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3,56

sur 519 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bon, c'est finalement assez rare lorsque je passe à côté d'un roman...
Pourtant, j'avais envie de le lire depuis sa sortie.

Alors, est-ce parce que je l'ai lu en livre audio ? Est-ce les passages sans retenu sur la sexualité qui m'ont dérangés ? Je n'ai d'ailleurs pas compris l'intérêt de ces passages.

Je n'arrive même pas à résumer ce livre tant cela part dans tous les sens et s'approche trop souvent d'un univers loufoque.
Même s'il y a beaucoup de références qui m'ont fait sourire, il y a aussi beaucoup de longueurs.
Bref, j'ai vite perdu le fil, je suis pourtant arrivée à la fin d'une douzaine d'heures de lecture avec la voix agréable du lecteur et un effort dans le changement d'intonation.

Je vous laisse donc vous faire votre propre opinion.
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après un départ en trombe , ce roman foisonnant s'annonçait pour moi le roman de l'année . Sitôt embarquée dans la recherche du diamant Ananke volé en Ecosse dans le coffre de Lady MacRae. je piaffais déjà Quand vous saurez que la Lloyd compagnie d'assurances fort célèbre et Lady MacCae chargent John Shyloch Holmes éminent héritier de Shelock de le retrouver coûte que coûte vous pensez bien que cela ne pouvait que bouger !.
Holmes va s'adjoindre son majordome Grimod ,son ami le richissime dandy Martial Canteret et la gouvernante de ce dernier.
Tout le monde est prêt ? Voilà c'est parti .
Pleins d'histoires annexes , pleins de personnages dont on se demande leur rôle dans le déroulement du récit mais bon c'est une fiction une vraie laissons - nous porter: 200 pages foisonnantes allez 250 p et la baudruche se dégonfle les énumérations n'arrêtent pas cela m'est devenu vite lassant le plus souvent obscur et les références dithyrambiques sur le monde de Jules Verne ont confirmé que je m'étais fourvoyée .....dommage dommage mais il y a tant de lecteurs qui aiment Jules Verne que ce roman se doit de trouver son public :)!!!
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Tout d'abord, un grand merci à l'habitant de Chateauneuf du pape qui a mis une boîte à livres devant chez lui, dans laquelle j'ai trouvé ce bouquin ;-)
Ensuite, surprise, ce livre est sorti chez zulma en 2014, et il apparait dans la rentrée littéraire 2016 chez points!!! faut qu'on m'explique.
Zulma, j'adore : couvertures reconnaissables entre mille, qualité du papier, format...
Le bouquin maintenant : j'ai eu beaucoup, mais vraiment beaucoup de mal... le style ne me plait pas, trop compliqué, trop recherché, du vocabulaire inconnu à chaque page à tel point que je me suis demandée si ce n'étaient pas des mots inventés!!!!! et puis des histoires qui ne cessent de rentrer les unes dans les autres, sauf qu'on ne s'en aperçoit vraiment qu'à la fin.
Y'a pas à dire, c'est super bien ficelé, complexe à souhait, l'auteur s'est tout simplement éclaté et à fait preuve d'un humour sauvage et d'idées plus qu'intéressantes... Mais non, ça m'a laissée (presque) de glace (je suis tout de même allée au bout, et en vérité, je ne l'aurais pas lâché avant!)
Ceci dit, je pense que si on rentre dans ce roman en ayant lu les critiques, en ayant des clés de compréhension, ça éclaire de beaucoup la lecture et permet de rentrer dedans bien plus facilement...!
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Très déçue par cet ouvrage peut-être du fait que le contenu ne correspond pas, de mon point de vue, à la présentation qui en est faite par l'éditeur. J'y ai trouvé un imaginaire fade et un contenu bien alambiqué pour un résultat médiocre. Par contre, Monsieur de Robles maitrise toujours aussi bien notre langue française et son champ lexical.
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Heureusement qu'il y a la découverte des lecteurs dans les usines de cigares de la Havane.
J'ai été bien déçue alors que j'avais adoré Jean-Marie Blas de Roblès et son Là où les tigres sont chez eux. Cela m'a semblé un délire hallucinogène entrecoupé de chapitres pornographiques sans utilité et saupoudré de références littéraires à Jules Verne, Herman Melville, RL Stevenson tout ça pour un diamant jamais retrouvé. !!!
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Mettez dans un shaker du Jules Verne (beaucoup d'Île mystérieuse, mâtinée de Vingt mille lieues sous les mers, de Michel Strogoff, de Cinq semaines en ballon, etc.), un peu d'Agatha Christie (Le crime de l'Orient Express par exemple !), de Conan Doyle, de Maurice Leblanc, et même du Shakespeare, du Victor Hugo et une touche d'Herman Melville aussi…
Secouez intensément.
Lisez.
Vous aurez un sacré tournis. Comme moi qui ai lu ce livre beaucoup trop vite.
Jean-Marie Blas de Roblès a écrit un « roman fusée », bardé de personnages, d'aventures, d'anecdotes, de réflexions philosophiques. Un récit alambiqué et érudit, superbement écrit, qui nous fait courir sur toute la planète, et ce, sur terre, dans les cieux comme sous l'eau. On n'a jamais le temps de souffler, on doit lire aussi vite que courent les héros à la poursuite d'un diamant volé, jusqu'à l'ïle du Point Némo.
Lecture vertigineuse.
Grand roman… mais qu'il ne faut pas avaler d'une bouchée. J'ai eu ce tort et je suis sortie de ma lecture exsangue, essoufflée, submergée par tant d'actions, d'horizons et de personnages. C'était trop en si peu de temps, et j'ai le sentiment de ne pas pouvoir digérer le roman, et qu'il ne m'en restera plus tard que des miettes confuses, des flashes de certaines scènes (le musée cirque qui brûle, le voyage dans le Transsibérien, la croisière dans le zeppelin, les détritus de plastique dans l'océan…), qui s'estomperont et à la fin, il ne me restera pas grand souvenir de l'intrigue du Point Némo. Dommage.
Lien : http://coquelicoquillages.bl..
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Et j'ai finalement abandonné, après deux tiers plus que laborieux, la lecture d'un livre qui rassemble pourtant énormément de qualités et qui avait tout pour me plaire. L'Ile du Point Némo est une oeuvre stylisée, érudite, inventive et à l'imagination folle mais tellement longue et décousue... Un exercice d'écriture pour lequel l'auteur a oublié de se fixer une contrainte : faire court.
L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
Lien : https://touchezmonblog.blogs..
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Le seul intérêt que j'ai trouvé à ce roman est tout ce qui se rapporte aux séances de lecture dans les ateliers du Périgord, de Cuba...
Tout le reste n'est qu'un galimatias de récits tous plus abracadabrantesques les uns que les autres avec, certes, une belle plume mais qui se noie dans des descriptions où le clinquant, la profusion et l'obscénité servent à combler la vacuité de personnages qui emplissent leur existence comme ils le peuvent les pauvres !
Et ne parlons pas de la philosophie de la vie à deux balles qui se résume à remettre une horloge en marche mais que les méchants (je ne sais même plus comment l'auteur les désigne) s'acharnent à détruire pour masquer leur incapacité à faire tourner le monde correctement.
En bref, je me suis accroché pour lire ce livre jusqu'au bout parce que, soit disant, à la fin, on aurait les clés du camion, pardon, l'explication de toutes ces aventures parallèles : si j'avais su, je n'aurais porté mon attention que sur les chapitres relatifs aux séances de lecture.

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Déception pour ce livre conseillé par la libraire
Entre Agatha Christie et Jules Verne dont on sent les influences et quelques réflexions sommes toutes intéressantes ; je suis complètement passée à côté du plaisir de ce livre .Trop loufoque pour moi
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Non ! Quoi qu'en disent beaucoup de lecteurs enthousiastes, qui ont dégainé leurs cinq étoiles plus vite que leur ombre et usé et abusé d'adjectifs dithyrambiques, L'Ile du point Némo n'est certainement pas, à mon sens, le "chef-d'oeuvre" promis. C'est même de mon point de vue une escroquerie littéraire, qui certes ne démarre pas mal mais devient de plus en plus exaspérante au fil des pages, tant les ficelles sont grosses et le lecteur pris pour un imbécile.
Bien sûr, il y a beaucoup de bonnes idées. Bien sûr, le style est relativement (relativement) fluide. Mais quand je vois des lecteurs écrire "il y a du Hugo, du Shakespeare, du Jules Verne là-dedans"... Vraiment ? Sauf qu'il ne suffit pas d'enchaîner les voyages pour faire du Jules Verne, ni de multiplier les clins d'oeil aux grands auteurs pour en devenir un.
Au chapitre des bonnes idées - celles que l'on espère tout au long du livre voir développées, en vain - il y a cet étrange décalage du temps, cette impression d'un récit qui se déroulerait au XIXe siècle, alors que les références à la technologie prouvent que l'on est au moins au XXIe, ou après. Mais un XXIe siècle post-apocalyptique, où l'on découvre par petites touches impressionnistes que les grandes capitales sont livrées à l'insurrection, que la Russie est déchirée par les guerres civiles entre sectes religieuses... Que le pétrole a visiblement disparu et qu'il faut pédaler - au sens propre - pour faire fonctionner sa liseuse. Tout cela aurait pu être intéressant.
De même, on ne peut que saluer quelques belles pages sur l'amour des livres et de la littérature. J'ai bien aimé les épisodes consacrés aux ateliers où la lecture à haute voix est faite aux ouvriers, avec une mention spéciale pour l'analyse brillante du Comte de Monte-Cristo.
Et après ? Rien. Plus on s'achemine vers la fin du livre, plus on tombe dans le grotesque, le boursouflé, le tout agrémenté d'une leçon de morale écologico-décroissante bien dans l'air du temps, peut-être, mais pénible et laborieuse. À force de vouloir faire un roman à clés, l'auteur lasse, épuise, et finit par sombrer dans le ridicule. Les derniers chapitres et le dénouement (que l'on voit venir à des kilomètres) m'ont été insupportables, même si, pour ne pas les dévoiler, je n'en dirai rien...
Et que dire de l'inflation pornographique aussi inutile que dénuée de talent ? Qu'ajoute-t-elle, quelle valeur supplémentaire donne-t-elle à l'histoire et au livre ? Une femme qui, déçue de son mari lorsqu'elle découvre que son impuissance était en fait due à son homosexualité, décide de finir son existence devant la télévision en laissant germer une pomme de terre dans son sexe... quelqu'un peut-il m'expliquer le symbole, la signification, l'utilité littéraire, au-delà d'une bien piètre idée des femmes et de clichés bien éculés ?
Vive la liberté en art ! On peut faire, dire, écrire n'importe quoi. Mais faire passer une longue accumulation décousue de situations extravagantes ou sordides pour un "grand chef-d'oeuvre", non. N'est pas Hugo qui veut, et, si l'on veut parler d'extravagance, de délire mystique transformés en oeuvre d'art, n'est pas non plus Nerval qui veut.
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