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Critique de ScarlettA
IL y a Despentes, il y a Ovidie, il y a maintenant Giulia Foïs.
Giulia Foïs, dont j'écoute religieusement les émissions et chroniques chaque semaine. Dont je trouve chaque prise de parole extrêmement juste.
Giulia Foïs, dont j'ai vu le film "une sur deux", adapté de son livre éponyme.
Giulia Foïs, qui exprime magnifiquement bien ce que le féminisme lui a fait, ce qu'il nous fait à toutes. Ce sentiment de n'être pas seule, que c'est systémique, et qu'on s'entraide.
Giulia Foïs, qui questionne son couple, l'éducation de ses fils, sa maman, ses soeurs. Qui donne le point de bascule de son amoureux, de sa famille. Qui parfois fatigue de se répéter, mais toujours se relève.
Son émission "en marge", donnant la parole aux "anormaux" (au sens, pas dans la norme) est toujours excellente. Elle est nécessaire.
Les monstrueux, j'en suis. Je suis monstrueuse. de ne pas réussir à en être, de ce monde, de cette normalité. Il y a des chemins de traverse, on peut réussir à se trouver.
Giulia Foïs, merci.
Giulia Foïs, dont j'écoute religieusement les émissions et chroniques chaque semaine. Dont je trouve chaque prise de parole extrêmement juste.
Giulia Foïs, dont j'ai vu le film "une sur deux", adapté de son livre éponyme.
Giulia Foïs, qui exprime magnifiquement bien ce que le féminisme lui a fait, ce qu'il nous fait à toutes. Ce sentiment de n'être pas seule, que c'est systémique, et qu'on s'entraide.
Giulia Foïs, qui questionne son couple, l'éducation de ses fils, sa maman, ses soeurs. Qui donne le point de bascule de son amoureux, de sa famille. Qui parfois fatigue de se répéter, mais toujours se relève.
Son émission "en marge", donnant la parole aux "anormaux" (au sens, pas dans la norme) est toujours excellente. Elle est nécessaire.
Les monstrueux, j'en suis. Je suis monstrueuse. de ne pas réussir à en être, de ce monde, de cette normalité. Il y a des chemins de traverse, on peut réussir à se trouver.
Giulia Foïs, merci.
