Akane Torikai

Les femmes ne s'intéressent qu'à elles et à leurs propres histoires.

Les femmes sont bonnes qu’à vendre leur cul. D’où vous cherchez à ce qu’on vous traite comme des êtres humains ? Grouille-toi de te déshabiller, je veux te voir ramper au sol […]. Je paierai ce qu’il faudra. Si je gagne de l’argent … c’est uniquement pour pouvoir écraser les femmes.

- Je te l’ai toujours dit … Tu n’as pas besoin de continuer à souffrir comme ça. Tu aurais pu faire à manger, tenir la maison, faire l’amour … et abandonner tout le superflu pour mener une vie paisible. Tu aurais dû vivre comme je te le demandais dès le départ.
- Tu as raison. Je me suis trompée …Tu veux bien qu’on reprenne de zéro ?
- Mais je ne te fais plus confiance, Riri. Comment est-ce que tu comptes reprendre de zéro ?
- C’est très simple. Je vais complètement renier la personne que je suis aujourd’hui …

- Kazufumi … tu n’as pas l’impression d’être une coquille vide ?
- Bien sure que si, depuis le début … c’est pour ça que je vais faire en sorte que tous ceux qui m’entourent se sentent aussi misérables que moi.

La partenaire numéro 1 dans ta vie ne peut pas rester spéciale à tout jamais. La femme qui prend la position d’épouse devient ennuyeuse … et pourtant il n’existe pas meilleure récompense que le mariage, en amour.

Je suis sûre qu'il existe une fille parfaite pour toi.

Si l’on divise les êtres humains en deux groupes… il y aura toujours… un groupe qui obtiendra le plus de chose. Cette vérité… je la ressens tous les jours. Les gens alertes… les gens sereins… les riches… les dynamiques… ceux à doubles paupières… et les hommes. Les gens lents… les gens nerveux… ceux des classes moyennes ou basses… les passifs… ceux à simples paupières… et les femmes.

Si cette relation était vraiment violente... tu sais mieux que moi qui serait blesser. la vérité, c'est que tu ne veux pas être réduite à une femme victime de violence aux yeux des autres. Vous sentir désirées vous donne confiance en vous... et vous pensez que l'amour et la violence, c'est subjectif. vous les femmes, vous êtes de bien viles créatures.

- Désolée, je pige vraiment pas tu es en vie, en parfaite santé, et tu me dis que tu voudrais mourir ? Tu n’as pas peur de la mort ?

- C’est pas l’inverse le plus flippant ? Voir tous les jours les mêmes paysages, constater qu’ils provoquent toujours la même chose en toi … Alors que tu sais qu’il y a des gens qui sont capables d’y mettre un autre sens que toi … Et que tu réalises que tu ne fais pas partie de ces gens-là ?

- J’comprends pas ton délire … C’est quoi la différence entre ces gens-là, comme tu les appelles … Et tous les autres ?

- Eux, ils ont la sensation que leur vie leur appartient pour nous autres, la vie n’est synonyme que d’une succession de pertes …

- C’est si grave que ça … De regarder un paysage sans lui donner un nouveau sens ? De toute façon, vivre, ce n’est pas que perdre des choses !

S'astreindre à souffrir en silence, c'est une vocation d'esclave.