Déborah Garcia

Ne perdez pas de temps avec les erreurs des autres, soyez heureux

je suis insociable
et j'aime la compagnie
je suis un paradoxe instable

Il faudrait apprendre à écouter simplement recevoir l'information sans vouloir y répondre, parce que parfois une confidence ne souhaite pas de réponse, ni de solution. Pas de jugement, ni même de compassion.

J’ai tout donné à quelqu’un qui n’a jamais su recevoir, et je ne regrette rien de cela.
Je préfère offrir et souffrir que de ne rien ressentir

Pardon mon amour,
pour toutes ces choses que
je ne t'ai pas dites et que
je pensais pourtant si fort.

ils ne savent pas
toutes ces nuits
où j'ai pleuré
sur mon insomnie

ils ne savent pas
que j'ai beaucoup trop souffert
que me dévoiler
c'est mon enfer

"𝓛𝓮 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓭𝓮𝓼 𝓾𝓷𝓼, 𝓭𝓮𝓿𝓻𝓪𝓲𝓽 𝓯𝓪𝓲𝓻𝓮 𝓵𝓮 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓭𝓮𝓼 𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮𝓼"

Aux cœurs qui sont fatigués d’aimer mais qui continuent à donner.

On me disait
- le meilleur est à venir -,

et je crois,
non avec certitude,
qu'en me l'écrivant,

ils voulaient s'en persuader
eux-mêmes.

Car on exprime souvent
ce qu'on aimerait entendre soi-même.

L' atrocité de la vie se trouve ici, entre le manque et l'oubli.

J'en ai vécu des ruptures,
amicales,
familiales,
amoureuses,
tout.

Tout d'un coup parfois.

Et j'ai eu mal,
terriblement,
pendant longtemps.

Mais le plus douloureux,
le plus vicieux ,
ç'a a été la rupture avec soi-même.

Ce moment où ma dépression
m'a littéralement tranchée en deux.
Un vide empli de tout
ce que j'avais vécu.
Je n'avais plus d'avenir,
dans un corps rempli de souvenirs.

J'étais en vie,
sans arriver à vivre.

Douter c’est savoir au fond de soi que quelque chose ne va pas

Tout finit par passer, c'est vrai.
Mais ce qu'on oublie d'évoquer
c'est ce temps parfois si long
pour y arriver.

Viendra un temps où le ciel sera dégagé,
où tu verras les oiseaux voler...
Un temps où ton cœur sera réparé
parce qu'il se répare toujours.

le déclic n'est rien d'autre qu'un moment de lucidité.

Aimer l'autre
ne veut pas dire
être toujours
disponible,
toujours
souriant,
aidant et
arrangeant.

Ce n'est pas grave
d'échouer,
de reculer,
d'aller mal,
de s'en vouloir.

Si l'échec existe,
c'est qu'on doit parfois
le vivre, n'est-ce pas ?

Sa bouche contre la mienne, je comprenais petit à petit que ça allait être difficile d'oublier ce souvenir.

j'ai crié mes douleurs dans le silence de mes écrits