Selon Nietzsche, l'apôtre Paul est le véritable fondateur du christianisme, en ce qu'il a de pire, le dysangile, comme foi, croyance, c'est-à-dire une invention, et plus profondément, comme négation de la vie au profit de l'arrière-monde après la mort.
( Note de ce traducteur dans "L'Antéchrist", de Nietzsche )