Comme disait ma mère, la vie, c’est l’intelligence du cœur, celle qui dans des moments critiques, désespérés pour les uns ou les autres doit prévaloir ; il faut savoir à ce moment précis poser les armes et tendre la main, même si l’on doit les reprendre par la suite.
Ça plaisait bien à mon père de voir ces jeunes femmes, il avait des étoiles dans les yeux , la séduction est dans ses veines, il tenterait même de séduire une chaise.
Je tombe et me relève, je vacille parfois, tentant de combiner sens pratique, pragmatisme et désir d’une vie en dehors des voies qui me sont imposées.
On transporte tous nos douleurs d’enfance, du moins beaucoup d’entre nous, sur ce point je ne me différencie pas des autres, lorsque l’on se retrouve seul chez soi, petit ou grand, avec nos peurs et nos angoisses, nous sommes tous égaux.