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Citations de Jane Austen (2527)


Depuis le commencement, je pourrais dire dès le premier instant où je vous ai vu, j’ai été frappée par votre fierté, votre orgueil et votre mépris égoïste de sentiments d’autrui. Il n’y avait pas un mois que je vous connaissais et déjà je sentais que vous étiez le dernier homme du monde que je consentirais à épouser.
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Jane Austen
Qui sourit n'est pas toujours heureux.
Il y a des larmes dans le coeur qui n'atteignent pas les yeux.

(" Orgueil et préjugés ")
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Je lui aurais volontiers pardonné son orgueil s'il n'avait tant mortifié le mien
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À ceux qui ne changent jamais d'opinion, il incombe particulièrement de bien juger du premier coup.
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Je n'aime véritablement que peu de gens et en estime moins encore. Plus je connais le monde et moins j'en suis satisfaite. Chaque jour appuie ma conviction de l'inconséquence de tous les hommes et du peu de confiance qu'on peut accorder aux apparences du mérite et du bon sens.

Volume II, Chapitre 1.
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- Arrivez ici, mademoiselle, lui cria son père dès qu'elle parut. Je vous ai envoyé chercher pour une affaire d'importance. Mr Collins, me dit-on, vous aurait demandée en mariage. Est-ce exact ?
- Très exact, répondit Elizabeth.
- Vous avez repoussé cette demande ?
- Oui, mon père.
- Fort bien. Votre mère insiste pour que vous l'acceptiez. C'est bien cela, Mrs Bennet ?
- Parfaitement ; si elle s'obstine dans son refus, je ne la reverrai de ma vie.
- Ma pauvre enfant, vous voilà dans une cruelle alternative. A partir de ce jour, vous allez devenir étrangère à l'un de nous deux. Votre mère refuse de vous revoir si vous n'épousez pas Mr Collins, et je vous défends de reparaître devant moi si vous l'épousez.
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« Vous êtes trop généreuse pour vous jouer de moi ; si vos sentiments sont encore ce qu’ils étaient au mois d’avril dernier, dites-le-moi franchement ; mes désirs, mes affections n’ont point changé, mais un mot de vous les forcera pour jamais au silence. »

Sentant tout ce qu’avait de pénible et d’embarrassant la position de Darcy, elle sut vaincre son émotion, et aussitôt, quoique avec hésitation, elle lui donna à entendre que depuis l’époque qu’il désignait, ses sentiments avaient éprouvé un changement suffisant, pour lui faire recevoir, avec reconnaissance et avec plaisir, les vœux qu’il lui adressait. Réponse délicieuse qui le combla d’une joie telle, que sans doute il n’en avait jamais éprouvé de pareille : aussi l’exprima-t-il avec une chaleur, une sensibilité qui ne sauraient être bien comprises que par celui-là seul qui a sincèrement aimé. Si Élisabeth avait pu lever ses regards sur les siens, elle aurait vu combien cette douce expression de bonheur, répandue dans tous ses traits, en tempérait agréablement la dignité ; mais si elle ne put le regarder, du moins elle savait l’écouter, et il l’entretenait de sentiments, qui, en prouvant combien elle lui était chère, rendaient à chaque instant son attachement plus précieux.
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Mon caractère, je ne saurais m'en porter garant. Je crois qu'il manque de souplesse. Il est sans doute trop rigide, en tout cas au goût des gens que je fréquente. Je ne parviens pas à oublier les folies et les vices d'autrui aussi vite qu'il le faudrait, ni les torts qu'ils m'ont fait subir. On ne réussit pas à m'influencer chaque fois que l'on me flatte. Je suis d'une humeur qu'on pourrait qualifier de rancunière. Quand je retire mon estime, c'est pour toujours.
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Lettre de Mr. Bennet à Mr. Collins :

Cher Monsieur,
Je vais vous obliger encore une fois à m'envoyer des félicitations. Elizabeth sera bientôt la femme de Mr. Darcy. Consolez de votre mieux lady Catherine ; mais, à votre place, je prendrais le parti du neveu : des deux, c'est le plus riche.
Tout à vous.
Bennet.
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Il se hâta tout d’abord de s’enquérir de sa santé, expliquant sa visite par le désir qu’il avait d’apprendre qu’elle se sentait mieux. Elle lui répondit avec une politesse pleine de froideur. Il s’assit quelques instants, puis, se relevant, se mit à arpenter la pièce. Elizabeth, saisie d’étonnement, ne disait mot. Après un silence de plusieurs minutes, il s’avança vers elle et d’un air agité, débuta ainsi :
— En vain ai-je lutté. Rien n’y fait. Je ne puis réprimer mes sentiments. Laissez-moi vous dire l’ardeur avec laquelle je vous admire et je vous aime.
Elizabeth stupéfaite le regarda, rougit, se demanda si elle avait bien entendu et garda le silence. Mr. Darcy crut y voir un encouragement et il s’engagea aussitôt dans l’aveu de l’inclination passionnée que depuis longtemps il ressentait pour elle.
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La vanité et l'orgueil sont deux choses bien distinctes, bien que les mots soient souvent utilisés l'un pour l'autre. On peut être orgueilleux sans être vain. L'orgueil a trait davantage à l'idée que nous nous faisons de nous-mêmes, la vanité à ce que nous voudrions que les autres pussent penser de nous.
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Lorsqu'on a envie de détester quelqu'un, on n'est jamais à court de raisons pour cela.
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Jane Austen
Le bonheur dans le mariage est uniquement une question de chance.

ORGUEIL ET PRÉJUGÉS.
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C'est une vérité universellement reconnue qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune doit avoir envie de se marier, et, si peu que l'on sache de son sentiment à cet égard, lorsqu'il arrive dans une nouvelle résidence, cette idée est si bien fixée dans l'esprit de ses voisins qu'ils le considèrent sur-le-champ comme la propriété légitimede l'une ou l'autre de leurs filles.
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Jane Austen
Lorsqu'un livre est bien écrit, il me semble toujours trop court.
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Ne songez au passé que quand vos souvenirs sont agréables.
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Vous transpercez mon âme. Je suis partagé entre l'angoisse et l'espoir. Non, ne me dites pas qu'il est trop tard, que ces précieux sentiments ont disparu à jamais. Je vous offre de nouveau un cœur qui vous appartient encore plus totalement que lorsque vous l'avez brisé [...].
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Malgré toute la fascination que peut exercer l'idée de s'attacher constamment à un seul être, en dépit de tout ce qu'on peut avancer en faveur d'un bonheur qui dépendrait entièrement de quelqu'un en particulier, nous ne sommes pas faits pour cela — cela n'est pas réalisable — cela n'est pas possible.

Volume III, Chapitre I.
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Jane Austen
Il n'y a pas de charme égal à la tendresse du cœur.
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Jamais encore elle n'avait senti qu'elle aurait pu l'aimer comme en cet instant où l'aimer devenait désormais chose vaine.
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