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4,01

sur 5162 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'ai rien compris à cette histoire.
Retenu par quelques bons mots, attiré par une ou deux éclaircies entraperçues ici et là, j'ai pourtant poussé héroïquement jusqu'au milieu du livre. Mais, toujours finalement, je me suis retrouvé égaré dans ce récit abscons, énigmatique, indéchiffrable !!!! Un texte cabalistique dont il me manquait les codes pour en comprendre toute la signification…
Je préfère me souvenir de la légèreté, de l'imagination débridée et de l'effronterie des trois premiers tomes ; de la maladresse légendaire d'Ophélie, de ses lunettes rondes et de son écharpe revêche ; du désespoir de Thorn dissimulé derrière son excessive rigueur ; de la sublime Bérénilde et sa grâce de cygne ; de l'acariâtre tante Roseline, et de la mémoire défaillante de Farouk ; de tous ces mondes et personnages colorés, insolents et si drôles…
Nom d'une soupière ! Christelle Dabos a pris une autre direction en me laissant au bord du chemin…
J'ai lu ce livre, ou plutôt essayé, en compagnie de Srafina, de fifrildi, et de Nadou. Je vous invite à lire leurs billets, peut-être un peu plus enjoués ou compréhensifs.
A bientôt.
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Je précise en introduction de cet avis que je fais partie des rares lecteurs les moins convaincus par la saga de Christelle Dabos. Si j'ai reconnu au tome 2 de vraies qualités narratives de par le rythme, le traitement des personnages et le volume d'aventures, le tome 1 m'avait semblé longuet, le tome 3 particulièrement chiant et peu crédible et le tome 4, et bien, c'est un cas avéré d'abandon après m'être accrochée autant que j'ai pu pour dépasser la moitié du récit.

Je me suis vraiment ennuyée, j'ai complètement perdu la cohérence de l'univers des arches et de l'histoire ésotérique autour de l'Autre et de Dilleux. Ophélie m'a royalement tapé sur les nerfs, je n'ai ressenti aucune empathie pour elle, les personnages secondaires m'ont paru encombrants au possible et j'en ai rapidement eu marre de ne rien capter à l'histoire.

Pour ne pas mourir bête, j'ai lu le dernier chapitre et comme le dénouement ne m'a pas non plus convaincue, je me sens totalement absoute de cet abandon en cours de route.


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Je m'étais offert ce livre à la sortie pour accompagner mon séjour à la maternité. Si tout se passe comme la première fois, j'aurais tout le temps de. pensais-je. Sauf que. La vie s'passe rarement comme prévue et j'ai hérité d'un petit d'homme refusant de quitter les bras.
La tempête des échos, d'une main, c'est lourd.
Et puis.
Ayant moins aimé le volume précédent (enfin je crois) je n'avais pas envie de le relire. Erf. J'aurais peut-être dû, les premières centaines de pages ont été très difficiles. Impossible de rentrer dedans. Qui sont donc ces fichus personnages. Des faux roux, des dames aux gros yeux. Pourquoi ponctuer en anglais ? Et aucune carte de début de volume. Juste un résumé succinct, inutile.
J'ai donc traîné
Traîné
Traîné
La romance Thorn/Ophélie à mes yeux toujours aussi peu crédible. J'accumulais les handicaps.

Et puis Ophélie est rentrée à l'observatoire des déviations
J'ai enfin trouvé la mélodie à un tiers du livre.
C'est devenu plus sombre, plus désanchanté.
Les pages ont enfin volé vite comme j'en avais l'habitude dans les autres volumes.
Je reste ceci dit déçue.
Après un deuxième tome dont j'ai trouvé la construction percutante, des personnages aux deux premiers livres très attachants, on oublie sauf  pour le bouquet final Archibald, Berenhilde, Renard ou Farouk (pour n'en citer qu'eux). Et on se dit pourquoi tout ça, tout ce qui s'est construit avant, si c'est pour les occulter in fine. Et partir vers un chemin droit sans beaucoup regarder en arrière.
Comment un univers aussi prometteur me laisse de marbre et déçue en fin de saga ?

Sans doute parce que je ne suis que Lecteur. Il ne m'appartient pas de créer ces mondes que je lis. Mais je suis un lecteur rêveur, j'aime les sagas qui m'emportent jusqu'au bout.
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Ma lecture de la Tempête des échos a été très laborieuse et s'est soldée par un échec. Les longueurs et les questionnements métaphysiques m'ont assommée et j'ai abandonné ma lecture aux trois quarts.
Je rédige donc mes impressions sans connaître la fin de cette tétralogie et je ne suis pas certaine d'avoir le courage de l'écouter en livre audio (disponible en mars) pour en connaître la fin. Grosse déception.

Ce dernier tome reste un mystère, un pur point d'interrogation. J'ai énormément peiné dans les longueurs et les méandres de cette intrigue. La quête des personnages devient chaotique et on a le sentiment de s'enliser dans les explications abracadabrantes. Ophélie et Thorn sont mus par des questionnements sans cesses plus métaphysiques et éloignés des deux premiers volets : incompréhensible. L'intrigue sombre dans la noirceur, on s'éparpille et les personnages auxquels nous nous étions attachés précédemment sont délaissés au profit des tribulations (toujours plus nombreuses) d'Ophélie.

C'est comme s'il y avait eu une scission entre les deux premiers et les deux derniers tomes : comme si l'auteur avait profondément changé lors de l'écriture de ses romans.
Lien : https://lespagesdesam.wordpr..
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J'attendais avec impatience la conclusion des aventures d'Ophélie et de Thorn et... quelle déception !

L'intrigue est compliquée, ça n'avance pas, le dénouement est tarabiscoté et "injuste", et pour couronner le tout, je ne suis même pas sûre de vraiment avoir tout saisi, mais je me suis tellement ennuyée !!!

Il y a de bonnes trouvailles cependant, comme l'infiltration d'Ophélie chez les inversés, et l'évolution du personnage d'Elisabeth aussi est intéressante. Mais pas assez pour sauver l'histoire, et franchement, même si à la fin, je préfère comprendre qu'Ophélie a trouvé un moyen de rejoindre son mari, ce n'est que suggéré et je n'adhère pas du tout !

Bref, une triste déception pour moi, qui jette du coup une ombre (ah le jeu de mots !) sur l'ensemble de la série. Avoir si bien démarré et finir comme ça, franchement, elle est abyssale ma déception !
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Mon Dilleux, quel fiasco! Tellement de blabla pour ne rien dire... Si l'on retirait tous les questionnements inutiles et les paragraphes qui traînent en longueur pour se concentrer uniquement sur l'action, l'histoire tiendrait sur 200 pages à peine, ce qui lui aurait peut-être donné meilleure allure. J'avais parfois l'impression que l'auteure se forçait à ajouter des mots, comme si (essayer d') atteindre les 700 pages lui avait été imposé. Ce quatrième tome fut, pour moi, imbuvable et m'aura retiré tout plaisir de lecture.

L'intrigue était mal construite. Christelle Dabos ne maîtrise pas les codes du suspense pour nous transporter dans son enquête avec ses personnages et nous faire trépigner d'impatience à l'idée d'en résoudre le mystère. Ceci, sûrement parce qu'elle ne savait pas où elle allait lorsqu'elle a démarré sa saga. Rien de grave mais cette saga aurait dû s'arrêter au tome 2 selon moi, les deux derniers étant particulièrement ennuyeux. On ne retrouve plus du tout le lien avec Les Fiancés de l'Hiver et sa richesse, tant au niveau de l'histoire qu'au niveau du style qui s'est totalement dégradé, les seules métaphores se limitant désormais à "coup de lunettes", expression que je trouve vraiment pas terrible. le Harry Potter français, mon oeil. C'était tout à son honneur de vouloir s'inspirer de la plume de Rowling mais ça ne relève absolument pas de la même qualité littéraire.

Que dire sur Ophélie? Rien de plus que ce que j'avais déjà évoqué pour les autres tomes... Je me doutais depuis le début qu'un des deux protagonistes allait disparaître mais le coup des doigts, ça, je ne l'ai pas vu venir. Quel acharnement! En plus d'être indigeste, ce pavé me laisse un goût amer avec cette amputation sordide.

J'aurais bien aimé retourner au Pôle, retrouver Bérénilde, Farouk ainsi que les autres personnages et l'ambiance de fond qui en découlait. Et bien sûr, découvrir les autres arches! Mais je resterai sur ma faim. Pas assez d'imagination malheureusement. En même temps, il en faut pour créer tout un univers! Bien contente d'avoir fini ma lecture. L'Envers et l'Endroit, pff. Tellement dommage d'inventer un système d'arches flottantes pour finalement aboutir à un monde plat comme le nôtre.

Le vrai problème dans tout ça, c'est qu'Ophélie est une projection de Christelle Dabos. En version améliorée, peut-être, ou plus excitante mais les similitudes entre les deux personnages sont fortes. Or Christelle Dabos ne s'aime pas. Par conséquent, elle n'aime pas Ophélie. C'est pourquoi elle la maltraite autant. J'ai enfin trouvé le terme pour qualifier cela : c'est du self-insert.

J'avais visionné une interview de l'auteure où elle expliquait avoir eu toutes les peines du monde à écrire sous la contrainte du temps et hésité à renoncer à l'écriture. Ce dégoût se ressent dans ses mots... et forcément aussi dans la lecture. Plus de plaisir d'écrire, plus de plaisir de lire. C'est dommage. Je pense que sans la contrainte des éditeurs, Christelle Dabos aurait pu produire bien mieux. Après tout, le premier tome démarrait plutôt bien. C'est quand même courageux d'avoir poursuivi jusqu'au bout et de ne pas avoir abandonné.

Encore une fois, j'ai été le dindon de la farce avec cette saga, me laissant séduire par toutes les éloges mentionnées à son égard. Gallimard avait misé sur Christelle Dabos. Forcément, il leur fallait rentabiliser avec beaucoup de bruit. Quoi de mieux que de comparer cette oeuvre à Harry Potter pour se récolter tous les lecteurs inconditionnellement fan des aventures du petit sorcier à lunettes? de la publicité mensongère, voilà ce que c'est.

La passe-miroir n'a pas réussi à me convaincre. C'est une saga qui ne m'a absolument pas fait rêver. Mes sous auront servi à remplir les poches de Gallimard, et peut-être des employés qui aspirent à produire de meilleures ouvrages...
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Déception !

Plus de deux ans après avoir lu le troisième tome, j'ai eu un peu de mal à retrouver mes repères et j'ai même commencé la lecture avec une légère réticence car je redoutais que l'intrigue ne prenne une tournure déplaisante (où les manipulations mentales ne prendraient trop de place par exemple).

Et ce pressentiment était justifié : le récit a pris une direction qui ne m'a pas plu du tout et j'ai eu l'impression de me faire balader pendant tout le roman. L'auteur use et abuse de procédés qui lui permettent de faire tout et n'importe quoi en nous assenant (à plusieurs reprises et longuement) des théories sur les échos, les cristallisations, les compensations, etc : les personnages sont enfermés, manipulés, conditionnés, on revisite le passé dans des flash-backs répétitifs, on est projeté dans des mondes alternatifs en négatif ou en blanc dont on ressort "réparé" ou avec une révélation, les jours et les semaines écoulés dans une cellule se révèlent n'être que des heures, etc. J'ai horreur de tout ces tours de passe-passe qui me laisse avec la désagréable impression de m'être fait manipulée de bout en bout.

Et puis ce qui était mis en place à travers des intrigues secondaires dans les précédents tomes n'est pas exploité dans ce dernier épisode, ou de façon si bâclée qu'on ne comprend pas l'utilité de ces autres pistes (sauf pour remplir des pages ?). Ainsi on perd de vue des personnages secondaires qui semblaient pourtant devoir occuper une place non négligeable dans la résolution du mystère de l'effondrement des arches. C'est à se demander si l'auteur n'a pas perdu le fil de ce qu'elle voulait raconter...

De la même façon, le dénouement m'a carrément déplu. Je suis une adepte du happy-end, et là on en est loin. D'accord, la menace qui mettait en péril l'avenir du monde a été éradiquée, mais la fin n'est pas heureuse pour l'héroïne même s'il reste une toute petite lueur d'espoir. Et là on se demande si l'auteur ne se ménage pas une ouverture vers un possible cinquième tome ? du coup, je me sens encore plus flouée : celui-ci devait être le dernier tome...

Enfin bref, je ne l'ai lu jusqu'au bout que pour savoir "qui était le coupable" : je me suis forcée à continuer, sautant quelques lignes ici ou là, levant les yeux au ciel ou marmonnant contre l'auteur. Et tout ça pour être complètement frustrée par cette fin hautement insatisfaisante.
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je suis très déçue par ce dernier tome... je m'attendais à tellement mieux de la part de l'auteur. Si vous avez apprécié les 3 premiers tomes de Christelle Dabos, passez votre chemin sur ce dernier tome. Vous serez très déçus !
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Autant j'avais apprécié l'originalité de cet univers, l'imagination et la créativité de l'autrice sur les 3 premiers tomes, autant j'ai été très déçu par la fin du dernier roman.
Tellement déçu que je ne lirai sûrement pas d'autres romans de cette écrivaine.
3 tomes plein de promesses et un 4ème qui ne les a pas tenu.
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J'ai rarement été autant déçue: j'attendais ce livre avec impatience. Pour ne rien gâcher, j'ai relu voir dévoré les 3 premiers tomes et je commence le 4 .... c'est long long parfois addictif mais souvent lent, brouillon et sans intérêt ... j'ai même arrêté la lecture pendant plusieurs semaine pour finalement le terminer et aller jusqu'au bout de cette histoire...les 50 dernières pages sont les pires...
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