Vidéo de Arouna Lipschitz
Les mêmes faits ne créent pas les mêmes événements selon la manière dont on les accueille et le sens qu’on leur donne.
Pour que la routine ne devienne pas paralysante, il suffit de se préserver un espace de créativité.
Ce n’est pas parce qu’il nous met souvent en échec qu’un rêve est inaccessible. Nous devons encore apprendre, plus de sagesse à acquérir mais nous y arriverons. Aimer, ça s’apprend. C’est cela l’esprit de rédemption.
Trop de gens, à force de se chercher eux-mêmes, ne finissent par rencontrer qu’eux ! Là encore, soyons francs : on passe souvent plus de temps à se délecter de sa sensation d’être amoureux qu’à aimer vraiment.
Ainsi, à notre corps défendant, en dépit des apparences, et en général à leur insu, nos parents sont nos meilleurs alliés d'évolution.
L'univers est un réseau de cordes, affirment aujourd'hui certains astro-physiciens, leur rappelai-je. Pas une de nos pensées, pas un de nos sentiments ou gestes qui n'influe sur l'ensemble. Nos interprétations des signes participent forcément aux miracles. L'observateur modifie l'objet de son observation, affirme la physique quantique. Je citais pour les convaincre les livres de Rupert Sheldrake sur les champs morphiques, plus accessibles. Ils pouvaient y trouver des confirmations des lois spirituelles d'affinité, d'écho ou de choc en retour. Sous le double éclairage de la science tout court et de la science initiatique, on peut envisager que les miracles ne sont rien d'autre qu'un moment de parfaite collusion entre intentionnalité, pensée, imagination et lois cosmiques, leur dis-je en conclusion, les engageant une fois de plus à approfondir les lois de l'échange, à rester attentifs aux liens entre science et spiritualité.
Souviens-toi ; Se souvenir est une grande douleur et une grande bénédiction pour celui qui ne veut plus être celui qu’il était.
Souviens-toi d’hier, pour choisir aujourd’hui un nouveau lendemain.
Tout seul, on a toujours raison. Et malheureux celui qui a raison.
"(...) C'est dans notre vie, au contact des autres, que notre spiritualité se vérifie, pas dans les théories ou les extases mystiques."
Sur l'écran, côte à côte, deux traces de pas se mettent en mouvement : les tiens et ceux de Dieu, commente Saint Pierre. L'homme sourit. L'expression "ne pas lâcher quelqu'un d'une semelle viendrait elle de là ? Son sourire s'évanouit dès que les premiers temps d'orage et de malheur de son existence repassent devant ses yeux. Toujours prête à prendre le relais de la tristesse, sa colère monte lorsqu'il constate que, dans ces périodes douloureuses, il n'y a plus qu'une seule trace de pas sur le sable.
- Evidemment, c'est là que Dieu nous lâche, magrée-t-il.
-Tu n'as encore rien compris, répond Saint Pierre. Dans ces moments-là, il te portait dans ses bras.
On ne pourra pas parler d’amour avant qu’on ait compris quelque chose à la paix