Il se penche et ferme les yeux.
- Avant tout, je te déteste parce que je pense à toi. Souvent. Ça me dégoûte, et je ne peux pas m’en empêcher.
Je suis si ébahie que j’en reste bouche bée.
- Tu devrais peut-être m’abattre, finalement, souffle-t-il en se cachant le visage de sa main aux doigts fuselés.