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Critique de Olsigre
Élise Fontenaille rend hommage à Missak et Mélinée.
Elle retrace le parcours de cet enfant arménien orphelin qui rêve de poésie, de livres et de Paris.
Un destin sans pareil.
A ceux qui ne le connaissent pas, à ceux qui n'ont jamais lu la lettre à Mélinée, à ceux qui n'ont jamais écouté le poème d'Aragon chanté par Léo Ferré, lisez ce court roman pour découvrir la vie de ces héros, de ces étrangers que le régime nazi a voulu salir par une affiche au goût de sang.
Je suis reconnaissante à ceux qui ont défendu si chèrement la Liberté.
"Il étaient vingt-et-trois quand les fusils fleurirent."
Elle retrace le parcours de cet enfant arménien orphelin qui rêve de poésie, de livres et de Paris.
Un destin sans pareil.
A ceux qui ne le connaissent pas, à ceux qui n'ont jamais lu la lettre à Mélinée, à ceux qui n'ont jamais écouté le poème d'Aragon chanté par Léo Ferré, lisez ce court roman pour découvrir la vie de ces héros, de ces étrangers que le régime nazi a voulu salir par une affiche au goût de sang.
Je suis reconnaissante à ceux qui ont défendu si chèrement la Liberté.
"Il étaient vingt-et-trois quand les fusils fleurirent."
