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Très grand fan de Dragon Ball, l’édition pastel est la série de livre la plus lue de ma bibliothèque (par moi, et de nombreux prêts à des amis). Elle commence à vieillir et les quelques erreurs de traduction + le sens de lecture me pesait un peu et je regardais pour acheter une édition plus récente. Cette sortie de la Full Color édition m’a titillé rapidement, même si j’avais un gros doute sur le « ça va dénaturer l’œuvre originale ». Et en fait, c’est tout le contraire !
Je n’ai jamais mis autant de temps pour lire le tome 1 (puis le tome 2) tellement j’ai pris mon temps pour apprécier les cases. Le soleil couchant du chapitre 2, les couleurs des paysages, les dégradés, tout rajoute plus de punch, plus de profondeur, et à l’image de la première case de l’histoire (cultissime rondin de bois) on imagine que cette histoire a toujours été en couleurs (eh oui ! On a tous vu l’animé !)
Je suis absolument ravi de cette édition qui relève le défi de surpasser l’original. Les 32 tomes vont mettre 2-3 ans a sortir, c’est long et frustrant.
Cerise sur le gâteau : les notes sur les subtilités des jeux de mots et des noms, + les bonus en fin de tome.
Fan de DB ? Foncez vraiment, ça vaut plus que Dragon Ball Kai et Dragon Ball Super !
Je n’ai jamais mis autant de temps pour lire le tome 1 (puis le tome 2) tellement j’ai pris mon temps pour apprécier les cases. Le soleil couchant du chapitre 2, les couleurs des paysages, les dégradés, tout rajoute plus de punch, plus de profondeur, et à l’image de la première case de l’histoire (cultissime rondin de bois) on imagine que cette histoire a toujours été en couleurs (eh oui ! On a tous vu l’animé !)
Je suis absolument ravi de cette édition qui relève le défi de surpasser l’original. Les 32 tomes vont mettre 2-3 ans a sortir, c’est long et frustrant.
Cerise sur le gâteau : les notes sur les subtilités des jeux de mots et des noms, + les bonus en fin de tome.
Fan de DB ? Foncez vraiment, ça vaut plus que Dragon Ball Kai et Dragon Ball Super !
Décidément la fantasy feel good est à la mode ! Après les sorcières, les fées et autres créatures diverses et variées, on revient aux fondamentaux (oui pour moi !) : dragons ! Mais originalités, ce ne sont pas les dragons en tant que tels qui vont intéresser l’autrice ici mais leurs vétérinaires ^^
Quand on pense commencer à avoir fait un peu le tour de tout ce que les auteurs d’imaginaires ont à proposer, on se retrouve encore avec ce genre de petite pépite sortie de nulle part. Je vais être honnête, je n’attendais pas grand-chose de cette lecture en dehors d’un moment doux et rafraîchissant. J’ai été surprise de la lecture prétexte qu’elle fut pour évoquer quelque chose de bien plus profond : les conséquences de la guerre sur les survivants, anciens participants ou anciennes victimes ou spectateurs.
Yuna Hirasawa nous emmène en effet dans un monde où une guerre a eu lieu il n’y a pas si longtemps, laissant encore le pays ravagé par endroit et surtout les habitants marqués. Elle ne quitte pas leur mémoire et leur esprit. Là-dessus, sans rien savoir de tout cela ou presque au début, nous faisons la rencontre de 4 apprenties vétérinaires qui montent à la capitale pour suivre les cours de l’Académie en vue d’être diplômées. Mais le jour du concours d’entrée, elles vont être confrontées à un dragon qui ne va pas bien et il va falloir prendre une décision : rester et l’opérer quitte à risquer de ne pas réaliser leur rêve ou le laisser se débrouiller.
J’ai d’emblée trouvé la narration et le ton de l’autrice très bien choisis et posés. On sent une autrice qui sait où elle va et ce qu’elle veut communiquer à ses lecteurs. Il y a d’un côté une allure feel good avec l’amour des héros envers les dragons et les autres créatures peuplant cet univers qu’ils cherchent forcément à sauver et soulager de leurs maux. Ceux-ci sont représentés de manières à nous faire rêver, ils sont à la fois puissants et époustouflants. On en prend plein les yeux ! Mais il y a également un côté, un versant plus sombre et complexe dans l’histoire qui va vite richement nous occuper et se mêler astucieusement aux études de nos jeunes filles.
En effet, chaque chapitre est l’occasion pour elles d’un cas pratique, sauf que cela vient se percuter avec le décor et le contexte de l’histoire : à savoir la guerre qui a eu lieu. Celle-ci n’est pas sans conséquences et il reste des gens traumatisés par la perte d’un proche ou toujours dans l’attente du retour de quelqu’un. Deux des héroïnes sont notamment directement concernées, de même que leur professeur, cela aura son importance dans l’histoire sur les relations des uns et des autres, mais aussi sur l’ambiance qui est ainsi plus âpre et mélancolique. J’ai vraiment apprécié ce choix qui a fait passer le titre d’anecdotique à sympathique et dont j’attendrai avec plaisir la suite, car je veux voir de quelles autres conséquences il sera question. Pour le moment, j’ai aimé voir la décrit la souffrance psychologiques des survivants, le poids des rumeurs sur les familles de ceux passant pour des traîtres, le rôle et la place des dragons pas seulement comme outils mais réellement comme compagnon. Ça a richement nourri ma lecture.
Entre titre d’apprentissage et titre critique sur les conséquences de la guerre sur les populations, j’ai trouvé en Luca une surprise inattendue derrière son allure de joli petit titre feel good. Ça ne paie pas de mine mais les études de l’héroïne pour réaliser son rêve l’emmènent à de belles confrontations souvent âpres sur la question de la guerre et son poids sur les survivants. J’ai été touchée par ce choix et j’ai hâte de poursuivre le voyage.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Quand on pense commencer à avoir fait un peu le tour de tout ce que les auteurs d’imaginaires ont à proposer, on se retrouve encore avec ce genre de petite pépite sortie de nulle part. Je vais être honnête, je n’attendais pas grand-chose de cette lecture en dehors d’un moment doux et rafraîchissant. J’ai été surprise de la lecture prétexte qu’elle fut pour évoquer quelque chose de bien plus profond : les conséquences de la guerre sur les survivants, anciens participants ou anciennes victimes ou spectateurs.
Yuna Hirasawa nous emmène en effet dans un monde où une guerre a eu lieu il n’y a pas si longtemps, laissant encore le pays ravagé par endroit et surtout les habitants marqués. Elle ne quitte pas leur mémoire et leur esprit. Là-dessus, sans rien savoir de tout cela ou presque au début, nous faisons la rencontre de 4 apprenties vétérinaires qui montent à la capitale pour suivre les cours de l’Académie en vue d’être diplômées. Mais le jour du concours d’entrée, elles vont être confrontées à un dragon qui ne va pas bien et il va falloir prendre une décision : rester et l’opérer quitte à risquer de ne pas réaliser leur rêve ou le laisser se débrouiller.
J’ai d’emblée trouvé la narration et le ton de l’autrice très bien choisis et posés. On sent une autrice qui sait où elle va et ce qu’elle veut communiquer à ses lecteurs. Il y a d’un côté une allure feel good avec l’amour des héros envers les dragons et les autres créatures peuplant cet univers qu’ils cherchent forcément à sauver et soulager de leurs maux. Ceux-ci sont représentés de manières à nous faire rêver, ils sont à la fois puissants et époustouflants. On en prend plein les yeux ! Mais il y a également un côté, un versant plus sombre et complexe dans l’histoire qui va vite richement nous occuper et se mêler astucieusement aux études de nos jeunes filles.
En effet, chaque chapitre est l’occasion pour elles d’un cas pratique, sauf que cela vient se percuter avec le décor et le contexte de l’histoire : à savoir la guerre qui a eu lieu. Celle-ci n’est pas sans conséquences et il reste des gens traumatisés par la perte d’un proche ou toujours dans l’attente du retour de quelqu’un. Deux des héroïnes sont notamment directement concernées, de même que leur professeur, cela aura son importance dans l’histoire sur les relations des uns et des autres, mais aussi sur l’ambiance qui est ainsi plus âpre et mélancolique. J’ai vraiment apprécié ce choix qui a fait passer le titre d’anecdotique à sympathique et dont j’attendrai avec plaisir la suite, car je veux voir de quelles autres conséquences il sera question. Pour le moment, j’ai aimé voir la décrit la souffrance psychologiques des survivants, le poids des rumeurs sur les familles de ceux passant pour des traîtres, le rôle et la place des dragons pas seulement comme outils mais réellement comme compagnon. Ça a richement nourri ma lecture.
Entre titre d’apprentissage et titre critique sur les conséquences de la guerre sur les populations, j’ai trouvé en Luca une surprise inattendue derrière son allure de joli petit titre feel good. Ça ne paie pas de mine mais les études de l’héroïne pour réaliser son rêve l’emmènent à de belles confrontations souvent âpres sur la question de la guerre et son poids sur les survivants. J’ai été touchée par ce choix et j’ai hâte de poursuivre le voyage.
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Une étrange épidémie touche les enfants du royaume des Neiges. De sortes que les princes ont été confinés dans le château sans la moindre opportunité de rencontrer des jeunes de leur âge (cf. Citation). D’où vient ce mal ? Pourquoi ne tue-t-il que les petits ? Difficile à dire, mais à 13 ans, à la puberté (et accessoirement le passage à l’âge adulte dans le monde créé par Kiko Urino) : plus aucun danger ! C’est à ce moment précis que le prince Kislim décide de s’évader pour retrouver son ancienne fiancée, Uluru princesse du royaume du Feu. Accompagné de son demi-frère du même âge, le voilà parti à l’aventure !
En ayant privé ses protagonistes de tout contact extérieur, l’autrice nous permet de découvrir cet univers en même temps qu’eux. Ou presque. Ils en connaisse l’Histoire, savent que les dragons sont monnaie courante, mais c’est à peu près tout... même la vue d’un arbre les émerveille, c’est pour dire. Toutefois, malgré cette candeur apparente, le récit n’est pas sans un côté sombre. Si les dragons existent, force est de constater que d’autres créatures tout aussi dangereuses arpente les forêts que Kislim et Al doivent traverser pour rejoindre les terres du milieu, entre les deux royaumes “De Neiges et de Flammes”. Qui plus est, étant issus de familles royales, les complots et les affaires diplomatiques sont en jeu avec la disparition des deux princes, mais également de la princesse du Feu, bien déterminée, elle aussi, à rejoindre son ancien fiancé !
On peut donc clairement s’attendre à beaucoup d’action et de sournoiserie dans ce récit déjà prometteur d’entrée de jeu. Le graphisme de Kiko Urino est somme toute classique, mais il donne le change au scénario accrocheur tant pour les adolescents que d’autres amateurs de Fantasy. Sans aucun doute un parcous initiatique également pour ces jeunes gens qui ont encore tout à apprendre de la vie, mais également sur leurs pouvoirs respectifs !
Alors, en un mot comme en cent : affaire à suivre !
Lien : https://sambabd.net/2024/05/..
En ayant privé ses protagonistes de tout contact extérieur, l’autrice nous permet de découvrir cet univers en même temps qu’eux. Ou presque. Ils en connaisse l’Histoire, savent que les dragons sont monnaie courante, mais c’est à peu près tout... même la vue d’un arbre les émerveille, c’est pour dire. Toutefois, malgré cette candeur apparente, le récit n’est pas sans un côté sombre. Si les dragons existent, force est de constater que d’autres créatures tout aussi dangereuses arpente les forêts que Kislim et Al doivent traverser pour rejoindre les terres du milieu, entre les deux royaumes “De Neiges et de Flammes”. Qui plus est, étant issus de familles royales, les complots et les affaires diplomatiques sont en jeu avec la disparition des deux princes, mais également de la princesse du Feu, bien déterminée, elle aussi, à rejoindre son ancien fiancé !
On peut donc clairement s’attendre à beaucoup d’action et de sournoiserie dans ce récit déjà prometteur d’entrée de jeu. Le graphisme de Kiko Urino est somme toute classique, mais il donne le change au scénario accrocheur tant pour les adolescents que d’autres amateurs de Fantasy. Sans aucun doute un parcous initiatique également pour ces jeunes gens qui ont encore tout à apprendre de la vie, mais également sur leurs pouvoirs respectifs !
Alors, en un mot comme en cent : affaire à suivre !
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