Editions Ouest-France [corriger]

Intriguée par cet ouvrage posé sur une table de ma médiathèque, j'ai pris plaisir à découvrir l'histoire d'une marque que j'affectionne.

Au delà de l'histoire de la marque et de ses modèles iconiques, c'est l'histoire d'hommes et de femmes qui se battent pour qu'Armor-lux dure et continue à faire vivre tant de gens.

Une marque de textile qui fait face à la mondialisation et qui par son encrage territorial, son identité bretonne très marquée, ses entrepreneurs avant-gardistes et salariés impliqués restent vent debout. Une marque engagée dans l'air du temps qui tente d'anticiper les défis de demain.

Un très beau document mais qui peut parfois manqué de nuances.

Ce roman Les Talismans de Danann, est le troisième tome de la série La légende de Kaelig Morvan par Romain Godest, nous plonge dans une aventure épique où le mythe et la réalité s’entremêlent de manière fascinante. Ce récit, riche en action et en émotions, ou nous suivons les péripéties d’Aela et ses compagnons qui, en fuyant vers l’Irlande, se retrouvent sur les traces des Tuatha Dé Danann, un peuple légendaire issu du Sidh.



Dans ce tome, les protagonistes sont confrontés à des forces obscures, avec Exarh et la fée d’Huelgoat qui s’allient dans l’ombre pour contrer les desseins du demi-frère de Merlin. Kaelig, accompagné de sa fille, brave tous les dangers pour sauver le monde de la destruction. Leur quête les mène à côtoyer des alliés puissants, y compris un dragon légendaire, et même la mort en personne.



L’auteur, Romain Godest, maîtrise avec brio les légendes celtiques, tissant des liens entre les Tuatha Dé Danann, la fée Morgane, Merlin, et d’autres êtres du Sidh. Il nous offre une histoire dans laquelle les aventures extraordinaires d’Aela révèlent l’ampleur de ses pouvoirs et la force de son caractère. La série est saluée pour son mélange habile d’aventures, de légendes celtiques, et de personnages féminins forts et colorés.



Ce roman Les Talismans de Danann est une œuvre qui ravira les amateurs de légendes celtiques et de voyages en terres armoricaines et irlandaises. C’est un livre qui mérite sa place dans la bibliothèque de tout passionné de fantasy et de mythologie, offrant une conclusion satisfaisante et captivante à la trilogie de Kaelig Morvan.
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C'est une très belle BD au format original puisqu'il donne la voix à huit "Aventurières de la mer" qui sont au choix photographe, archéologue, sous-marine, apnéiste, biologiste marin, officière de marine marchande, intendante, reporter ou encore capitaine de frégate. De douces peintures à l'aquarelle sont au service de ces tranches de vie et de ces folles expéditions. De beaux couchers de soleil, des aurores boréales et des grands formats d'animaux sauvages viennent rehausser le bleu et le blanc de l'océan et de la neige et donner vie à ces croquis d'aventure.



On part sur un navire de ravitaillement pour les îles de la Désolation (ça donne envie...!), peuplées d'albatros, de manchots, d'éléphants de mer et d'orques ; on est prises dans les glaces de l'Arctique avec pour seule compagnie des phoques... et des ours, on plonge prélever et étudier du plancton ; ou encore participer au sauvetage de migrants en Méditerranée avec l'Aquarius... Tout un tas d'aventures qui donnent envie de prendre le large, de se faire confiance et de se perdre (ou se retrouver?) dans ces immensités, avec son carnet de voyage et ses aquarelles à soi. Elles sont des femmes courageuses, modernes, elles sont admirables et silencieuses. Fort heureusement le podcast Women of the seas et cette BD leur donnent la parole et nous permettent d'entrevoir la diversité des métiers et des expéditions auxquels tout un chacun (ou toute une chacune) pouvons prendre part si l'on s'en donne les moyens et qu'on saisit ses opportunités.



J'aurais bien aimé dans l'intérieur des couvertures trouver une carte du monde avec un tag des endroits et des noms de bateaux pour contenter ma "carte mentale" des événements. Aussi, mon dictionnaire et Internet ont séché devant le mot "astrugies" (p99) mais d'après une célèbre encyclopédie en ligne je suppose qu'il s'agit du mot "sastrugi" emprunté au russe "zastruga" : " ligne de crête tranchante et irrégulière sur une étendue de neige résultant de l'érosion causée par le vent, de la saltation de particules de neige et de leur dépôt dans les régions enneigées, polaires comme tempérées" (Wikipédia).



Une jolie BD que je recommande à tout lecteur et toute lectrice ayant envie de changer d'air et de goûter quelques embruns pour saler son quotidien pantouflard !



PS : je remercie les Editions Ouest France pour le livre et surtout la jolie lettre qui l'accompagnait (c'est rare!), ainsi que Babelio évidemment :)