La transition entres les Communes et le campo était aussi brutale que radicale : des allées boueuses aux pavés propres, des relents de fumée, de crottin et de putréfaction à l'arôme doux de la viande épicée grillée ; jusqu'aux passants, avec leur vêtements bien coupés et colorés, la peau propre et saine, qui marchaient sans infirmité, difformité, fatigue ou ébriété.