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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Aujourd'hui, tous les jeunes doivent dorénavant effectuer, entre l'année de 3e et l'année de 2nde, un Service Civique Obligatoire (SCO), d'une durée de 10 mois au cours desquels ils devront rédiger un rapport, noté en fin d'année par des professeurs. Si les élèves peuvent, en amont, exprimer des préférences quant au champ professionnel et à la région, visiblement, personne ne semble en tenir véritablement compte. Valentin Lemonnier est de ceux, parmi tant d'autres. S'il a souhaité effectuer son serci dans la culture, l'éducation et le social en Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhônes-Alpes et Grand Est, il est évidemment déçu et un brin stressé par ses résultats. Ce sera la santé dans les Hauts-de-France ! le voilà donc quittant sa soeur, son frère, sa mère et Albi pour s'installer dans une maisonnette, avec 5 colocataires, dont Serge, son tuteur, à Boulogne-sur-Mer centre. le matin du 1er septembre, il franchit les portes de l'unité Mnémosyne, un centre pour personnes âgées atteintes d'Alzheimer. Dans la Section B où il officiera, il est littéralement replongé dans les années 60. Si tout, à ses yeux, lui paraît négatif et stressant, il va pourtant y passer une année inoubliable...

Ce roman n'est, ni plus ni moins, que le Rapport de Service Civique Obligatoire de Valentin Lemonnier. Et heureusement que ce jeune adolescent est bavard car en nous livrant, sur 378 pages, ses impressions, ses ressentis, ses émotions, son quotidien au sein de l'Unité, ses liens qu'il aura noués, il a largement dépassé les 30 pages dactylographiées demandées. Et, évidemment, toutes ses impressions, pour la plupart, très négatives ou négatives au début de son stage, vont progressivement devenir neutres puis positives. Grâce à ce stage, Valentin va évoluer, grandir, apprendre sur les autres et sur lui-même et reconsidérer certaines choses plus positivement, notamment grâce aux pensionnaires, en particulier madame Laurel qui lui fera connaître Françoise Hardy, à Sola Perré, son encadrante, ses colocataires, ainsi que Serge, son tuteur. Aussi, l'adolescent, plutôt réfractaire, intolérant et peu social va peu à peu s'effacer et s'ouvrir aux autres, devenant par là même de plus en plus attachant et drôle. D'ailleurs, les notes rétrospectives, ajoutées à la fin de son stage, en sont la preuve. Ce rapport, loin d'être gonflant, est très agréable à lire, tant il se dégage d'humanité, de tendresse, de malice, de sensibilité, d'humour et d'émotions.

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En découvrant les dernières nouvelles de l'épidémie de Covid, du changement climatique, du chômage ou des nouveaux succès de l'extrême-droite à travers le monde, n'avez-vous jamais rêvé de pouvoir faire un bond dans les années 1960-1970 ? Imagine ! La tapisserie fleurie aux couleurs psychédéliques, un air de musique yéyé, des blousons noirs qui croisent des hippies dans un combi Volkswagen – et je serais en train de taper cette chronique sur une vieille machine à écrire…

Décidément, Clémentine Beauvais sait nous prendre de court ! On croit ouvrir son nouveau roman, on tombe sur une circulaire du ministère de l'éducation nationale instituant une année de Service Civique Obligatoire entre l'année de troisième et celle de seconde. Intrigué(e), on tourne la page pour tomber sur la page de garde du rapport de « serci » de Valentin Lemonnier, 378 pages (il a « dépassé »). Aucun de ses souhaits n'ayant été pris en compte par l'algorithme, il est envoyé à l'autre bout de la France, dans un établissement de soin à des personnes atteintes d'Alzheimer au concept peu commun : il s'agit de reconstituer le décor de leur jeunesse, dans les années 1960 (oui, le roman joue dans un futur où la France serait gouvernée par une présidente, ce qui n'aurait pas risqué d'arriver pendant les Trente Glorieuses, mais là je m'égare…). Et voilà que Valentin n'a pas le coeur d'annoncer à Mme Laurel qui a participé à un concours organisé par Salut les Copains (année 1967) qu'elle n'a pas gagné – et que Françoise Hardy ne pourra malheureusement pas venir chanter chez elle. Il va donc falloir se débrouiller pour qu'elle vienne !

J'ai tourné les pages, avide de savoir comment Valentin s'en tirerait, mais aussi de mieux comprendre ce garçon particulier, mais très attachant. Très vite, aussi, on brûle d'en savoir plus sur les personnes qu'il rencontre, notamment son impénétrable encadrante. Et notre curiosité est alimentée habilement par les notes rétrospectives que Valentin insère çà et là qui nous font pressentir l'ampleur des évolutions à venir…

L'intrigue est farfelue, la forme réjouissante, le propos optimiste : j'ai pris un grand plaisir à lire ce roman. J'ai adoré la malice avec laquelle les réponses de Valentin, qui reprennent, avec une bonne volonté touchante, les termes de la trame standardisée du rapport, tournent en dérision le vocabulaire néo-libéral de la « détermination de ses champs de compétences préférentiels » à la « stratégisation de carrière » et au « plein déploiement de ses potentiels ». Vous vous en doutez, il ne s'agit pas vraiment de cela : Clémentine Beauvais évoque joliment et justement « l'âge tendre » de l'adolescence – ce moment de prendre son envol, de réaliser que certaines choses sont plus nuancées qu'on ne le pensait et de partir à la recherche de son identité.

Une lecture très originale, drôle et émouvante !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Comme j'avais adoré Les petites reines et Songe à la douceur de la même autrice, je me suis jetée sur ce livre lors de sa parution, bien que je l'ai lu quelques temps plus tard.

Ce nouveau roman se passe en France, dans un futur que j'imagine proche du notre, où la Présidente a mis en place un service civique obligatoire pour chaque élève entre sa troisième et sa seconde. Valentin a donc posé ses voeux mais il va être envoyé dans un endroit qui ne correspond pas du tout à ses attentes... Ainsi, il va se retrouver dans un centre pour personnes âgées atteintes d'Alzheimer conçu pour ressembler à un village français des années 60.

Ce livre est présenté comme étant le rapport de service civique de Valentin, qui originellement devait faire trente pages maximum mais, comme il dit : "Longueur : 378 pages. (J'ai dépassé.)". C'est ainsi que nous allons suivre sa rencontre avec les résident·e·s de ce centre tout particulier qui me paraissait adorable mais qui m'a également fait m'interroger. En effet, je me suis questionnée tout le long de ma lecture sur la pertinence de créer des lieux tels que celui-ci pour les personnes atteintes d'Azheilmer, en leur faisant croire qu'elles sont à une autre époque, celle de leur jeunesse.

La mise en page du roman est assez surprenante : une circulaire du Ministère de l'Éducation Nationale ouvre l'histoire, puis les consignes de ce même ministère sur les dossiers à rédiger lorsque les élèves font leur SCO (Service Civique Obligatoire), et, enfin, les plus de 370 pages du fameux dossier de Valentin. Nous voyions tout à travers son regard : nous le voyions évoluer, apprendre petit à petit à aimer être dans ce centre au point d'y passer beaucoup de temps, réfléchir sur pleins de choses... Bref, dix mois durant lesquels cet adolescent aura grandi et changé !

C'était une formidable lecture, tout à fait plaisante, avec de nombreux passages amusants mais qui comportait des moments touchants et émouvants. Avec Clémentine Beauvais, je ris, je souris, je suis émue aux larmes... J'aime énormément ce que fait cette autrice et ce livre était un vrai régal !
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Mon premier Clémentine Beauvais, et quel roman! Je n'attendais d' "Âge Tendre" que légèreté et j'y ai trouvé beaucoup d'émotions et des thématiques plus profondes que ce j'en escomptais. Autant dire que je suis conquise, au point même d'avoir troqué les playlists habituelles contre quelques chansons de Françoise Hardy, moi qui ne connaissais d'elle que "Tous les garçons et les filles de mon âge" et quelques autres tubes un peu sirupeux, et comme Valentin, je suis touchée par "Dans la maison où j'ai grandi" d'ailleurs!
Dans une France qui pourrait ne pas être si loin de la nôtre et gouvernée par une présidente (!) qui vire bien plus à bâbord qu'à tribord, le ministère de l'Education Nationale a rendu obligatoire pour chaque élève un service civique qui doit se dérouler entre la classe de troisième et le passage au lycée. Chaque élève peut formuler des voeux quant au domaine qui l'intéresse ainsi qu'au lieu où il souhaite effectuer le fameux service. le roman s'ouvre ainsi sur la circulaire puis les consignes du ministère avant de prendre une toute autre tournure puisque le récit se présente ensuite comme la rapport de "serci" d'un certain Valentin qui nous prévient d'emblée: son écrit est bien plus long qu'exigé et il lui a fallu pas moins de 378 pages pour relater son année et son expérience...
De là, on entre dans le récit à la première personne de l'adolescent qui n'hésite pas à faire des allers-retours entre les différentes temporalités de l'action, faisant ainsi preuve d'un recul qui pour nous lecteurs est bien précieux puisqu'il distille subtilement quelques indices quant à l'intrigue que l'on découvre.
Notre Valentin est un jeune homme angoissé, anxieux. Quelle n'est pas son inquiétude quand il se rend compte que l'algorithme chargé de lui trouver son service civique, tel un parcours supp de fiction, n'a pris en compte aucun de ses voeux. le voilà contraint de quitter Albi et le soleil du sud-ouest pour les Hauts-de-France. Quant à ses projets de stage dans le domaine culturel, ils sont balayés par la nouvelle: on le parachute dans une unité de service de soin à personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Peu après avoir débarqué dans le grand nord, Valentin découvre un établissement à la philosophie peu commune: on y a reconstitué les années 60 pour les pensionnaires jusque dans les moindres détails. La première mission qui échoit alors au jeune homme semble simple: il doit écrire à Mme Laurel qu'elle n'a pas gagné le concours orchestré par "Salut les Copains" et que de fait Françoise Hardy ne viendra pas chanter pour elle. Oui, mais ce n'est pas si simple de briser le coeur d'une adorable vieille dame et Valentin ne peut s'y résoudre. Pas d'inquiétude, il a quelques mois devant lui pour trouver une solution.
L'intrigue de base, non contente de fleurer les années yéyé, est délicieusement loufoque et on se prend au jeu, on tourne avidement les pages en se demandant comment va s'en sortir le personnage, mais au-delà de cette dimension légère, cocasse et très colorée, le roman de Clémentine Beauvais se fait plus profond. On découvre un héros profondément sensible sous la malice et le piquant dont il sait faire preuve, un adolescent cabossé que son service civique apprend à vivre enfin, à dépasser les angoisses et les idées toutes faites. C'est un véritable roman d'apprentissage que cet "Age Tendre" qui évoque avec beaucoup de tendresse les affres de l'adolescences, les nuances dont peut se colorer la vie, la force et les douleurs de l'amour. Il est emprunt d'une mélancolie, portée essentiellement par le très beau personnage de Sola qui lui donne ce petit supplément d'âme, cette gravité légère qui étreint après avoir fait sourire. Doux-amer comme les Parapluies de Cherbourg.




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Dans un avenir indéterminé mais proche, les jeunes doivent faire un an de service civique
C'est dans ce cadre que Valentin, adolescent présentant ce que l'on appelle des « troubles du spectre autistique », doit partir de son Sud natal pour travailler pendant un an dans le Nord dans l'unité Alzheimer d'un Ehpad.
Cette unité a la particularité de maintenir les résidents dans l'environnement de leur jeunesse, ici les années 60/70.
Par exemple une résidente, fan de Françoise Hardy, a répondu à Salut les copains et attend de voir si elle a gagné le premier prix : la venue de Françoise Hardy qui chantera sa chanson préférée (« La maison où j'ai grandi »)
Valentin est bombardé d'informations, il est très perturbé par tous ces changements et note tout sur un journal de bord
Ses réflexions personnelles à la fois sont touchantes et prêtent à sourire, notamment l'habitude qu'il a de tout noter et évaluer sur une échelle de 1 à 10
Peu à peu pourtant il se socialise et trouve sa place dans cet univers un peu décalé qui lui convient bien, à tel point qu'il considère ce centre comme sa maison et ne souhaite plus en partir…
Cette idée de départ était excellente et Clémentine Beauvais réussit à maintenir l'attention sur toute la durée
Je mettrais un bémol sur l'histoire d'amour de la femme médecin que j'ai trouvé un peu étirée par rapport au sujet du livre, mais globalement c'est un excellent livre pour adolescent que j'ai moi-même pris beaucoup de plaisir à lire.
Et l'évocation des tubes des années 70 est un vrai plaisir et donne lieu à des moments de nostalgie très touchants !
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Clementine Beauvais m'a encore une fois scotché avec cette histoire. Je suis passée par beaucoup d'émotion avec ce roman, il est à la fois drôle et triste. On ne peut qu'être touché par le personnage de Valentin jeune homme de quinze ans qui va pendant un an travailler en maison de retraite et va accompagner des personnes souffrantes d'Alzheimer. Dans ce livre on va retrouver de belles histoires d'amour et d'amitié, pour notre plus grand plaisir. le livre est écrit d'une manière très originale sous la forme d'un rapport de stage. L'auteur a cette capacité d'écrire avec un style bien à elle qui entraine le lecteur dans son univers. Une très belle lecture.
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J'ai lu la plupart des romans de Clémentine Beauvais car ses idées de départ m'intéressent. Mais jusqu'à présent, je trouvais le résultat agréable, sans plus.

"Âge Tendre" sort nettement du lot. Tout d'abord par son sujet : le rapport de stage d'un élève de troisième ayant passé 1 an dans un EHPAD amélioré.
Ensuite par sa forme : nous lisons "réellement" le rapport de stage de Valentin, avec tout ce que ça suppose de verbiage scolaire pour la cohérence (et ça fonctionne très bien).
Par le ton aussi, car Valentin est un ado légèrement angoissé (euphémisme), peu à l'aise dans les rapports sociaux (deuxième euphémisme, qui donne lieu à des passages très drôles).
Enfin, le contexte est vraiment intéressant. Suite à la lecture d'un article, Clémentine Beauvais a imaginé des maisons de retraite avec des bâtiments thématiques permettant aux pensionnaires de baigner dans l'époque de leur jeunesse. Déco, journaux télévisés enregistrés, musiques et films, le voyage dans le temps est total. Et l'idée de nous entraîner dans le bâtiment des années yéyé est extra.

Alors bien sûr, la question du financement est expédiée (pourtant elle se pose quand l'équipe peut dépenser 1000 € rien que pour des accessoires), les difficultés matérielles sont passées sous silence, une gériatre peut partir deux jours à Bruxelles sur un coup de tête... Bref, pour la crédibilité on repassera. Pourtant, le récit de Valentin sonne étonnamment juste, et son évolution au coeur de cette maison de retraite pleine de couleurs est intéressante.
Un agréable voyage dans le temps, tout en nuances.
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Un vrai petit bonbon, ce roman ! Une fois commencé, je l'ai lu d'une traite. J'ai adoré la forme choisie pour raconter l'histoire de Valentin ! L'idée même de ce centre est originale (le concept existe réellement). J'ai aimé voir le jeune homme évoluer durant l'année ; les notes rédigées un an après sont d'ailleurs une très bonne idée, comme une prise de recul sur celui qu'il était. La relation qu'il tisse avec sa maître de stage est également très touchante. On s'amuse et on s'attache à tous les résidents, comme Valentin, qui ne veut plus les quitter (même pour les vacances) ! Et l'on se prend à se dire que ce serait chouette, l'instauration d'une année de « serci » obligatoire… Bref, on n'hésite plus et on lit cette réjouissante incursion dans les années yéyé.
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Un bon moment de lecture!
Un roman pour ados, mais aussi pour les nostalgiques des années 60/70, les amoureux du Pas-de-Calais et les fans de Françoise Hardy!
Valentin, quinze ans, effectue un service civique de dix mois obligatoire après le collège, dans une unité Alzheimer, minutieusement reconstitué pour ressembler à un village des années 60.
Sa première mission semble assez simple: écrire une lettre à une pensionnaire qui a répondu à un concours dans un "Salut Les Copains" de 1967, pour lui annoncer que, malheureusement, Françoise Hardy ne va pas pouvoir chanter dans leur ville. Sauf qu'il annonce l'inverse! Il s'engage personnellement à la faire venir..
Pas celle d'aujourd'hui, hein! Celle des sixties qui chantait en petite robe Courrèges!

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Quel plaisir de retrouver Clémentine Beauvais dans ce roman drôle , et dans l'air du temps !! Une forme originale, puisque ce roman est un rapport de stage. Elle a imaginé que nous sommes dans un futur proche que la France est gouvernée par une femme. Cette présidente veut que tous les élèves de 3 ème effectuent un stage de, soit dix mois de service civique, soit dix mois d'armée. Chaque élève doit rédiger un rapport de stage, de 30 pages, celui-ci comptera dans sa note du bac.
Valentin , dont la demande a été refusée, se retrouve dans les Hauts- de- France, à Boulogne sur mer. Il n'a jamais entendu parler de cet endroit. Son stage sera dans une maison de retraite, un peu spéciale. L'unité Mnémosyne accueille des personnes atteintes de démence et reconstitue avec minutie l'environnement de jeunesse de ces patients. Valentin va devoir évoluer dans ce milieu, au temps des années 60. Dans l'unité, un village est reconstitué pour représenter ces années là. Tout est contrôlé, la pluie qui tombe, la couleur des murs, le soleil, la lune , les étoiles et la musique de ces années. Valentin nous écrit son rapport de « serci » service civique. Celui -ci a largement dépassé les 30 pages demandées. C'est ce rapport qui constitue le roman.
Valentin est un jeune homme peu dégourdi, un peu timide, plutôt angoissé qui ne connait pas ces années-là. Il va peu à peu appréhender le contexte et entrer dans le jeu qui lui incombe. Il se familiarise avec les pensionnaires, jusqu'à répondre à un souhait d'une patiente. inviter Françoise Hardy à venir chanter dans ce lieu
Finalement, il évolue dans cette unité. Son stage va lui permettre de grandir, de surmonter ses angoisses. Nous allons de péripétie en péripétie, une bonne dose d'humour dans ces pages.
Clémentine Beauvais a su me charmer avec ce roman, qui est empreint de drôlerie mais aussi de tendresse. Une comédie pleine d'humour, qui incite aussi à la réflexion sur la mémoire et le deuil.
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