du syndrome de Stockholm ?

On va donc repartir dans le passé et revivre l'histoire de Franz et Helena, leur rencontre au sein du camp de concentration. C'était dur, très dur comme à chaque fois que cette période de l'histoire est traitée. Mais c'était aussi très beau, je vous laisse bien entendu découvrir l'histoire de ce couple hors norme mais les larmes ont coulé, les questions se sont accumulées dans mon esprit et puis petit à petit, on comprend, on réfléchit, on prend parti et toutes les révélations qui vont être faites durant ce jugement m'ont fortement ébranlées.

L'autrice aborde avec beaucoup de tact les horreurs que certains allemands ont dû perpétrer contre leur gré. Certains hommes du Sonderkommando ont dû escorter des connaissances et même des membres de leur famille dans les chambres à gaz. Les recherches effectuées par l'autrice sont colossales et mettent en lumière un autre pan de l'histoire. C'est un gros coup de coeur pour moi et si vous aimez les romans qui abordent cette funeste période de l'histoire, je ne peux que vous le conseiller, il est vraiment magnifique.
Commenter  J’apprécie          71
Je suis une passionnée de romans historiques, surtout ceux qui parlent de cette période : la 2nde Guerre mondiale.

Mais j'ai trouvé que ce roman apportait autre chose. La façon dont les faits étaient abordés était différente et passionnante. À noter également qu'il s'agit d'une histoire vraie !
Il n'y a rien qui a plus d'impact (selon moi) que des faits qui se sont réellement déroulés.

Au sein des tribunaux de dénazification, les premiers SS sont convoqués aux premiers procès.
Ainsi, nous assistons au procès d'un ancien SS, Franz Dahler.
Mais, étonnamment, la personne qui l'accompagne pour sa défense n'est autre que sa femme, Helena, une ancienne détenue.

Comment leur relation a-t-elle commencée au sein du camp et comment a-t-elle perdurée et évoluée ?

Le procès va permettre de mettre en lumière l'évolution de ce couple aussi surprenant soit-il.

J'ai beaucoup aimé la construction du roman avec l'alternance des chapitres entre présent et passé.
Les parties du passé, nous replonge dans les souvenirs de chacun au coeur de l'horreur. Quant aux parties du présent, on se retrouve spectateur de ce procès.
Entre une Helena qui défend son mari en expliquant certaines situations et Andrej Novak (ancien Sonderkommando) qui est persuadé de la manipulation de Franz sur Helena. C'est également la personne qui est à l'initiative de ce procès.

L'alternance de point de vue fait qu'on s'interroge durant toute la lecture.

J'ai trouvé l'aspect psychologique de ce roman vraiment passionnant !

Un livre que je vous recommande vivement de découvrir. Une pépite

De mon côté j'ai "La fille qui s'échappa d'Auschwitz " de la même autrice, qui vient de rejoindre ma PAL.
Commenter  J’apprécie          50
La fille à la robe rayée d'Ellie Midwood est une histoire romancée tirée d'une histoire vraie.
J'ai beaucoup aimé cette histoire qui alterne entre le jugement, en 1947, de Franz Dahler, SS à Auschwitz, dans un tribunal de dénazification, et le récit d'Helena, juive déportée à Auschwitz, qu'il a épousé à la fin de la guerre.
On suit leur histoire d'amour qui va naitre dans le camp de l'horreur et leur parcours à tous les deux.
C'est un roman bouleversant comme l'auteure sait très bien le faire, j'ai lu ses deux précédents livres tout aussi intéressants.
Commenter  J’apprécie          50
Avouez que ce résumé est pour le moins intriguant… Une prisonnière mariée à son tortionnaire de son plein gré ? On n'a déjà vu des histoires d'amour naître à Auschwitz mais là cela semble tout bonnement impossible ! Et c'est là toute la beauté de ce roman : comment une chose aussi inconcevable a t'elle pu se produire ?

Le côté psychologique tient une place importante dans l'intrigue. Je dirai même que c'est l'élément central. le personnage d'Helena est complexe, insondable et intriguant. C'est une femme qui interroge, qui surprend. Souffre t'elle de troubles mentaux, de troubles dissociatifs de la personnalité, est elle sous emprise ? Il est difficile de la cerner et de comprendre cet amour qu'elle affiche sans honte et qu'elle assume. Cette femme est un mystère que l'on cherche à percer, et pour cela il faut tourner les pages. L'intrigue est passionnante, l'évolution d'Helena est captivante et obsédante. Comment ? Pourquoi ? Surtout que son mari est loin d'être blanc comme neige, ce n'est pas un héro qui sauva des vies. Ce n'était peut être pas le pire des SS, mais c'est loin d'être un humaniste : s'il fait tout pour sauver Helena le sort des autres déportés lui importe peu… Il m'a été très difficile de l'apprécier pleinement dans ces conditions mais c'est ce qui contribuera à rendre cette histoire fascinante. Comment ? Pourquoi ?

Grâce à une double temporalité parfaitement maîtrisée, nous découvrons l'histoire d'Helena et Franz. La partie dans les camps certes horrifiante est somme toute assez classique et similaire à ce que l'on retrouve dans d'autres romans de ce genre. Mais l'autrice tire son épingle du jeu avec ce procès et cette analyse psychologique poussée. C'est une approche originale qui expose des aspects plus méconnus de l'Histoire, qui fait naitre des sentiments contradictoires chez nous. Parce que c'est une histoire d'amour singulière et inconcevable. Et pourtant elle existe même si elle peut paraître déséquilibrée voire pathologique. Néanmoins si l'on a vite fait de juger et de condamner, la vérité est peut être moins tranchée et ce roman pourrait renfermer bien des secrets, bien des traumatismes. Certains passages sont très durs émotionnellement, ils font echo à l'horreur des camps, d'autres sont tout simplement bouleversants. Cette lecture explore réellement les faces cachées de la seconde guerre mondiale, nous pousse dans nos retranchements et nous bouscule. C'était un magnifique roman aux multiples facettes, aux multiples vérités.

Le force de ce roman est le puissant aspect psychologique qui le démarque des autres histoires de camps.
Lien : https://monjardinlitteraire...
Commenter  J’apprécie          51
Allemagne, 1947. Franz Dahler, ancien gardien d'Auschwitz va comparaître devant le tribunal pour son procès de dénazification. Son cas retient particulièrement l'attention du psychiatre Dr Hoffman, parce que le principal témoin pour la défense de Dahler n'est autre que Helena Dahler, sa femme mais aussi une juive anciennement prisonnière d'Auschwitz.

L'autrice nous embarque dans un roman psychologique dans lequel Helena va nous raconter son témoignage sur la vie à Auschwitz, sa rencontre et son histoire avec Franz.

J'ai beaucoup aimé ce roman ! L'histoire est passionnante. Que ce soit la partie historique sur la Seconde Guerre mondiale mais aussi l'histoire de Franz et Helena.

On se pose des questions sur leur relation. Si Franz a l'air amoureux d'elle, il peut être difficile de concevoir que ce soit la même chose pour Helena. C'est ce que va essayer de découvrir le Dr Hoffman. Est-ce de l'amour, de la reconnaissance ou encore de l'emprise ? J'ai rapidement pensé à un syndrome de Stockholm, mais en 1947 il n'avait pas encore été identifiée.

Ce qui est sûre c'est que leur histoire est émouvante et même belle malgré l'horreur qui l'entoure.
La vie à Auschwitz est décrite d'une telle manière que parfois c'est compliqué à lire. Mais c'est aussi très intéressant et instructif.

Cette histoire est d'autant plus impressionnante qu'elle est tirée de faits réels, la majorité de ce qui est décrit ainsi que les protagoniste ont réellement existé

J'ai passé un super moment de lecture. C'est le premier roman de l'autrice que je lis, j'ai apprécié sa plume donc ce ne sera pas le dernier de ses romans que je lirai. Je vais commencer avec « La violoniste d'Auschwitz » dont j'ai beaucoup entendu parler.
Commenter  J’apprécie          40
Ce que j'aime dans les romans traitant de la seconde guerre mondiale, c'est qu'on n'a jamais une impression de déjà vu. On apprend toujours quelque chose, un nouveau volet de cette sombre période se dévoile à nous.

Ici c'est encore le cas avec ce roman inspiré d'une histoire vraie, puisqu'en toile de fond, il s'agit des premiers procès de dénazification en Allemagne en 1947. Je n'avais jamais lu sur le sujet.

A l'aide d'une double temporalité, l'autrice nous fait revivre l'histoire de Franz Dahler et d'Helena. le but du procès ici est de savoir si Helena était consentante ou non dans cette relation amoureuse.

J'ai trouvé cette histoire très intéressante, révoltante et évidemment bouleversante. Une histoire d'amour à Auschwitz entre un gardien SS et une déportée ? Totalement improbable, et pourtant l'autrice s'est inspirée d'une histoire vraie pour imaginer la sienne. Elle nous relate à la fin du roman toutes ses sources.

On découvre ici l'histoire d'Helena, jeune slovaque qui vient d'arriver à Auschwitz, qui est sauvée in extremis de la chambre à gaz pour avoir chanté à l'occasion de l'anniversaire de Franz Dahler. Celui-ci, touché par sa voix, va l'affecter à son Kommando tant convoité, le « Kanada », une unité chargée de trier les effets et objets des personnes gazées, là où les employés bénéficient de conditions de vie supportables comparé au reste du camp.

L'histoire est basée sur les mémoires et témoignages de détenus. Et on ressent là tout le travail de documentation effectué par l'autrice. Elle nous montre ici que l'amour peut être plus fort que la haine, même en ces temps difficiles.

Les personnages sont très bien travaillés, et Ellie Midwood a su les rendre attachants ou détestables selon le cas. L'histoire repose d'ailleurs sur ce côté psychologique des personnages et sur cette ambiance de huis clos à Auschwitz et lors du procès.

C'est une histoire tragique mais émouvante, tant pour les horreurs commises que pour cette idylle au coeur de ce camps. C'est un roman difficile à lâcher tellement on a envie de savoir comment l'histoire va se terminer. J'aime toujours autant la plume de l'autrice.
C'est un coup de coeur pour moi.
Commenter  J’apprécie          40
Helena Citrinova (Kleinova dans le roman ) est une jeune femme juive qui fait partie des premieres femmes incarcérées à Auschwitz, Franz Wunsch (Dahler dans le roman) est quant à lui un jeune SS qui prend ses fonctions de surveillant dans le camp de la mort.
Tous deux vont se rencontrer lors d'une représentation d'Helena qui doit chanter une chanson pour l'anniversaire du SS dès son arrivée au camp. Dès cet instant, Franz va littéralement tomber amoureux d'elle, et tout faire pour la protéger, en commençant par la sauvant de la chambre à gaz où elle était destinée. Helena résiste, elle refuse de pactiser avec le diable. Mais Dahler sait se montrer patient, doux et attentif, et petit à petit Helena se laisse happer par un sentiment d'attachement qui va peu à peu se transformer en sentiments amoureux.
Mais une telle romance est interdite, contre-nature, taboue au sein de ce camp des horreurs ou la mort rode à chaque coin de baraquement.
Et pourtant... c'est bien l'amour, l'espoir, et le soutien qui va les sauver l'un l'autre de l'abime qui menace de les engloutir quotidiennement.
1947, la guerre est finie, les camps sont vides de leur fantômes squelettiques, le temps est à la reconstruction intérieure et aux procès de dénazification. Franz Dalher en tant que SS est convoqué manu militari, et pour mener sa défense il a désigné la seule et unique personne capable de véritablement plaider en sa faveur : sa femme, Helena.
Au fil du recit, on alterne entre chaque période, on suit l'histoire d'helena et celle de Franz, leurs peines, leurs doutes, leurs peurs et leurs douleurs. On suit leur amour, leur rapprochement qui s'opère insidieusement, leurs coeurs qui s'unissent inexorablement.
J'ai beaucoup aimé cette lecture pour son côté véridique puisque les personnages ont réellement existés, mais aussi pour son côté romantique qui apporte cette touche d'espoir, de "douceur" si je puis dire au milieu de toute cette dureté et cette souffrance qui transparait indubitablement systématiquement lorsqu'on se plonge dans un texte qui relate les faits de l'Holocauste.
J'avais déjà été conquise avec l'histoire d'Alma Rosé dans "La violoniste d'Auschwitz" premier titre de l'auteur, et je dois dire que je suis à nouveau très fortement comblée avec ce roman historique qui mêle drame et romance.
Ma note : 10/10 zéro bémol juste un gros coup de coeur
Commenter  J’apprécie          30
MON AVIS : J'ai eu la grande chance de recevoir ce roman lors d'un concours organisé par Babelio et Faubourg Marigny, que je remercie encore pour l'envoi. Pour une passionnée de cette période comme moi, le gain était juste parfait et m'a remplie de joie.L'histoire se situe en 1947, au sortir de la Seconde Guerre Mondiale. Les alliés organisent des procès afin de punir comme il se doit les SS qui se sont rendus coupables de crimes atroces au cours de ce conflit.Alors que les Hauts Gradés nazis sont pour la plupart jugés coupables et condamnés à mort, les SS du bas de l'échelle comparaissent devant un tribunal dénazification.C'est là que Franz Dahler doit obtenir son certificat. Encore faut-il qu'il soit déclaré non coupable. Et quoi de mieux que de faire témoigner son épouse Helena, une ancienne détenue juive d'Auschwitz. J'ai lu pas mal de romans traitant de cette période historique abominable durant ma vie de lectrice, et qui pourtant me passionne.Cela dit, j'ai trouvé celui-ci différent. En effet, il se base sur l'histoire d'amour improbable entre Franz, officier SS et Helena, une juive slovaque. Une histoire d'amour qui s'est terminée par un mariage au sortir de la Guerre. Véritable histoire d'amour à la Roméo et Juliette ou Syndrome de Stockholm ? C'est ce que doit définir le tribunal.J'ai trouvé cette histoire fascinante, mêlant horreurs vécues dans les camps et l'espoir d'Helena survivant à l'enfer grâce à son ennemi, qui n'a pas hésité à prendre des risques pour sauver celle qu'il aime.J'ai beaucoup apprécié la plume de l'autrice que je découvre par la même occasion. Elle a su retracer cette histoire vraie de manière romancée en abattant un formidable travail de recherche.Gros coup de coeur pour moi, et j'ai bien hâte de lire un autre de ses romans
Commenter  J’apprécie          30





Lecteurs (459) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3231 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}