Un coup de coeur ! Je me suis régalée en lisant ce premier tome qui nous raconte de manière humoristique et touchante les débuts au cinéma de Vincent Lacoste. J’ai aussi beaucoup aimé la colorisation des planches et le style des dessins de Riad Sattouf. Il y a des passages vraiment amusants (la démonstration de Tecktonik m’a fait rire) qui m’ont rappelé mon adolescence étant aussi de la génération des milléniaux comme Vincent Lacoste.



Je vous recommande chaudement ce roman graphique et je suis très impatiente que la suite paraisse !


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J'ai lu les 5 derniers tomes de L'Arabe du futur en deux jours ! C'est tout naturellement que j'ai décidé d'enchaîner avec ce livre qui raconte les débuts de l'auteur en réalisateur, les coulisses de la création d'un film, et le vécu du premier rôle.



J'ai vraiment apprécié. Toujours la même sincérité dans l'observation, beaucoup d'auto-dérision et d'humour.



Étrangement, je n'ai pas vu le film Les Beaux Gosses. Et je ne suis pas certaine d'avoir envie de le voir. Même si je suis fan de Vincent Lacoste. Je n'avais pas réalisé que sans la décision de l'auteur de lui offrir un premier rôle nous serions passé à côté d'un si grand acteur.



Ce livre date de fin 2021, et constitue un tome 1. Je piaffe de lire la suite.

Vincent Lacoste est le prodige du cinéma français qu’on ne présente plus. Avant de devenir cet acteur talentueux, il n’était qu’un adolescent anonyme. Collégien de 14 ans, il aimait Scarface et rêvait de devenir un caïd de cité. Il était amoureux d’une jeune fille qui l’ignorait et passait son temps avec des amis de son âge.



Timide et complexé, Vincent participe sans conviction à un casting sauvage pour un long-métrage organisé dans son collège. Quand il est pris pour le rôle titre du film « les beaux gosses », sa vie bascule. Propulsé dans le milieu du cinéma, il doit rapidement se formater aux codes. Il est guidé par le réalisateur du film, Riad Sattouf. Passionné de François Truffaut, il espère faire de Vincent Lacoste son Antoine Doisnel. Le jeune homme, parviendra-t-il à devenir un vrai acteur ?



J’ai beaucoup apprécié cette bande dessinée, Riad Sattouf croque avec autodérision et tendresse la société et le parcours de ce jeune adolescent. La force de leur relation est parfaitement retranscrite, les premiers pas de Riad Sattouf comme réalisateur font écho aux premières scènes de Vincent Lacoste.



Une bande dessinée qui nous dévoile avec humour la face cachée du cinéma et nous permet de mieux découvrir Vincent Lacoste. J’ai hâte de dévorer la suite de ses aventures cinématographiques.
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On ne présente plus Riad Sattouf, meilleur vendeur de BD ces dernières années en France. Son créneau, unique en son genre : la (auto)bio/roman graphique, avec les 6 tomes du formidable L'arabe du futur et les 7 tomes de Les cahiers d'Esther.



Sa spécificité : parler des années de l'enfance et de l'adolescence, du difficile passage à l'âge adulte (les séries précédentes, mais aussi La vie secrète des jeunes, Retour au collège).



Riad Sattouf est aussi un passionné de cinéma (il parle ici longuement de sa passion pour les films de François Truffaut et de l'acteur Jean-Pierre Léaud) et, en tant que réalisateur, il a remporté un grand succès avec son premier film, Les beaux gosses. Avec Le jeune acteur, premier volume d'une trilogie , l'auteur croise tous ces centres d'intérêt. Résultat : une bio/roman graphique consacrée au début au cinéma de l'adolescent Vincent Lacoste, premier rôle de son film !



En 2022, Sattouf est désormais un professionnel parfaitement maître de ses créations, Le jeune acteur en est la démonstration évidente. Avec l'humour et l'auto-réalisation qu'on lui connait, il se met en scène aux côtés de Vincent Lacoste, ce talent naturel qui est, depuis ce film, est devenu un acteur professionnel qui compte dans le cinéma français (son césar du meilleur second rôle pour son jeu dans Illusions perdues est parfaitement mérité).

[Lire la suite de ma critique sur mon site Le Tourne Page]




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Une BD que je viens de relire...



Riad Sattouf y raconte les débuts de Vincent Lacoste, qu’il a détecté pour jouer le rôle principal, de ce qui est aussi son premier film en tant que réalisateur, Les Beaux gosses.



Dans cette biographie, réalisée en tant qu’auteur complet, il alterne entre son propre point de vue et celui du jeune acteur.



En résulte un récit en miroir, où l’on a parfois la chance de découvrir la même scène, sous deux angles différents. On se rend alors compte des malentendus qu’il peut y avoir, notamment entre Sattouf et le petit Lacoste... Hilarant.



J’ai apprécié de retrouver les couleurs de l’Arabe du Futur (aplats de bleu et parfois du rouge pour les cases marquantes), dont cette œuvre, en partie autobiographique, est une sorte de continuation.



On appréciera d’ailleurs certaines similitudes entre les deux BD, notamment quand Riad fait la morale à Vincent, prenant une posture similaire à celle de sa grand mère dans l’AduF.



Cependant, je suis plus dubitatif quant aux couleurs utilisées pour illustrer la vie du jeune Lacoste, en particulier ce jaune, associé à d’autres couleurs parfois très vives, éclatantes. Cela m'évoque évidemment l’or, la réussite de l’acteur, sous le feu des projecteurs, mais ça pète aussi un peu les yeux...



Le scénario, très drôle, est plein de dérision. Formidable conteur du réel, Sattouf est aussi passé maître dans l’art de la caricature, fouillant les traits physiques et moraux des gens, leurs attitudes, leurs contradictions, leurs revirements, voir même leurs accidents... Ce qui est autant susceptible de nous faire rire que de nous interpeller.



Le découpage, rondement mené, est caractéristique de l’auteur : décors simples et épurés, narratifs à la première personne, informations fléchées, bulles rigolotes, pleines pages lors des moments clés...



Les nombreux détails, semés par-ci par-là, ainsi que la proximité du jeune réalisateur avec son principal acteur, accentuent le réalisme, la crédibilité de l’œuvre.



Il y a du rythme et on apprécie de suivre la vie d’un jeune acteur. Une première en BD.



A contrario, on trouve les thèmes habituels de Riad Sattouf, qui ont fait son succès : en particulier l’adolescence, souvent ingrate.



Les dessins restent dans la même veine que les précédentes BD de Sattouf, de Retour au collège à Pascal Brutal. Je n’ai pas vu de grand changement, si ce n’est que Sattouf est passé à la palette graphique et à des formats plus longs depuis L’Arabe du futur.



Son trait reste toujours un chouia biscornu, accentuant toujours les nez et d'autres parties du corps... en gros tout ce qui provoque des complexes chez les adolescents.



Dans tous les cas, c’était une expérience privilégiée, presque VIP, même si l’art de Sattouf, grand prix d’Angoulême en 2023, est éprouvé.



...J’attends la suite avec impatience.

Après avoir lu l’intégralité de l’arabe du futur, j’avais hâte de me replonger dans une bd de Riad Sattouf et je n’ai pas été déçue !



Dans celle ci, Riad raconte l’histoire de Vincent Lacoste et de ses débuts à travers le tournage du film Les beaux gosses réalisé par Riad.



La bd alterne entre le point de vue de Riad et de Vincent, ce que j’ai beaucoup apprécié. Je me suis surprise à rire aux éclats plusieurs fois.



En plus d’être divertissant, il y a pleins de petites anecdotes de l’univers du cinéma ! Si vous avez aimé le film les beaux gosses, cette bd devrait vous plaire.



Bon moment assuré !

Plaisir de lire et bon moment de détente !

Maintenant que j'ai découvert riad Sattouf, je ne le lâche plus !

Après ma récente découverte, de l'arabe du futur 4, lu un peu dans le désordre, je l'avoue, je n'ai pas pu résister à celui-ci. Et ouf, j'ai beaucoup aimé .

Cette BD est le récit de l'aventure d'un film, Les beaux gosses, de la recherche du premier rôle et de la naissance d'un comédien, Vincent Lacoste .





Visuel

Des dessins simples et des couleurs primaires, bleu, rouge,jaune sont la marque de fabrique de l'auteur.



Scénario

Encore un tour de force réussi !

Écrire les débuts d'un acteur encore très jeune, raconter sa propre histoire en parallèle, tout cela avec simplicité et justesse. C'est drôle, c'est émouvant.

Nous suivons Vincent, mais aussi riad au même âge,14 ans, Riad va rencontrer le cinéma de François Truffaut, ce qui le poussera une fois adulte à rechercher lui aussi son Antoine Doinel.



Mon avis



J'ai beaucoup apprécié le scénario avec ses allers-retours entre Vincent et Riad au même âge. Aimé également la présentation de ce moment clé où Riad se lance dans ce qui est aujourd'hui sa marque de fabrique, le récit réaliste

Et enfin aimé découvrir le monde du cinéma et les coulisses d'un film.

Bon, même si les préoccupations de l'ado de 14 ans, me laissent un peu indifférente, et que les thèmes abordés sont un peu au ras des pâquerettes, j'ai tout de même passé un très bon moment. Par contre, le film que je n'ai jamais vu, ne me tente pas du tout !

Baptême de Sattouf. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais beaucoup d’aprioris qui m’empêchaient de lire une de ses Bds. J’en avais autant que le film que je n’ai toujours pas vu en entier, soit dit en passant. Les quelques scènes que j’ai vues me procurait une sensation de gêne, surtout a cause de leurs têtes de nerds et leurs styles. Je suis tombé dans le panneau.



J’avais failli acheter Le jeune acteur avant Noël. Il se trouve qu’on me la offerte, je l’ai donc pris comme un signe du destin.



Alors de quoi ça parle, bah d’un jeune acteur, c’est assez équivoque. La BD est composée de deux parties, une pour Riad, elle même en deux sous parties, sa vie avant et après la réalisation de son film. Puis une centrée sur Vincent Lacoste, coqueluche de Riri, de sa vie d’ado aux prémices de la célébrité. Bien que ça parle du film, ce n’est pas non plus le sujet. Ici on se concentre sur le ressenti de Vincent Lacoste et de ce qui se passe dans sa tête et la tête des ados lorsqu’on façonne notre futur. Ses bonnes et moins bonnes expériences, ses doutes, craintes, rires et tant d’autres.



Je suis de la même génération que lui. J’ai donc plus vécu les mêmes histoires au collège et donc je me suis bien identifié au personnage et son histoire. Jusqu’à un certain degré, ça va de soit ! Et quand bien même, comment ne pas apprécier cette BD et ce personnage si drôle, naïf et sensible. Il m’aura fait pouffé de rire ce babtou acteur, toujours fourré dans des situations cocasses, pour mon plus grand plaisir.



La BD est légère, drôle, touchante. Je n’ai qu’un seul regret c’est de ne pas l’avoir lu d’une traite, la note n’en aurait été que meilleure. Vivement la suite, j’ai regardé sa bibliographie et il n’a apparemment pas tourné dans cette histoire de Kebab. Quel dommage. Sattouf 1 - 0 préjugés.