Fin 2005, la société Ankama décide d`éditer ses propres projets en créant une maison d`édition nommé Ankama Editions. Si certaines créations reprennent les jeux vidéos créés par Ankama, la maison publie également des ouvrages inédits aux thèmes variés.
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Extrait :
Nouvelle série pour l’éditeur Ankama où je n’ai pas vraiment d’autres titres que Radiant. Radiant qui s’avère être la série principale de Cyfandir Chronicles, qui est donc son spin off. Les événements reprennent pour le royaume de Merlin, tout ne s’arrête pas avec le départ d’Ocoho et des autres. La vie reprend, mais surtout, les prisonniers de la forêt commencent à en ressortir, chaque jour plus nombreux. Le royaume doit donc se reconstruire, tout en accueillant toujours plus de nouveaux habitants, parfois toujours perdus…
Même si l’intrigue de la série peut-être découverte sans avoir lu Radiant, je pense qu’il vaut tout de même mieux avoir lu la série jusqu’à cet arc. Vous avez de la chance, puisqu’il fait partie des premiers réalisé, je crois bien qu’il s’agit même du second arc de la série, qui se termine au tome 10. Si je conseille cela, c’est surtout pour vous compreniez mieux certains personnages, leur design changeant, mais aussi leurs conversations et relations. Sans cela, tous ses éléments pourraient vous paraître bien différents. Tout comme la condition des infectés par exemple, même si elle est brièvement expliquée, sans les événements de Radiant, on aura tendance à les sous-estimer. Les personnages principaux sont bien évidemment différents de ceux de Radiant, mais on peut retrouver des visages connus, comme la Reine gigantesque, qui semble avoir subie bien des dommages, conséquences de la dernière guerre. Ce spin off tombe vraiment à pic ! Il permet de continuer de développer l’histoire autour de ce royaume et de ses personnages comme Myr par exemple. Chose que l’auteur n’aurait, sans doute, pas eu le temps de faire dans Radiant. Avoir un univers riche, qui donne envie d’en avoir plus, et donc des spins off, c’est la preuve d’un excellent titre, d’un titre bien construit.
L’intrigue reprend donc avec la victoire de Cyfandir dans Radiant, ainsi que le départ de la team Seth. Le royaume commence à se reconstruire tant bien que mal, mais une autre difficulté s’ajoute à cela : de nouveaux habitants. En effet, le fantasia (magie) que contenait la forêt commence à se dissiper, libérant petit à petit ses prisonniers. Le plus effrayant dans tout cela, c’est que les « revenants » ne sont pas toujours issus de la même époque. La forêt était un piège à la fois géographie (elle perd les gens), mais aussi temporel (elle les perd aussi dans le temps). Ainsi, certaines personnes se retrouvent plusieurs décennies plus tard, et apprennent donc avec effroi que tous leurs proches ne sont plus présents. D’autres viennent d’encore plus loin et sont donc encore plus perdus. Pour l’instant, personne ne vient du futur (car c’est techniquement possible aussi), mais j’imagine que c’est normal, si la forêt perd sa magie, impossible que des gens s’y perdent dans le futur. Un troisième problème vient s’ajouter, puisque de mystérieux vols ont lieu sur le territoire, et même au sein du château… faisant monter les tensions, le regard dirigé vers des innocents.
[...]
Lien : https://sunread26.wordpress...
Nouvelle série pour l’éditeur Ankama où je n’ai pas vraiment d’autres titres que Radiant. Radiant qui s’avère être la série principale de Cyfandir Chronicles, qui est donc son spin off. Les événements reprennent pour le royaume de Merlin, tout ne s’arrête pas avec le départ d’Ocoho et des autres. La vie reprend, mais surtout, les prisonniers de la forêt commencent à en ressortir, chaque jour plus nombreux. Le royaume doit donc se reconstruire, tout en accueillant toujours plus de nouveaux habitants, parfois toujours perdus…
Même si l’intrigue de la série peut-être découverte sans avoir lu Radiant, je pense qu’il vaut tout de même mieux avoir lu la série jusqu’à cet arc. Vous avez de la chance, puisqu’il fait partie des premiers réalisé, je crois bien qu’il s’agit même du second arc de la série, qui se termine au tome 10. Si je conseille cela, c’est surtout pour vous compreniez mieux certains personnages, leur design changeant, mais aussi leurs conversations et relations. Sans cela, tous ses éléments pourraient vous paraître bien différents. Tout comme la condition des infectés par exemple, même si elle est brièvement expliquée, sans les événements de Radiant, on aura tendance à les sous-estimer. Les personnages principaux sont bien évidemment différents de ceux de Radiant, mais on peut retrouver des visages connus, comme la Reine gigantesque, qui semble avoir subie bien des dommages, conséquences de la dernière guerre. Ce spin off tombe vraiment à pic ! Il permet de continuer de développer l’histoire autour de ce royaume et de ses personnages comme Myr par exemple. Chose que l’auteur n’aurait, sans doute, pas eu le temps de faire dans Radiant. Avoir un univers riche, qui donne envie d’en avoir plus, et donc des spins off, c’est la preuve d’un excellent titre, d’un titre bien construit.
L’intrigue reprend donc avec la victoire de Cyfandir dans Radiant, ainsi que le départ de la team Seth. Le royaume commence à se reconstruire tant bien que mal, mais une autre difficulté s’ajoute à cela : de nouveaux habitants. En effet, le fantasia (magie) que contenait la forêt commence à se dissiper, libérant petit à petit ses prisonniers. Le plus effrayant dans tout cela, c’est que les « revenants » ne sont pas toujours issus de la même époque. La forêt était un piège à la fois géographie (elle perd les gens), mais aussi temporel (elle les perd aussi dans le temps). Ainsi, certaines personnes se retrouvent plusieurs décennies plus tard, et apprennent donc avec effroi que tous leurs proches ne sont plus présents. D’autres viennent d’encore plus loin et sont donc encore plus perdus. Pour l’instant, personne ne vient du futur (car c’est techniquement possible aussi), mais j’imagine que c’est normal, si la forêt perd sa magie, impossible que des gens s’y perdent dans le futur. Un troisième problème vient s’ajouter, puisque de mystérieux vols ont lieu sur le territoire, et même au sein du château… faisant monter les tensions, le regard dirigé vers des innocents.
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L'histoire est un bon début pour une réflexion sur la vie "facilitée" par les algorythmes de l'intelligence artificielle. enfin bon début, pas vraiment, car ces méthodes sont déjà utilisées, stats poussées à des applications et tout dépend de qui est au bout de l'application... aux États-Unis, ce type de programme existe et a donné des lettres de désignation de pré-delinquance reçues par des personnes qui auraient pu continuer à être des personnes lambda si ces programmes de croisement de données ne les avaient pas stigmatisées... L'urgence est quand même de s'interroger sur le concept de la liberté, l'illusion du confort technologique et que l'être humain soit responsable de ses choix,, de ses actes, de ses forces comme de ses faiblesses.
Ce One-Shot "Doggybags" n'est clairement pas le plus inspiré de toute la collection des "Doggybags" indépendants.
Je relève néamoins la note, car l'aspect graphique des dessins est toujours aussi bon et est très bien ancré dans ce que le Label 619 sait faire de mieux, mais l'histoire pêche un peu. Ou tout du moins elle aurait mérité un ou deux chapitres en plus.
Les auteurs au scénario ont clairement été influencés par la période covid, le survivalisme, de guerre civile américaine et cette trame principale où les personnages essaient de vivre ensembles après une embuscade et se retrouvent confinés à essayer de survivre tant bien que mal et à se remémorer le passé, mais la formule ne prend pas.
J'ai réhaussé la note comme je le dis plus haut car je suis un fan incontournable du label nordiste français et que les dessins sont très bien travaillés mais malheureusement, c'est une déception au niveau du scénario.
Je relève néamoins la note, car l'aspect graphique des dessins est toujours aussi bon et est très bien ancré dans ce que le Label 619 sait faire de mieux, mais l'histoire pêche un peu. Ou tout du moins elle aurait mérité un ou deux chapitres en plus.
Les auteurs au scénario ont clairement été influencés par la période covid, le survivalisme, de guerre civile américaine et cette trame principale où les personnages essaient de vivre ensembles après une embuscade et se retrouvent confinés à essayer de survivre tant bien que mal et à se remémorer le passé, mais la formule ne prend pas.
J'ai réhaussé la note comme je le dis plus haut car je suis un fan incontournable du label nordiste français et que les dessins sont très bien travaillés mais malheureusement, c'est une déception au niveau du scénario.
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