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3,8

sur 1069 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
«Va falloir qu'on ait une petite discussion entre quat'z'yeux.»

Pour vous faire un résumé simple : c'est l'histoire d'une femme (Rosie Mc Clendon) qui a subit les sévices de son mari (Norman Daniels), pendant 14 années et qui un beau jour se réveille, commence ses tâches journalières, ... puis « la révélation ». Elle en a assez. C'est sur ce coups de nerf, qu'elle s'empare de son manteau, saisis la carte de crédit de son mari, et fuit le domicile. Lui, flic disposant de ressource, n'est pas décidé à laisser sa femme impunie. Comment a-t-elle pu le voler ? LUI !? C'est sur cette motivation, qu'il commence ses recherches bien décidé à lui apprendre une petite leçon.

Le roman tourne principalement autour du nouveau départ de Rosie. Son travail, ses ami(e)s, un tableau trouvé dans un troc et (bien évidemment), sur l'avancée de son mari. Ce qui est en soit une partie plutôt excitante. Je dirais même, LA plus entraînante des parties.

Garantie suspens, signé Stephen King !
Rosie femme qui prend son courage à deux mains.
Envie de vivre autre chose que la peur, la tourmente, la douleur des coups.
Grandie de son aventure, pourra-t-elle lui faire face ?

Mon point de vue.

Rose est une personne gentille, et à certes usée de courage pour sauter le pas et quitter l'horreur de sa vie quotidienne. Mais elle reste aussi guillerette, et franchement ennuyeuse,... Même ses sautes d'humeurs avaient un coté enfantin très désagréable. J'ai eu envie de la secouer. Pour être honnête j'avais hâte que son mari la retrouve et lui mette une branlée, histoire qu'enfin, elle puisse montrer que ces mois passés sans lui, on servit à quelque chose. Se venger, alors?

Sa nouvelle romance aux « JE TAIME », sucrés de vanille? gnan, gnan.
Quant aux dialogues? Prévisibles. too much.

J'aurais voulu juste un peu plus de consistance dans son personnage. J'ai eu l'impression que du début à la fin, elle ne faisait que « suivre », mais jamais « mener». Et quand enfin elle réagit, c'est à cause de quelque chose totalement indépendant d'elle. D'où ma déception.

MAIS, heureusement il y a Norman. On sait tous dès les premières lignes, qu'il la retrouvera. Sinon le roman n'a aucun sens. Mais alors que lui fera-t-il ? C'est encore plus effrayant que celui-ci sombre peu à peu dans la folie! On sent qu'il à des troubles psychologiques antérieurs. Ceux-ci exacerbés par le départ de sa femme. Rongé par la haine. Attisé par sa colère. Et animé d'une rage dévorante.

Tout ceci, le laissant conscient à mesure de son épopée ; qu'il y perdra probablement tout.
... mais pas avant de lui mettre la main dessus! Et quand ceci sera fait....

Et ça? J'adooore!

Toujours est-il que l'histoire aurait pu être sacrément bonne :

Si Stephen King ne l'avait pas gâché avec ses idées surnaturelles en ramenant un tableau «magique», qui fichera (simplement) en l'air toute la fin/beauté du roman. Et ça sans parler du retournement de caractère soudain de ses personnages. A en éclater de rire . A mon sens, un thème aussi fort que celui-là, avec un antagoniste pareil, n'a nul besoin d'artifice supplémentaire. Pas de grosse bête sortie d'un livre sur la mythologie.

Juste... cette peur viscérale et l'envie d'en réchapper.

Une leçon à apprendre : Celle de survivre.

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Elle, Rose, accepte de se faire salement frapper pendant 14 ans. Pas d'hôpital, sauf urgence (une fois, côte cassée, perforation du poumon), et elle avait intérêt à mentir, hein, salope ! elle est tombée dans l'escalier, on va pas en faire un fromage, non plus.
Alors, appeler la police ? Il est de la police, mal tombé.
Voilà le panorama, dont elle sort au bout de 14 ans : elle fuit, elle a peur, elle se sent coupable, elle part en volant la carte bleue, et ça, elle lui reste au fond de la gorge, la carte, à Norman, lui qui aime tant mordre … justement les gorges.

Il a un savoir vivre : ne jamais frapper ou mordre les parties visibles… sauf quand Rose l'a trop énervé, cette pute. D'ailleurs le monde est déréglé, pense t il avec justesse, car il est rempli de putes et de pédés.
Que les personnes qui pensent pas comme Norman, aient le courage de le dire, il leur parlera « entre quat'zyeux. »

Rose Madder a deux significations : rose garance, ou rose trop folle.
Garance, comme le tableau qu'elle achète ; folle , d'être restée si longtemps avec son tortionnaire de mari, et d'entrer dans ce tableau, devenue Alice ( on apprend page 684 que c'est son 2· prénom),dans lequel elle découvre des merveilles et pas que.

Autant j'ai aimé ( oui) les considérations de Norman , style : « le fait de travailler à trois heures du matin dans une gare routière pour envoyer les épouses en cavale aux putes de « Filles et soeurs » prouvait simplement que le type soit avait pété quelques plombs, soit avait des moeurs sexuelles particulières. Bref, un bon samaritain grand teint format fouille-merde, toujours à courir ici ou là et trop occupé à sauver le monde pour penser à changer de sous- vêtements. »,
ou celles de la directrice du centre d'accueil des femmes battues écoutant l'éloge funèbre de son ex-mari : « Les discours s'éternisaient, chaque « florilège de souvenirs » ( elle aurait volontiers fait passer au peloton d'exécution les trouducs politiquement corrects qui passaient leur temps à concocter des formules pareilles) » alors elle rêve à son propre éloge pas funèbre : « seule femme de sa génération à avoir été aimée et respectée par toutes les tendances des mouvements féministes, pourtant de plus en plus divergentes. »,
autant je me suis franchement ennuyée au récit de la fuite de Rose dans son tableau rose s'inspirant (mal, très mal) de Lewis Caroll, car le voyage dans le tableau est d'une longueur pas croyable et sans intérêt, et, pire encore, quand, guimauve et compagnie, la Rose retrouve un autre homme qui ne casse pas des briques (ce qui prouve bien qu'elle est une salope et voleuse de carte, NON ?).

Stephen King a 73 ans, il a écrit plus d'une centaine de livres, alors je me demande si, dans le cas particulier de Rose Madder, il n'a pas fait appel à trois nègres, qui n'auraient pas eu le temps de lire ce que les autres ont écrit.
Car, finalement, ce qui fait la saveur de ce livre, ce sont les morceaux d'anthologie du machisme ordinaire.
Ordinaire, le Norman, qu'un petit détail, comme un mot ou un habit met en rage et le fait se précipiter sur sa victime, la mordre et l'achever : c'est plus fort que lui, dangereux psychopathe mais dont la psychologie tordue est exposée.
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Il y avait bien un p'tit moment que j'avais lu du King... mon dernier en liste, je crois que c'était It... alors, j'étais resté sur une impression d'ambiance tellement bien menée, des personnages très bien construits et une angoisse qui nous prend et nous lâche pas.... Ce ne fut malheureusement pas le cas avec ce livre-ci. J'ai trouvé beaucoup beaucoup de longueurs et de répétions. Les personnages ne m'ont pas parus attachants et pas cette aura de mystère et de fébrilité que m'ont procuré les précédents livres de King. Un bouquin qui se lit donc bien, mais sans plus. Il a l'avantage de ne plus être dans ma PAL ! ;)
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Après quatorze années de soumission à un mari violent qui la bat régulièrement, Rosie prend soudain conscience, en apercevant une minuscule tache de sang sur son drap de lit, du désastre qu'est devenue sa vie conjugale avec Norman Daniels. Dans un élan de courage imprévu, elle quitte la maison, n'emportant que son sac à main, les vêtements qu'elle porte et 350 $, qu'elle retire du compte en banque de son mari.

Arrivée dans une ville inconnue, à 900 kilomètre de chez elle, Rosie se sent complètement paumée. Heureusement, une bonne âme lui donne l'adresse d'un foyer pour femmes battues.

Chez "Filles et soeurs", Rosie se reconstruit progressivement, physiquement d'abord, mais surtout psychologiquement.

Seulement, Norman Daniels considère sa femme comme un objet lui appartenant. Et Norman déteste perdre ce qui lui appartient. Et cette histoire de carte de banque que sa femme a utilisée ne lui plaît pas du tout... Obsédé par ces pensées qu'il ressasse continuellement, Norman se lance aux trousses de son épouse et, puisqu'il est flic, la filature s'avère aisée.

Entre-temps, Rosie a quitté "Filles et soeurs" pour aller vivre dans un petit studio. le premier objet qu'elle achète pour meubler son intérieur est un étrange tableau représentant une femme debout sur une colline et scrutant les ruines d'un temple antique. Au dos de l'étrange tableau, une inscription au fusain: Rose Madder.

Et si ce tableau aidait Rosie à se débarasser définitivement de Norman?



Une fois n'est pas coutume, c'est une histoire poignante que nous livre Stephen King. Même si le côté fantastique, marque de fabrique de l'auteur, est bien présent, c'est avant tout l'histoire de Rosie, ce côté humain du récit, qui choque et fascine à la fois.

Dès les premières pages, on entre dans le vif du sujet et on comprend tout de suite la nature exacte de la relation entre Rosie et son mari, Norman. le drame des femmes battues, tel qu'on le connaît tous instinctivement grâce à la presse, aux témoignages de certaines femmes particulièrement courageuses, est bien là: Rosie reçoit des coups depuis des années, mais reste là. Comme si partir, quitter cet époux violent ne servait à rien. Et dans le cas présent, on finit pas penser la même chose: Norman est flic et on se doute que si sa femme le quitte, il finira par la retrouver et par lui faire payer son élan de révolte.

On finit donc par s'identifier complètement à Rosie et par ressentir une véritable terreur au fil du récit. Alors que la jeune femme se rétablit tout doucement loin de l'enfer de son couple, King nous ramène dans l'ancien domicile conjugal et nous livre les réflexions et les faits et gestes de Norman: on comprend, avant Rosie, que Norman va forcément la retrouver et cela fait froid dans le dos. Surtout que ce type est cinglé!

Toutefois, le roman a un inconvénient: sa longueur. Certains passages sont extrêmement détaillés (trop, peut-être?) et le fait de les relater le même épisode d'abord du point de vue de Rosie, puis de celui de Norman n'arrange les choses.

Le passage du roman relatant l'aventure de Rosie au sein de son tableau est également très long, très détaillé et plutôt inutile. J'avoue sincèrement avoir lu cette petite centaine de pages en diagonale: au début, j'ai suivi le récit, après j'ai sauté des passages. Cela m'arrive rarement, en particulier avec un auteur comme Stephen King, mais cette longueur m'a ennuyée et j'avais envie de savoir ce que mijotait Norman, alors trois pages de description des murs d'un temple...

Rose Madder était donc une bonne découverte, même si je ne le considère pas comme l'un des meilleurs King que j'ai lu.
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Avec Stephen King, auteur que j'apprécie énormément, c'est toujours tout l'un ou tout l'autre, et bien là c'est tout l'autre, je n'ai pas vraiment été satisfaite de ma lecture.
Nous suivons Rosie, qui est mariée avec Norman depuis 14 ans et qui subit sa violence quotidienne, au point de se retrouver à plusieurs reprises hospitalisée pour "chute dans les escaliers ou porte de salle de bain entrouverte pendant un réveil nocturne", et un jour, une simple goutte de sang sur les draps va la faire réagir, elle quitte Norman et part.
Oui mais voilà, on ne quitte pas Norman comme ça, flic de son état, il va tout faire pour la retrouver et bien évidemment il va la retrouver.
Ce livre et son histoire aurait pu être intéressants, même avec sa partie fantastique que je laisserai aux futurs lecteurs le plaisir de découvrir n'est pas déplaisante, mais que de longueurs dans ce pavé, il tourne en boucle, mais pour pas grand chose au final.
J'ai lu ce livre assez rapidement car l'envie qu'il se passe enfin quelque chose m'a motivé, mais au final, même la fin m'a déçue.
Je ne recommanderai donc pas ce livre, mais resterai fidèle à cet auteur qui arrive à me surprendre très souvent.
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Rose Madder, on me l'avait quelque peu vendu comme l'un des tous meilleurs de Stephen King. Il est peu de dire, qu'au final, je sors de cette lecture déçue.

Rose est une femme blessée, physiquement, moralement et humainement. Cela fait 14 ans qu'elle subit les violences de son flic de mari. Sans broncher, sans se plaindre, sans se confier à qui que ce soit (qui la prendrait au sérieux d'abord ?)
La scène qui inaugure le roman a d'ailleurs été très difficile à lire pour moi, j'avais mal dans mon corps comme Rose devait avoir mal dans le sien.
Puis un matin, sur un coup de tête (sans mauvais jeu de mots) , Rose décide de partir. Sans rien ou presque, partir car sa vie en dépend, fuir maintenant car plus tard elle n'aura plus ce courage et elle le sait. Mais son mari la laissera-t-il à sa nouvelle vie aussi facilement ?

J'ai beaucoup aimé la première partie du roman, j'ai aimé suivre Rose dans sa nouvelle vie, à la reconquête d'elle-même. J'ai aimé cette force en elle qui lui a permis de quitter son tortionnaire pour ne plus se retourner. Puis, pile au milieu du bouquin, on est chez Stephen King quand même, ça vire vers du fantastique. Je n'ai rien contre le fantastique, mais là, pour moi, ça ne l'a pas fait. J'ai trouvé ça ennuyeux et lourd, j'ai même lu en diagonale certains passages. Il y a encore eu des choses qui m'ont intéressée après dans le roman mais je n'ai pas aimé ce virage vers le fantastique qui a davantage plombé ma lecture qu'autre chose. Dommage...

Stephen King ne sait pas faire court (ses nouvelles ont généralement la taille de romans), et pour ma part, justement, j'aime qu'il prenne son temps, j'aime ses longueurs. Sauf ici, c'est là aussi que cela pêche selon moi.

Bon Stephen, sans rancune, j'en ai encore pas mal à lire de toi. Après cette petite conversation entre quat'zyeux, je suis sûre que le prochain me plaira davantage.


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Ai-je mal choisi le moment de lire cette histoire?
Je ne sais pas mais j'ai eu du mal à accrocher malgré que je sois fan du King en général, et les critiques élogieuses des babeliotes...

J'ai trouvé le début engageant mais ça c'est relativement assez vite épuisé; environ à la moitié du livre. Je m'attendais à mieux lorsque Norman, le mari, se rapproche de Rose pour se venger.
J'ai trouvé l'histoire d'amour un peu cul-cul...
Et puis le côté "fantastique" (que je ne dévoilerai pas mais ceux qui l'ont lu savent de quoi je parle) ne m'a pas plu non plus.
Bref, pas vraiment déçue mais c'est loin d'être le meilleur bouquin de Stephen King pour moi.
Mais ce n'est que mon avis...
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Résumé - 4e de couverture : Quatorze ans de mariage, quatorze ans de mauvais traitements : toute la vie de Rosie. Un enfer ! Doublé d'une obsession : fuir son tortionnaire de mari, flic jaloux, bourreau sadique, prêt à la massacrer à la première occasion. 900 kilomètres suffiront-ils à la préserver de Norman ? Qui donc pourrait lui venir en aide ? Personne en ce monde. Mais il existe un autre monde. Celui de Rose Madder. Cette femme n'est peut-être qu'un personnage de tableau, une hallucination. Elle possède pourtant un pouvoir étrange. Un pouvoir dont Rosie pourrait profiter. À moins qu'en traversant la toile, elle ne déchaîne l'apocalypse...
Après Jessie et Christine, le plus génial explorateur des zones obscures de notre inconscient se glisse une fois encore dans la peau d'une femme à l'âme fêlée, habitée par la peur. Cette peur qui conduit aux actes les plus fous, aux passions les plus noires.

En rentrant dans le récit, j'ai entendu les voix mêlées de Stephen King et de Roddy Doyle. Ces femmes battues. Mais j'ai tellement aimé "La femme qui se cognait dans les portes", de Dublin, d'Irlande, de Roddy Doyle que le récit de ce qui arrivait à Rose dans ce "Rose Madder" m'a paru.. sans goût.

Bien sûr qu'il y a rien de commun entre un roman "social" et un thriller mâtiné de fantastique, ni entre un écrivain Irlandais de Dublin et un écrivain hyper-prolifique Américain du Maine. Mais voilà. C'est ma faute. J'ai bien sûr quand même aimé le Stephen King, mais voir cette femme qui va être poursuivie et quasi retrouvée par un mari policier sombrant dans la psychose...... et voir comment il torture et tue chacune des personnes que Rosie aura croisées est difficile. le voir humilié par des femmes du foyer d'accueil, etc, c'est jouissif. Mais malgré le fait que ça soit "du Stephen King", je ne peux pas m'empêcher de trouver des invraisemblances, surtout dans ce qui est propre à la sécurité des femmes recueillies en ces foyers pour femmes battues.

Mais il s'agit d'un roman. On voit Rosie entrer dans la nouvelle vie qu'elle s'est choisie, aidée par les femmes du Foyer "Mères et Soeurs", on en voit quelques-unes le payer de leur vie. Norman est devenu fou. Les chapitres s'entremèlent entre la voix de Norman et la voix de Rosie. Arrivée au derniers tiers, je vois que lle rythme s'emballe enfin, et la magie entre en scène, aidant Rosie à gagner de la force. Mais cette force, cette rage peut être à double-tranchant.

Un Stephen King de 1997, toujours bien écrit, bourré de rebondissements, mais j'ai eu du mal à m'attacher à l'héroïne et à ses amis. Probablement parce qu'à l'arrière de mon cerveau, j'entendais la voix de Paula Spencer, et celle de toutes les autres, mortes ou encore vivantes, en danger.

Rose Madder - Stephen King, Albin Michel 1997, J'ai lu (plusieurs rééditions), 601 pages.
Lien : https://melieetleslivres.wor..
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Comme souvent chez Stephen King, la lecture est addictive. J'ai aimé l'histoire et le personnage de Rose est attachant. le passage dans un monde "parallèle" est lui aussi intéressant.
Par contre, les 100 dernières pages du roman (qui en compte 600 tout de même) m'ont déçues et j'ai presque failli décrocher. Mais cela reste un bon Stephen King.
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Un livre angoissant. Un personnage principal auquel on s'attache et qu'on soutient face à un "vilain" vraiment effrayant. L'histoire "humaine" m'a beaucoup plu : Rose, battue depuis des années par son flic de mari, a un beau matin une prise conscience et décide de fuir ce foyer toxique. Son époux, lui, se lance à sa poursuite, bien décidé à se venger.
Une histoire surnaurelle vient se superposer à tout cela, mais il me semble qu'elle n'est qu'un prétexte, la marque de l'auteur.
Ce qui m'a déplu, toutefois dans ce livre, je dois le dire, c'est la longueur de certains passages et la répétition encore et encore des mêmes réflexions. de sorte, qu'on a l'impression de relire plusieurs fois le même passage.
Si j'ai été totalement prise dans les 150 premières et les 150 dernières pages (à peu près), l'entre-deux si explicité n'était pas, à mon sens, nécessaire.
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