Les Éditions Denoël ont été fondées en 1930 par l`éditeur belge Robert Denoël et son ami américain Bernard Steel. La maison d`édition connaît son premier succès avec la publication en 1932 de Voyage au bout de la nuit de Céline. Elle publie aujourd`hui une centaine de titres par an,dans les domaines de la fiction française et étrangère, des documents d`enquête et de témoignage, des essais, et de la bande dessinée.
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J'ai lu le prologue et j'ai failli abandonné, dégoûté par la violence qui s'en dégage. Mais j'ai écouté les recommandations d'@afriqueah et j'ai continué.
Et j'ai bien fait.
Il reste la poussière est l'histoire d'une famille d'éleveurs de Patagonie qui ne connait que la violence. Depuis le départ du père alcoolique, la mère s'est mise elle aussi à la boisson et dirige ses enfants d'une main impitoyable. Il y en a quatre, les deux grands jumeaux, le débile et le petit, enfant non désiré né après le départ du père, et c'est une tare que les autres lui font payer très cher.
Le récit est dur, très dur, et ce qui fait l'intérêt du livre, ce sont les analyses psychologiques de chacun des personnages. Chaque chapitre est présenté par l'un d'entre eux, pour nous faire partager son regard. Le talent de l'auteure nous permet de comprendre les relations entre les différents membres de cette famille de taiseux. Très peu de dialogues, mais les descriptions de l'auteure nous permettent de comprendre tous les non-dits de cette famille dysfonctionnelle.
Il reste la poussière reste un livre violent, mais il s'agit d'une belle écriture et on ne retient que ça.
Et j'ai bien fait.
Il reste la poussière est l'histoire d'une famille d'éleveurs de Patagonie qui ne connait que la violence. Depuis le départ du père alcoolique, la mère s'est mise elle aussi à la boisson et dirige ses enfants d'une main impitoyable. Il y en a quatre, les deux grands jumeaux, le débile et le petit, enfant non désiré né après le départ du père, et c'est une tare que les autres lui font payer très cher.
Le récit est dur, très dur, et ce qui fait l'intérêt du livre, ce sont les analyses psychologiques de chacun des personnages. Chaque chapitre est présenté par l'un d'entre eux, pour nous faire partager son regard. Le talent de l'auteure nous permet de comprendre les relations entre les différents membres de cette famille de taiseux. Très peu de dialogues, mais les descriptions de l'auteure nous permettent de comprendre tous les non-dits de cette famille dysfonctionnelle.
Il reste la poussière reste un livre violent, mais il s'agit d'une belle écriture et on ne retient que ça.
Il y a des chanteurs qui sont aussi des amis.Robert jean-François,Joseph,Pascal dit "Boby" Lapointe en fait partie .Combien de fois avons-nous chanté (ou braillé c'est selon) ses œuvres lors de voyages en voiture en découvrant à chaque fois un nouveau jeu de mot qui nous avait échappé! Cette biographie ,toute amicale, retrace la vie de ce drôle de bonhomme qui unissait entre sérieux et loufoqueries les chiffres et les lettres. En 37 chapitres et un cahier de photos nous suivons les avatars de Boby avec délectation.
Cette conclusion à la trilogie d'une nuit d'hiver est une belle réussite et j'ai particulièrement aimé la fin.
J'ai mis du temps à finir cette lecture et j'ai parfois perdu le fil de ma lecture ou je ne me rappelais plus de certains personnages. Malgré ça, je reste sur une bonne impression.
J'ai tout particulièrement apprécié la note de l'autrice en fin de roman qui détaille les parties de l'histoire inspirées de faits réels et historiques. Le folklore russe est toujours aussi présent que dans les 2 premiers tomes et permet une immersion agréable dans cet univers.
L'héroïne Vassia quant à elle a gagné en maturité et devient vraiment attachante. J'ai vraiment adoré être témoin de son évolution et la suivre dans toutes les péripéties qu'elle rencontre.
J'ai mis du temps à finir cette lecture et j'ai parfois perdu le fil de ma lecture ou je ne me rappelais plus de certains personnages. Malgré ça, je reste sur une bonne impression.
J'ai tout particulièrement apprécié la note de l'autrice en fin de roman qui détaille les parties de l'histoire inspirées de faits réels et historiques. Le folklore russe est toujours aussi présent que dans les 2 premiers tomes et permet une immersion agréable dans cet univers.
L'héroïne Vassia quant à elle a gagné en maturité et devient vraiment attachante. J'ai vraiment adoré être témoin de son évolution et la suivre dans toutes les péripéties qu'elle rencontre.
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