Citations de Nell Pfeiffer (82)
- 𝑻𝒖 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒂 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒔𝒐𝒏...
𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒂 𝒍𝒆 𝒄𝒂𝒑𝒐𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒔𝒆𝒔 𝒍𝒆̀𝒗𝒓𝒆𝒔, 𝒑𝒓𝒆̂𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒓𝒆́𝒄𝒊𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒎𝒂𝒏𝒕𝒓𝒂.
- 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒅𝒆𝒖𝒙 𝒇𝒂𝒄𝒆 𝒂𝒖 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆, 𝒎𝒖��𝒎𝒖𝒓𝒂-𝒕-𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆 𝒎𝒆́𝒕𝒂𝒍.
𝑭𝒂𝒓𝒂𝒏𝒅𝒐𝒍𝒆 𝒗𝒊𝒃𝒓𝒂 𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓.
- 𝑷𝒐𝒖𝒓 𝒕𝒐𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔.
𝑳𝒆 𝑻𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒃𝒊𝒆𝒏𝒕𝒐̂𝒕 𝒔𝒂 𝒇𝒊𝒏. 𝑻𝒐𝒖𝒕 𝒔𝒆 𝒕𝒆𝒓𝒎𝒊𝒏𝒆𝒓𝒂 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒕𝒐𝒊. 𝑶𝒖 𝒑𝒆𝒓𝒅𝒖𝒓𝒆𝒓𝒂 𝒈𝒓𝒂̂𝒄𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒖𝒊.
Ne me laissez plus, et je ne vous quitterai plus.
C'était sûrement cela, son pire cauchemar : réaliser qu'il était le monstre de quelqu'un. Il était celui de Sophie, alors qu'elle était sa lumière.
Que le destin m'emporte ! Je serai heureux d'avoir connu la lumière avant de plonger dans les ténèbres.
Je vous veux bien plus que dans mes rêves, Sophie.
Tu es la singularité de son monde.
C’est nous deux face au reste du monde.
Le père de Sophie lui manquait. Il se tenait en face d'elle, mais n'était que l'ombre de l'homme qu'il allait devenir. Ce Victor-ci était une esquisse juvénile. Dans quelques années, les coups de pinceau de la vie traceraient des lignes plus franches, des détails plus forts et là, il deviendrait l'homme qu'elle avait connu.
Les songes sont une porte vers les secrets. On ne peut rien y cacher, même les mensonges que l'on se raconte pendant que l'on est éveillé ne subsistent pas lorsque nous dormons.
J'aurais souhaité être une raison suffisante pour que vous restiez, mais j'ai plutôt été celle qui vous a poussée à partir.
— Parfois, je me dis que les cauchemars ne cesseront jamais.
— Si, avec le temps, Sophie.
— Je crois qu'il ne me laisse pas oublier, comme pour me punir.
— Oublier, non. Le temps passe, apaise. Quoique, il fait oublier, mais il faut être très vieux, il me semble.
Un cauchemar, ça prend à la gorge jusqu'à ce que tu sois tellement effrayé que tu supplies pour le quitter.
- Je t’interdis de m’abandonner ! protesta-t-elle avec véhémence. Tu craignais que ce ne soit moi qui t’abandonne et jamais, jamais je n’aurais fait une chose pareille ! Alors pourquoi toi, tu le ferais ?
- Sophie, tu m’as offert la meilleure des vies. Peu importe quel Tisseur de Temps est à l’origine de ma naissance : j’ai commencé à vivre pour de bon le jour où tu m’as glissé dans ta poche et où tu m’as donné de l’importance. Personne ne m’avait considéré, avant toi.
- Tout ce dont tu es coupable, c'est d'avoir eu le choix. Mais choisir, c'est prendre le risque de se tromper, d'échouer. Avancer vers sa destinée, c'est potentiellement faire dévier le monde, et alors ? Rien ne doit demeurer immuable. Le temps permet tant de changements. Si tout doit rester figé, à quoi est-ce que je sers ?
J'aurais souhaité être une raison suffisante pour que vous restiez, mais j'ai plutôt été celle qui vous a poussé à partir.
Dimitri
Si le silence me soufflait quelques secrets, je serais bien plus enclin à l'écouter.
Farandole
Je veux pouvoir trouver ma voie toute seule, sans que mon passé me dicte mon avenir.
Sophie
Je le demande si même le temps en personne serait capable d'immobiliser cette ville.
Elias
Tu peux devenir qui tu veux. Ton passé n'a pas d'importance.