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Citations de Viveca Sten (280)


Il y a quelque chose de provoquant dans la répartition des sexes et des âges au sein de Fjall-stad, mais c'est le cas dans beaucoup d'entreprises suédoises. Les femmes font le boulot tandis que les hommes occupent les postes de direction et prennent les décisions.
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Annoncer un décès deux jours après Noël, c'était dur. Désormais, cette fête serait pour la fille [ 13 ans ] à jamais associée à la mort de sa mère.
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Tu sais bien comment nous fonctionnons, nous les hommes, dit Thomas en essayant de plaisanter. Nous ne sommes capables de nous concentrer que sur une chose à la fois.
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En Suède, il est de bon ton de faire profil bas, de ne pas faire étalage de son argent et de ses biens, mais ici Lydia et Richard ont fait tout le contraire.
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Il lui fallut quelques secondes avant de se reconnaitre. Elle avait de grands cernes sombres autour des yeux, le teint gris. de profondes rides entre le nez et la bouche.
J'ai l'air d'une vieille femme, pensa- t' elle. Où est passé le temps ?
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Comme la vie des gens basculaient vite. Un jour marin sur les mers du vaste monde, le lendemain malade et mourant.
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- Pas de problèmes d'argent chez ces gens-là", lâcha à mi-voix Margit.
C'est peut-être justement là le problème, pensa Thomas, si un gamin de seize ans a les moyens de s'acheter régulièrement de la cocaïne.
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Il aurait aimé pouvoir appeler des renforts , mais hélas tout le monde était en vacances .Moralité : évitez de tomber malade ou de vous faire assassiner en Juillet , songea-t-il amèrement . C était la triste vérité.
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Mais s'il cessait d'être policier, qui était-il ?
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Nora poussa le joli portail à deux battants qui conduisait à la villa Brand. Elle gravit les quelques marches du perron et frappa.
À Sandhamm, on ne connaissait pas les sonnettes. Soit la porte était ouverte et il fallait alors prendre la précaution de s’annoncer en criant : «Il y a quelqu’un ?» avant d’entrer, soit on frappait bien fort à la porte. Les deux façons étaient admises, pourvu qu’on signale clairement son arrivée.
Signe vint ouvrir vêtue de son éternel tablier, que Nora l’avait toujours vue porter. Parfois elle se demandait si elle n’en avait pas toute une panoplie, tous identiques, qu’elle jetait à mesure qu’ils s’usaient.
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Aucun d'entre eux n'avait imaginé le peu de temps qu'il lui restait à vivre. Auraient-ils fait d'autres choix, s'ils avaient su ce qui les attendait ? Auraient-ils su apprécier autrement la vie en devinant à quelle vitesse elle allait leur échapper ?
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Thomas avait imaginé un appartement plus en désordre, plus crasseux, moins accueillant que ce foyer bien ordonné avec ses fauteuils en cuir. Ça aurait mieux correspondu à l'idée qu'il se faisait du pédophile.
Mais ça ne changeait rien, cet homme était un monstre, quelles que soient les apparences.
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Ce n'est pas parce qu'on a gagné beaucoup d'argent qu'on peut se comporter n'importe comment en s'installant dans un nouvel endroit."
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- " Pourquoi as-tu décidé de devenir policier ? " avait-il plutôt demandé.
Aram avait baissé les yeux, l'air gêné.
" Je crois que c'était par gratitude, avait-il fini par dire. Pas pour me faire remarquer ou quoi… je n'essaie pas de jouer les héros. Mais je voulais en somme… remercier d'avoir pu venir ici, que ma famille ait trouvé un havre de paix.
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Mais , ce n'est pas notre faute s'il perd son emploi. Pourquoi faut-il qu'il nous punisse pour ça ?"
Vendela sourit tristement à son fils.
"Qui d'autre pourrait-il punir ?"
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Le petit-déjeuner terminé, Nora avait sorti le sac de plage, les maillots et les draps de bain. Simon des pelles et des seaux en plastique multicolores. Ils avaient pris les vélos, longé les tennis, puis traversé la forêt jusqu’à Trouville.
Adam s’était plaint qu’ils ne roulaient pas assez vite, mais Simon pédalait de toutes les forces de ses petites jambes. Nora n’avait pas le cœur de lui demander d’accélérer.
Au bout de deux Kilomètres, la route obliquait vers la droite. Deux cents mètres plus loin, on était sur la plage.
Les touristes de Stockholm n’étaient pas encore arrivés. Quand ils débarquaient du direct de onze heures, il y avait foule. Mais comme il était à peine plus de dix heures, ils purent choisir leur emplacement.
Nora ne contestait absolument pas aux touristes leur droit de profiter de l’archipel, mais elle ne pouvait s’empêcher de songer combien c’était agréable, quand elle était petite et que les visiteurs arrivaient encore au compte-goutte, comparé aux flots qui se déversaient aujourd’hui.
En voyant les foules qui débarquaient des ferries en juillet, on se demandait si l’île n’allait pas sombrer sous le poids.
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Isabelle von Hahne adressa un sourire aimable à Margit et Thomas en entrant dans la pièce. De grosses lunettes de soleil noires retenaient ses cheveux blonds. De lourds bracelets d’or tintaient à son poignet droit.
Une grosse cylindrée, pensa Thomas.
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A vrai dire, elle avait un peu honte de s'être laissée effrayer. Elle était adulte, elle ne devrait plus avoir peur du noir.
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Le premier commandement dans une enquête criminelle est de ne pas se fixer trop tôt. Ni sur une hypothèse ni sur un suspect. Il faut laisser toutes les portes ouvertes.
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C'était digne d'un mauvais roman d'amour, où la noble héroïne supporte tout et se voit récompensée par un amour et un bonheur éternels. Mais il n'y avait que dans les livres qu'il suffisait à une femme de se sacrifier pour résoudre ses problèmes. Dans la vraie vie ne restait que la sensation dévastatrice d'avoir été roulée dans la farine.
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