On apprend plus quand on perd que quand on gagne.
Parfois, on ne comprend pas les choses, mais quand on les regarde en perspective, tout a un sens. Il faut revoir la partie depuis le début pour comprendre l’importance de chaque mouvement…
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Si on ne croit pas profondément que tout va bien… Alors rien n’ira jamais bien.
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- Échec et mat !
- Nfff.. c’est trop difficile…
- Facile à apprendre, amusant à jouer, difficile à gagner… Impossible à contrôler !
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On apprend plus quand on perd que quand on gagne.
Tout le contraire de la tour. Elle se déplace en ligne droite, horizontale ou verticale. Directe et puissante avec des mouvements prévisibles. C’est la pièce la plus difficile à déplacer au début car elle est enclavée. Mais quand l’échiquier s’éclaircit un peu, c’est une des pièces les plus puissantes.
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- Quoi ? Mais... mais c'est impossible ! Comment avez-vous fait ?!
Ce... ce fou était là ?
- Tu n'apprends pas gamin... tu ne fais pas attention. Même si tu ne regardes pas...le jeu suit son cours.
Toutes les options pourraient être les bonnes ! Il n'y a pas une seule option correcte. Il n'y a pas une seule partie.
Un fou... un cavalier...une tour... la dame... Toutes les pièces sont différentes... elles n'ont pas la même valeur.. mais à la fin elles sont toutes importantes. Même un pion peut te faire gagner la partie. Toutes différentes mais au fond... toutes... pareilles.
- Attendez, vous avez bougé deux pièces !
- Ça, gamin, ça s’appelle le roque. C’est un mouvement autorisé entre deux pièces, le roi et la tour. C’est une stratégie défensive pour protéger le roi, permettant à la tour d’agir plus facilement, à condition qu’aucune des deux pièces n’ait bougé auparavant pendant la partie.
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Le roi est une pièce vulnérable, il faut la protéger derrière la barrière des pions.
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