Je me suis rendu compte qu'il suffisait d'un rien pour qu'on perde les liens qu'on a crées avec les autres, C'est si facile et donc ça m'a fait un choc. Parce que, après tout on n'est plus camarade de classe, on ne travaille pas au même endroit et il n'y a plus pèpère. À ce train là, on finira pas ne plus jamais se revoir et par s'oublier sans grande difficulté. - p168/169