Je l'ai lu il y a quelques années déjà; c'était mon deuxième
Balzac (après
le Colonel Chabert). J'ai découvert dans ce récit fantastique un nouveau
Balzac tout à fait différent du premier.
La peau de Chagrin est l'un de ces romans qui vous envahissent, que même en se séparant de lui vous gardez toujours une vapeur étrange qui vous hante. Jusqu'à maintenant je garde toujours en mémoire cette atmosphère sombre et ces scènes inoubliables comme ce début où le héros a envie de se suicider, cette conversation extravagante où
Balzac veut imiter son maître
Rabelais (dans la conversation à la naissance de
Gargantua), ce duel ainsi que cette scène finale (que je ne décrirais pas).
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