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4,12

sur 916 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant beaucoup aimé « L'Affaire Clara Miller » d'Olivier Bal, je n'ai pas longtemps hésité à m'attaquer à son dernier roman et j'ai immédiatement été ravi de retrouver Paul Green, le journaliste/enquêteur qui avait dévoilé « L'Affaire Clara Miller ».

Après les péripéties du tome précédent, Paul Green a sillonné l'Amérique sans véritable but, jusqu'au jour où sa voiture est tombée en panne à Redwoods. Dans cette petite bourgade isolée de l'Oregon, où tous les habitants se connaissent, même après cinq ans, Paul Green est encore surnommé « L'étranger ». Peu importe l'endroit, il n'est jamais bon d'y être l'étranger, surtout que les randonneurs ont tendance à souvent disparaître dans la forêt de Redwoods. Lorsqu'un soir, une adolescente totalement terrorisée frappe à la porte de sa cabane, « l'étranger » va devoir se mêler d'une affaire qui ne le regarde pas…

En donnant la parole à trois narrateurs au fil des chapitres, ce roman choral nous rapproche au plus près des personnages. de Lauren, l'adjointe du shérif qui enquête depuis belle lurette sur ces étranges disparitions, à Paul Green, journaliste retraité solitaire, toujours aussi bourru, en passant par Charlie, la pauvre adolescente de treize ans, le lecteur s'attache très vite aux différents protagonistes et tremble avec eux face aux nombreuses menaces issues de cette immense forêt.

Peuplée de séquoias millénaires et incarnant cette nature hostile qui ôte la vie à de nombreux touristes, « La Forêt des disparus » se révèle progressivement également un personnage à part entière du récit. Olivier Bal parvient en effet à donner vie à un environnement sombre et hostile, qui contribue à nous tenir en haleine tout au long du récit, notamment lors de quelques chasses à l'homme particulièrement haletantes.

Outre l'ambiance oppressante, il faut également saluer le rythme soutenu de ce thriller que j'ai dévoré en deux jours et qui devrait ravir tous les amateurs de polars.

Addictif, divertissant et prenant ! Que demander de plus ?
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Si le sujet des disparus en forêt est un classique du thriller, Olivier Bal a rudement bien maîtrisé son affaire. On pouvait s'attendre à relire un énième roman sur le sujet, mais sans faire dans l'originalité l'auteur a su tenir son lecteur en haleine.

Le tout grâce à une atmosphère très travaillée et oppressante. La forêt elle même fait partie intégrante des personnages. D'ailleurs les personnages "humains" sont très bien campés et avec un certain charisme.

Néanmoins même si l'intrigue se tient, on se doute malheureusement de qui mène le jeu, même si on n'a aucune certitude aucune. l'auteur aurait gagné à être plus discret lors de certains passages.

Au final, un thriller bien tenu et assez addictif grâce à la plume de l'auteur, qui est très agréable et qui tient son lecteur.

Un bon page Turner et un auteur avec un avenir très prometteur.
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Redwoods, petite bourgade isolée dans l'Oregon, détient un bien triste record : celui du plus grand nombre de disparitions par an aux États-Unis, soit plus d'une vingtaine de personnes, toutes étrangères à la ville, qui s'évaporent, étonnamment, dans la forêt. Lauren s'est vue confiée, il y a six ans, par le shérif, Gerry Mackenzie, l'épineux dossier des disparus. Six ans qu'elle ne lâche pas l'affaire et qu'elle arpente, régulièrement, la forêt ou organise des battues. Malheureusement, personne n'a encore jamais été retrouvé. le dossier va encore s'épaissir puisqu'une nouvelle disparition inquiétante vient de lui être signalée. Une randonneuse, Emily Bennett...
C'est à Redwoods que s'est installé, par le plus grand des hasards, Paul Green, il y cinq ans, peu après l'affaire Clara Miller. Malgré toutes ces années passées ici, il reste, aux yeux des habitants, l'Étranger dont tout le monde semble se méfier. Même les enfants s'amusent à se faire peur en débarquant chez lui. Tous sauf une gamine, Charlie qui, soudainement, débarque un jour chez lui, trouver refuge et se cacher de l'Homme-rouge qu'elle a rencontré dans la forêt...

Dès les premières pages, Olivier Bal nous plonge dans une ambiance pesante, terrifiante et mystérieuse. Des personnes qui disparaissent dans la forêt, une gamine paniquée, une petite ville au passé troublant... Il n'en faut pas plus pour oser, toutefois, accepter cette balade dans la forêt des disparus, quitte à y rencontrer des personnages vraiment effrayants. Alternant la narration et donnant la voix à Lauren, Charlie et Paul, apportant ainsi un rythme soutenu à ce roman, l'auteur nous immerge parfaitement au coeur de ces drames et cette enquête inhérente. Trois personnages détaillés et fouillés autour desquels gravitent des personnages secondaires , tantôt attachants, tantôt horribles, ou encore mystérieux, la forêt de séquoias étant elle-même un personnage à part entière tant elle semble avoir de l'emprise sur les hommes. La plume très cinématographique donne vie et âme à ce décor effroyable.
Un thriller troublant et haletant...
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Comme j'étais déjà dans la forêt (celles des Ombres, avec Franck Thilliez), j'ai décidé d'y rester encore un peu en compagnie d'Olivier Bal cette fois. Et il a su m'emmener bien plus loin parmi les séquoias d'un trou perdu de l'Oregon que je n'avais été dans un autre bout du monde en Forêt-Noire.
Petite pensée au passage pour @marina53 qui m'avait conseillé de lire d'abord "L'affaire Clara Miller", où l'on retrouve l'un des héros (Paul Green, journaliste) qui après bien des déboires se retrouve à Redwoods où le hasard l'a mené. Marina, j'ai réservé les deux à la bibliothèque, et j'ai eu celui-ci en premier. J'avais sagement décidé d'attendre, mais Clara ne venant pas, j'ai commencé celui-ci...et quand j'étais en plein dedans, devine quoi ? Un petit mail m'avise que ma résa est arrivée ! Grrr ! Tant pis, je te promets d'oublier le "spoil" du début !
Je me suis un peu égarée là, mais comme la forêt c'est mon élément, pas de panique, je vais m'en sortir. Mais c'est qu'elle est quand même très angoissante, celle-ci, avec cet Homme Rouge qu'on peut croiser au détour d'une mine abandonnée, ou en tombant dans une crevasse dans l'ancien village abandonné où tout s'effondre sous nos pieds. D'ailleurs Charlie, une ado pourtant intrépide et qui en a vu bien d'autres, va avoir la trouille de sa vie au cours d'une petite balade ! Et elle va trouver refuge chez Paul Green, dit "L'étranger", celui dont tous les natifs du coin se méfient plus ou moins ouvertement. Entre ces deux-là, une belle relation de confiance va s'instaurer, qui va amener Paul à prendre des risques parfois inconsidérés pour protéger Charlie. C'est qu'il s'en passe de belles, dans la forêt... c'est pas pour rien qu'on l'appelle "forêt des disparus". Justement, une jeune randonneuse, Emily Bennet, vient de s'ajouter à la longue liste de ces personnes venues se promener dans le coin et qu'on ne revoit plus jamais. La police locale enquête, tout particulièrement Lauren, adjointe du shérif, qui ne ménage pas sa peine. Son travail lui permet d'oublier sa douleur, son histoire familiale n'est pas des plus riantes.
Paul, Charlie et Lauren s'expriment tour à tour dans des chapitres courts et haletants, le rythme est tellement addictif que j'ai lu chaque nuit jusqu'à ce que mes yeux se ferment tout seuls et j'ai terminé le roman en deux jours. Encore un chapitre, je veux savoir, il faut dormir, oui, je sais mais c'est trop palpitant ! Oui, c'est vrai qu'il y a de bonnes vieilles ficelles, mais elles sont si bien utilisées qu'on en redemande. Et les trois personnages principaux sont vraiment attachants, chacun à sa manière. Sans parler du chien de Paul, Flash le mal nommé, qui sera parfois d'une grande aide...et parfois moins !
Les personnages secondaires ne sont pas tous aussi sympas, mais il en faut des affreux dans ce genre d'histoire. Là il y en a presque pléthore ! Et que dire du village, Redwood, sinon que ce n'est pas le genre de villégiature où j'irai passer ma retraite, de toute façon je ne pense pas qu'on m'y réserverait un bon accueil ! Non, là-bas on reste entre soi, seuls les vieilles familles qui sont installées depuis les origines ont droit de cité, on fait vite comprendre aux étrangers qu'ils ne sont bienvenus que trois jours par an, pour dépenser de l'argent en folklore local. D'ailleurs j'ai beaucoup aimé la partie "historique" de l'histoire, soit dit en passant.
Pourquoi n'ai-je pas mis la note maximale, puisqu'il semblerait que je n'ai que peu de réserves ? Parce que certaines péripéties m'ont semblé un peu trop prévisibles, et certains "méchants" un peu trop évidents... Mais ne boudons pas notre plaisir, enfin le mien, je vais me jeter maintenant sur "L'affaire Clara Miller" et découvrir l'histoire de Paul avant son arrivée à Redwood. J'espère être aussi transportée que dans cette forêt...je vous raconte ça bientôt.
Bon dimanche à tous, et n'oubliez pas, les français, c'est un dimanche important !
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Bal vous convie à la visite d'un trou, Redwoods, que ça s'appelle.
Sa particularité, une faculté récidivente à avaler des randonneurs sans jamais les recracher.
Ce que la forêt prend, la forêt garde.
Nous avions quitté le journaleux Paul Green en fâcheuse posture dans l'affaire Clara Miller.
Faut croire le bonhomme suffisamment maso pour en redemander, à l'insu de son plein gré, tel un Virenque des grands soirs.

Olivier Bal commence à se tailler une solide réputation dans le thriller.
La forêt des disparus vient ici prouver une certaine constance en la matière pour le plus grand panard de ses lecteurs une nouvelle fois ébaubis au sortir de ce récit particulièrement éprouvant, basé sur des faits réels, qui plus est.

Car oui, l'ont sent un réel travail en amont.
Boulot sur l'environnement anxiogène, personnage à part entière de ce roman.
Boulot sur la mise en bouche notablement attrayante accompagnée de sa farondole de disparitions sise en pleine forêt de séquoias millénaires amoureusement gardée par une populace un brin stressante, dixit la grisante troupe de joyeux drilles consanguins de Delivrance, c'est dire le potentiel menaçant du bled.
Ajouter à cela une pincée d'émotion contrôlée, spéciale dédicace à Charlie, et un sens du tempo singulièrement maîtrisé, le tout se tient parfaitement et officie logiquement comme tourne-page officiel de tout lecteur en mal d'excellence.

La forêt des disparus.
Il se murmure que J.P. Mader aurait beaucoup aimé.
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La thématique des disparus est un peu la tarte à la crème du thriller. Elle a été tellement développée qu'on peut la voir comme asséchée ou au contraire l'imaginer inépuisable.

Avec ce roman, Olivier Bal prouve qu'on peut encore construire une intrigue intéressante et parfois surprenante autour de ce thème.

Le premier point à noter concerne l'ambiance. Nous sommes bien dans un thriller où le rythme ne faiblit pas, mais l'auteur s'est avant tout attaché à l'environnement. La forêt de séquoias dans l'état de l'Oregon devient vite un personnage à part entière, tant sa présence est étouffante et mystérieuse.

Et puis, il y a cette petite ville loin de tout, où tout le monde se connaît depuis toujours. L'atmosphère qui se dégage donne vite de la profondeur au roman. le coeur vert palpite.

Ceux qui ont lu L'affaire Clara Miller retrouveront avec plaisir Paul Green, le journaliste qui avait dévoilé l'affaire, presque au prix de sa vie. La forêt des disparus n'est en rien une suite, nous le retrouvons plusieurs années plus tard, terré dans ce trou perdu, considéré comme l'Étranger. L'intrigue peut donc être totalement appréciée sans avoir lu le roman précédent.

L'autre caractéristique importante, ce sont les personnages. L'écrivain a pris le parti d'écrire à la première personne, dans un roman choral où chacun vit en direct actions et émotions.

Cette manière de raconter donne un sentiment d'urgence et humanise les protagonistes. Un pari pas gagné d'avance, une telle narration pouvant vite tomber à plat si elle n'est pas maîtrisée. Olivier Bal fait parfaitement le job, avec sa plume alerte, vivante et cinématographique. Il réussi avec talent à décrire des scènes à travers les yeux des personnages pour les rendre palpables.

L'auteur n'a pas cherché à faire dans l'original, les ingrédients sont du déjà-vu, mais il a su insuffler ce supplément d'âme qui fait qu'on ne lâche pas le livre.

Et puis, au-delà du divertissement, petit à petit émerge un sujet plus profond qu'il n'y paraît, où la peur de l'Autre et de l'inconnu est omniprésente. L'action se déroule en 2011, loin de chez nous, mais ces idées résonnent pourtant en filigrane face au monde d'aujourd'hui. C'est bien la valeur ajoutée forte de l'intrigue.

Si vous cherchez un thriller à l'ambiance oppressante, bien mené par un auteur qui maîtrise son sujet, vous frappez à la bonne porte. Olivier Bal sait y faire dans le genre, même avec un sujet si souvent développé, et La forêt des disparus se révèle un roman immersif.
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1, 2, 3... Nous irons aux bois...
Mais à Redwoods, au pied des séquoias millénaires, on n'y trouve ni cerises ni panier neuf.
Par contre, du rouge, y en a... du sang, encore et encore... Qui tapisse les écorces, les masques et les plaies.
Quand la comptine se transforme en conte de l'horreur, bienvenue dans La forêt des disparus !

Je l'ai visitée moi, cette forêt durant de longues soirées printanières.
J'ai traversé l'océan et me suis installée sur ce bord de côte pacifique.
J'ai affronté le danger.
Cette forêt, j'y suis venue, je l'ai vue, je l'ai vaincue.
Ou presque car je n'en suis pas ressortie tout à fait indemne.
La forêt et ses créatures ont laissé des traces, sur les corps des visiteurs trop curieux et dans mon âme de lectrice passionnée de polars et de thrillers.

Le suspense est à son comble, du début à la fin de ce roman magnifiquement bien ficelé.
Les cauchemars y sont omniprésents.
Les trahisons également.
On ne peut faire confiance à personne, sauf à ceux qui nous prédisaient un excellent thriller. Ils ne nous ont pas menti, contrairement à certains habitants de Redwoods.

L'ambiance des sous-bois humides et travaillés par le temps, les odeurs des anciennes mines en putréfaction, le goût de la bile... Tout y est pour nous faire vivre un voyage en enfer dans ce coin d'Amérique qui ressemble pourtant à un paradis.
"Touristes, vous n'êtes pas les bienvenus ! Rentrez chez vous avant qu'il ne soit trop tard et que la fête du cent cinquantenaire n'aie rendu son quota de morts."
Moi, je referme ce roman, ravie d'être sortie du bois sans trop d'égratignures mais marquée à jamais par la plume d'Olivier Bal que je me réjouis de retrouver très bientôt !
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En ouvrant La forêt des disparus, quel plaisir de retrouver Paul Green, le journaliste paumé de l'Affaire Clara Miller. Notre anti-héros meurtri pense avoir trouvé la paix dans une cabane des forêts de l'Oregon... Hélas, il a la poisse ce pauvre Paul, car cette forêt est réputée pour ses disparitions de randonneurs, dont personne ne se soucie vraiment, sauf une sympathique policière acharnée, Lauren, l'adjointe du sherif. Il rencontre aussi Charlie, une jeune ado qui semble savoir des choses mais est bientôt réduite au silence... La petite ville de Redwoods apparaît habitée de nombreux secrets... Comme dans l'affaire Clara Miller, l'auteur nous donne peu à peu les éléments de l'intrigue et réussit à maintenir l'intérêt avec des scènes oppressantes, ici dans la forêt, et avec des personnages attachants, dont évidemment Paul, qui voudrait tourner le dos au monde et aux problèmes mais dont le sens du devoir et la curiosité l'emmèneront dans un pétrin bien glauque, encore cette fois. Cette histoire jouera sur vos nerfs et réveillera votre crainte instinctive de la grande forêt mystérieuse et pleine de dangers... J'ai tout de même trouvé les fils de l'intrigue un peu moins fins que dans l'opus précédent.
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Je ne sais pas pourquoi, mais Olivier Bal me fait penser à Joël Dicker.
Et c'est un compliment, puisque La Vérité sur l'affaire Harry Québert reste souvenir de lecture de thriller des plus savoureux et addictifs.
Olivier Bal je l'avais découvert avec une autre affaire : celle de Clara Miller, où j'avais fatit connaissance avec Paul Green, un enquêteur fort sympathique, que l'on a le plaisir de retrouver dans cette forêt des disparus.
Comment vous décrire Paul Green...
Vous voyez Tom Cruise dans Mission Impossible ? Il échappe à des bombes sans se décoiffer. Il court un sprint pendant 10 min sans la moindre auréole sous sa chemise blanche qui reste impeccablement repassée. Il conduit une moto pour échapper aux méchants qui veulent le tuer et hop sous un camions et hop dans des rues escarpées sans blesser ceux qui passent. Magique. Aussi facile que de conduire un caddy dans un supermarché désert. En fait : il m'agace.
Paul Green au contraire, je l'aime bien. Il est un peu cabossé, un peu rouillé. Il a un côté vieille bagnole qu'on aime bien. Un côté Columbo aussi. Sans le cigare (c'est plus la mode), mais avec le vieux chien.
Après Clara Miller, il a véritablement échoué dans un trou perdu où se perdent les gens. Au début il reste à l'écart, et le naturel revient au galop : il se retrouve à chercher pourquoi les gens disparaissent, en parallèle de la shérif adjointe Lauren. Et l'histoire vous emporte avec des odeurs de terre fraichement retournée, de secrets cachés sous le tapis comme de la poussière honteuse. L'ambiance petite ville / communauté américaine engoncée dans ses habitudes, où chacun a son rôle à jouer depuis plusieurs générations, entre la forêt mystérieuse et les bords de mer sauvage. A se demander où il vaut mieux trouver refuge : sur les eaux, dans la forêt ou au milieu des humains ?
Je ne vous raconterai rien de plus pour vous laisser le plaisir de la lecture. La plume d'Olivier Bal va vous embarquer. Elle est rythmée, pas compliquée, vivante.
Seul petit bémol stylistique : il y a certains passages où les descriptions des douleurs physiques des personnages sont un peu ampoulées. Ils sont un peu trop tous au bout de leur douleur, dans une douleur atroce, épouvantable.
Mais franchement à part ça, c'est un bon moment.
Alor faut-il le lire ? Oui. Clara Miller aussi. Mais si vous n'avez pas lu Clara Miller avant celui-ci, ce n'est pas grave.

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Comme j'avais bien aimé "L'affaire Clara Miller" ,
je me suis plongé avec plaisir dans "La forêt des disparus" .
On y retrouve Paul Green , le journaliste d'investigation du livre précédent .
Celui-ci va fourrer son nez là où il ne devrait pas en enquêtant
sur les nombreuses disparitions de randonneurs dans l'inquiétante
et fascinante forêt de Redwoods .
J'ai été captivé par cette histoire dès les premières pages .
Pas un seul temps mort , de l'action , un climat angoissant ,
du suspense ...tout ce qu'il faut pour tenir le lecteur en haleine !
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