Parlons ensemble, échangeons nos pensées. Suivant le conseil de nos ancêtres, rassemblons-nous pour créer du savoir qui profite à tous.
Je salue mes défunts parents, l’Inde, ma terre natale, et la Terre, notre mère à tous.
J’ai chaud au cœur en pensant au millier de fois où j’ai été libéré, chaque fois que j’ai tiré un enfant de l’esclavage. Au premier sourire de liberté sur leurs beaux visages, j’ai reconnu le sourire des dieux.
Kailash Satyarthi discours 2014
-Staline a la chance de pouvoir faire fusiller tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui, et il a déjà utilisé beaucoup de munitions à cet effet.
Churchill confie à harriman : " Les Russes n'ont que mépris pour les mots d'honnêteté, d'honneur, de confiance et de vérité. Ils entrent chez nous, ouvrent toute les portes qui ne sont pas verrouillées et quand ils en trouvent une de condamnée, s'ils n'arrivent pas à la forcer, ils se retirent et vous invitent gentiment à dîner le soir même. "
Voyant le premier ministre faire couler de l'eau pour son bain, Clark Kerr s'apprête à prendre congé. mais Churchill lui dit de rester et, sous sa veste de soie, il aperçoit un pénis et une grosse paire de fesses blanches. Le soir même, il dessine en marge de son journal intime le seul portrait qu'un ambassadeur ait jamais croqué de son premier ministre en aussi simple appareil.
Les négociations d’Oslo ont donné au monde un traité qui bannit les mines terrestres antipersonnel. Ce traité est remarquablement exempt de lacunes et d’exceptions. C’est un traité qui interdit l’emploi, la production, le commerce et le stockage de mines terrestres antipersonnel. C’est un traité qui oblige les États à détruire leurs stocks de mines dans les dix ans. C’est un traité qui invite les États à accroître l’assistance au déminage et l’assistance aux victimes. […]
Jody Williams, discours 1997
Les mauvaises langues se demandent si celles d'Hiroshima et Nagasaki étaient destinées à forcer la Japon à capituler ou bien à impressionner Staline sur la puissance des Etats-Unis.
"J'étais présent le jour de ma naissance, dira Winston, mais je ne me souviens pas de ce qui s'est passé avant."
" Ce ne sont pas les sentiments, mais les intérêts qui mènent le monde. Personne n'a de pitié pour les faibles. On ne respecte que la force. "
Churchill peut lever les deux doigts en forme de " V " de la victoire et déclarer aux communes : " Ce n'est pas la fin, ni même le commencement de la fin. Mais c'est peut-être la fin du commencement. "
Napoléon au général Bertrand, a Saint-Hélene:
"Il existe un etre infini, en comparaison de qui, général Bertrand, vous n`etes qu`un atome, en comparaison de qui, moi, Napoléon, je suis un vrai rien, un simple néant. Vous comprenez ? Je peux sentir ce Dieu, je le vois. J`en ai besoin, je crois en lui."