Ryo, assigné femme à la naissance, se sent mal dans son corps et vis-à-vis de l'identité de genre qu'on cherche à lui imposer. Refusant de porter son uniforme de fille, il essaie autant que possible de se rendre au lycée en tenue de sport. Mais son destin va changer avec l'arrivée d'un nouvel élève ! Malgré le look de « voyou » de ce dernier, les deux lycéens découvrent qu'ils partagent la même passion pour la mode. Aussi, passé un premier contact difficile, ils décident d'un commun accord de se lancer dans un grand projet : créer ensemble une marque de vêtements avec pour rêve et revendication de pouvoir s'affirmer et s'exprimer en dehors des diktats de la société !
Keito Gaku, artiste transgenre, met en scène dans "Boys Run The Riot" l'histoire d'amitié de deux adolescents qui ne se sentent pas en phase avec les normes étouffantes de la société. Laissez-vous embarquer par la fougue de ces jeunes en quête de liberté !
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Extrait gratuit : http://www.akazoom.fr/boys-run-the-riot-t1
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Le clou qui dépasse appelle le marteau.
- Quand je suis sapé comme j'aime, je peux me cacher, je sais bien que ça sert à rien... Enfin, c'est juste une manière de fuir...
- C'est plutôt le contraire, non? Pour moi, les vêtements, c'est ce qui me permet de vivre en étant moi-même.
Je suis du genre a toujours me préoccuper des réactions des gens et à avoir du mal à parler. Alors quand je les regarde à travers l’objectif ou sur les photos que j’ai prises. C’est là que je peux le mieux les voir. La photo c’est ce qui me relie au monde.
Que ce soit d’où on vient, ce qu’on fait dans la vie, notre âge, ou notre apparence, on vit tous en étant contraints par les attentes et les jugements des autres. Mais on peut changer ça. En tout cas, c’est ce que je veux croire.
Tu sais, on cherche pas à gagner des millions non plus… On fuit pas la réalité. On voulait juste défier… ce que les autres pensent, la normalité… et nos propres limites.
Quand tu juges de ce qui est normal ou pas tu crois pas que tu te comportes exactement pareil que ceux qui t’ont fait subir ça ?
Mais je pense que mon arme à moi, c'est le graffiti!
Ce que je suis incapable d'exprimer avec des mots, les sentiments que je réprime en temps normal, c'est grâce au graffiti que j'ai pu m'exprimer et tenir le coup, c'est la seule chose que je veux à tout prix continuer
Pour moi, les vêtements, c’est ce qui me permet de vivre en étant moi-même.
Même en art il y a des évaluations, des chiffres, des résultats concrets et à ce jeu-là, il y a des gagnants et des perdants.
- "None of our business", nous non plus ça nous regarde pas.
- On s'en prend plein la gueule dans les commentaires
- On s'y attendait.
- Ça fait flipper, quand même...
- Si t'as quelqu'un qui hurle à l'aide dans une maison en flammes, tu peux lui crier depuis l'extérieur autant que tu veux que tu le soutiens, ça lui servira à rien.