C'est de l'obscurité que naît la lumière.
- Je suis née en août 1942. Ma mère me portait dans ses bras quand un gendarme français nous a permis d'échapper à une rafle. Je suis une juive survivante. J'ai perdu mon père et la plupart des membres de ma famille dans les camps de concentration. J'ai vécu cachée à la campagne chez des paysans catholiques. J'ai gardé de cette enfance une tendresse particulière pour ces gens qui ne croient pas au même dieu que moi.
Si l’on ne reconnaît pas les droits des nations, celles-ci, humiliées et opprimées, porteront dans le futur le joug qui leur aura été imposé, préparant la révolte et transmettant de génération en génération un triste héritages de haine et de vengeance.
Qui était la Joconde ? Le simple portrait d’une bourgeoise florentine ? Les spéculations sont nombreuses et il en naît encore de nouvelles 500 ans plus atrd0 oui, pour certains, on peut même y déceler les traits cachés de son jeune assistant qui était probablement son amant. Pour d’autres, on peut y voir le visage de l’artiste lui-même, selon Freud et d’autres encore, Léonard de Vinci aurait peint indéfiniment le visage de sa mère disparue trop tôt. N’est-ce pas farfelu ? Pourquoi toutes ces hypothèses ? Les visages de la Joconde semblent multiples et l’intérêt de ces interrogations durant des siècles réside peut-être dans l’interrogation elle-même.
-Ce chanteur raté d'1M5, mi-hippie, mi-nazi, Charles Manson, aura tout de même séduit des milliers de personnes à travers le monde...
-Peut-être parce que le monde est aussi un chanteur raté mi-hippie mi-nazie ?
Parfois dans la vie, quelqu'un arrive.
Pas forcément à moto d'ailleurs.
Mais il transforme tout parce qu'il est différent, parce qu'il est merveilleux, parce qu'il est rare.
...
Des fois aussi dans la vie, les gens s'en vont et vous quittent à jamais.
Pas forcément à moto d'ailleurs.
C'était plus simple d'ignorer tout çà, moins douloureux aussi. On pensait qu'on ne pouvait rien y faire.
Le plaisir le plus noble est la joie de comprendre. – Léonard de Vinci
Soyez vous-même, les autres sont déjà pris. - Oscar Wilde
Alors vous pensez : c'est bon je suis guéri ! Est-ce vraiment la fin ? Ou n'êtes-vous pas en train de fuir un gros nœud que vous n'avez pas envie de dénouer ? Une psychothérapie n'est pas un processus linéaire. On avance, on régresse, on tourne en rond, on avance à nouveau, puis on patauge dans la semoule. Il arrive qu'on installe des stratégies d'évitement devant un gros morceau à travailler. C'est la résistance au changement. Cette résistance opère souvent inconsciemment. On arrive en retard aux séances pour les écourter, on a oublié un rendez-vous… on peut même mettre fin à la thérapie. L'inconscient résiste car il n'aime pas le changement. Car si je change, que deviennent mes protections ? si je change, suis-je toujours moi-même ? Une thérapie est terminée quand les symptômes du mal-être ont disparu et que la personne est équilibrée dans son rapport aux autres et à elle-même.