De Renoir à Game of Thrones, en passant par Bresson, le viol n'est jamais montré comme ce qu'il est, le consentement de la victime doit paraître ambigu pour pouvoir représenter l'agression, à croire que ce moment de flottement rend le viol plus acceptable, ou du moins, montrable. Le visage de l'héroïne baigné de l'arme incarne la souffrance engendrée par l'acte, mais filmer cette expérience de son point de vue demeure impossible.