Elle ne pouvait pas accepter de voir son fils sombrer dans la délinquance parce qu’il pensait que sa vie n’avait aucun sens ni aucune importance ; elle ne s’y résoudrait pas et avait compris ce qu’il fallait faire, parce qu’elle le voulait aussi pour elle, qu’elle avait besoin de reconstruire sa vie, la leur, redonner du sens à la vie, tout remodeler, dessiner une vie humaine dans un monde qui ne sait plus l’être.