Cela, de la poésie ? Ces mots laids, vulgaires, faciles, ces invectives, ce parti pris ?
On s'étonne par la suite des haines racistes que peut engendrer cette espeçe de « produit… »
. Mais qui provoque, en fait ? Qui sème la zizanie sinon l'auteur ?
Si les Belges aiment ce genre de friture et on sait qu'ils ont un palais plutôt ageusique, libres à eux de lire et d'encenser cette « poétesse » enragée qui ne produit rien d'autre que de la provocation engagée à bon marché.
Cela faisait longtemps que je n'avais lu pareilles billevesées évidemment ultra féministes.
Monde de décomposition.
Je suis furax de lire des lignes que je vous livre. Si je comprends bien c' est en classe, ce sont les profs qui tyrannisent les élèves, sous prétexte qu'ils sont roux,' gros ou puants ou que sais-je ? C'est prodigieusement SCANDALEUX :
Mon fils est gay.
Il a appris que, dès le collège et au lycée,
les meneurs d'ombres, les suiveurs nombres adorent
traquer le petit gibier.
Les roux qui puent, les pauvres qui schlinguent, les grosses
qui suintent et les baltringues.
Les fiottes sucées, les folles tentées, les p'tits pédés coquets, guindés, endimanchés.
C'est le swing des charniers !
Etre tabassé, être humilié, être harcelé, sans se confier !
Jamais, jamais, jamais, jamais !
Etre tabassé, être humilié, être harcelé, sans balancer !
Jamais, jamais, jamais, jamais !
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