Il me faut avouer que la détresse et les dangers de ces moments ont laissé, dans mon esprit, une constante impression de doute et d’insécurité. J’écris, dans mon bureau, à la clarté de la lampe, et soudain, je revois la vallée, qui s’étend sous mes fenêtres, incendiée et dévastée, je sens la maison autour de moi vide et désolée.