Céline Hess-Halpern

Moins de bisous, depuis le Covid. Moins "d'amoureux qui se bécotent sur les bancs publics..."



Je suis resté bouche bée, lèvres entre ouvertes, devant cet éloge du baiser. Car, chaque baiser contient en lui une promesse, celle d'être suivi par des milliers d'autres. Nous offrons nos lèvres en guise d'amitié ou d'amour.



- Maman, qui a inventé les bisous?

"Zou bisou bisou

Mon Dieu, qu'ils sont doux

Zou bisou bisou

Le bruit des bisous." Gillian Hills.

Les philosophes se sont penchés sur ce geste complexe et si difficile à expliquer. Certains en ont profité, pour le mettre en pratique, éveillant des milliers de "Belle au Bois dormant."

On se souvient tous de notre 1er baiser avec notre amoureux/se, non?



Pour Havelock Ellis, le baiser des amoureux viendrait du baiser maternel et de la succion du sein de la mère, par le nourrisson.

Eibl-Eisenfeldt nous parle de la becquée, thèse reprise par Desmond Morris...

Le baiser a été déposé dans notre berceau, dès la naissance, et reste le symbole de l'Amour et de l'Union sexuelle.



Dans certaines croyances, par le baiser, les êtres mêlent leur âme. La religion approuve et en profite (le prêtre baise son écharpe avant la messe, on baise la main de l'évêque et le Pape baise le sol) pour inventer l'acte d'amour, de dévouement et de gratitude.

Baiser de paix, de respect et le Baiser de Judas...



Mais, "Embrasse moi, idiot

C'est beaucoup beaucoup mieux que les mots" Bill Baxter.

Cependant, nous échangeons 80 millions de bactéries, pendant le baiser! Mais, comment y renoncer?

Il existe un record du Baiser le plus long en 2013 (58 heures...)



N'oubliez pas, la journée internationale des câlins est le 21 janvier. Et celle du baiser est le 06 juillet. Embrassez et vous serez en meilleure santé psychique, avec moins de stress...

"Je chante un baiser

Sur mes lèvres déposé

Par une inconnue que j'ai croisée." Alain Souchon.



Et je vais aborder le chapitre des bisous coquins. Ah, on n'a plus le temps?

"Et je serai doux

Comme un baiser voyou

Déposé dans ton cou."

J.J Goldman.



Un baiser doux et langoureux, avant de nous séparer ?

Cet ouvrage est édifiant mais légèrement (hum hum, l'euphémisme) déprimant. SI l'on est content d'en savoir plus sur "ce qu'on nous fait avaler", la pilule a du mal à passer. Et pour cause : que manger lorsqu'on a lu ce livre ? Le chapitre le plus dérangeant concerne les additifs. Qu'il est difficile d'y échapper ! On en trouve partout !



Malgré tout, le but de ce livre n'est pas de nous déprimer mais de nous livrer certaines astuces, non pour éviter totalement le danger (cela semble difficile, vu l'omniprésence des trucs qui craignent dans notre nourriture) mais pour varier notre alimentation de manière intelligente, en prenant en compte notre santé, mais aussi l'environnement et le bien-être des animaux. Il a le mérite d'interroger le lecteur, de l'inviter à réfléchir.



En bref, soyons acteur de notre consommation, et non plus le pigeon !

J'appréhendais cette lecture... Une ... juriste (??) qui nous parle de malbouffe, d'additifs, de santé, de polluants... hum... Tout le monde s'en mêle... m'étais-je dit. Et quand on s'en mêle, on finit par s'emmêler...



OK Céline Hess-Halpern a saisi la question de la malbouffe par son extrémité la plus dramatique, en commençant sa carrière d'avocate par la Vache Folle et ses victimes. C'est dire qu'elle a vu, de manière prégnante, les effets mortels, délétères, de ce que nous pouvons avaler.



Mais, nouveau truc difficile à avaler, elle entend nous fournir un ... guide... rien de moins. On aurait pu se contenter de mémoires de prétoires, d'anecdotes croustillantes sur l'industrie agro-alimentaire. Non, elle nous parle de chimie, de certifications, de physique, de nutrition, de diététique, de bio...



Et surprise... tout cela, elle le fait plutôt bien. C'est structuré de manière adéquate, pédagogique sans simplisme, c'est d'un bon niveau de vulgarisation tout en alimentant le propos de références venant des meilleures revues scientifiques.



Bien sûr... Céline Hess-Halpern instruit à charge. Elle est convaincue et entreprend de nous convaincre. Personnellement, je l'étais avant de la lire, mais j'aime que le discours (même s'ils abondent dans mon sens) ne soient pas trop dogmatiques. Et, sur ce plan, c'est assez réussi.



La première partie aborde les graisses, le sucre, les vitamines; les fibres, les laitages, les boissons... et fait le point sur les connaissances. La deuxième creuse plus profond dans les trucs vraiment toxiques, pesticides, OGM, dioxines, additifs, métaux... C'est raisonné, mais forcément alarmiste. La troisième section traite des cuissons, des emballages et des ustensiles, dont le Teflon ou le silicone par exemple qui ont envahi nos cuisines... Car si on nous encourage à cuisiner nous-mêmes, il faut bien avouer que, en toute innocence, nous amenons le danger dans nos assiettes nous-mêmes, sans avoir besoins que Ducros se décarcasse... La quatrième section taille un (petit) costume aux labels et au bio.



Pas d'angélisme chez Céline Hess-Halpern.



Ells clôt par 10 conseils simple, rapides et pas contraignants.



Qu'en penser... l'auteure n'évite pas les paradoxes alimentaires... Elle place par exemple la truite fumée au rang des "bons" poissons (gras, riche en oméga-3) apprès avoir signalé que le fumage est souvent cancérigène... Elle montre que les abats (rognons, foie) sont à considérer comme viande maigre, tout en signalant quelques pages plus tard, qu'ils concentrent les métaux (lourds, souvent), vu qu'ils servent de filtre. Elle signale l'intérêt du bio, pour finir par exprimer certains doutes sur certains logos et certaines certifications. Néanmoins, elle ne laisse pas la moindre ambiguïté sur le sujet. Si on souhaite, en tant que consommateur (et en tant que parent, dimension primordiale) le moins de produits nocifs dans sa nourriture... le bio est l'unique solution. Sinon, et le prix est souvent dissuasif, il ne nous reste que la solution de jongler avec les produits offrant le moins d'additifs... en croisant les doigts...



Plus que tout, elle évite de se positionner en gourou. Nous sommes consomm-acteurs, nous posons des choix et elle nous renseigne sur leur impact. Et son expérience en matière de procès liés à la bouffe et à l'agro-alimentaire transparaît souvent, sans qu'elle en fasse étalage.



C'est souvent bien vu, avec des encadrés clairs qui résument les informations disséminées un peu partout. Cela permet de se faire un bonne opinion. Même si on ne suit pas ses conseils, on ne pourra pas dire que l'on ne savait pas... Un consommateur informé en vaut deux.

Je remercie Babelio - via sa Masse Critique - et les éditions Flammarion de m'avoir fait parvenir ce livre "L'éloge du baiser".

En ces temps de confinement obligatoire, cet éloge a pris un goût d’interdit. En effet, comment prôner le baiser alors que les mesures actuelles sont à la distanciation sociale minimale, la suppression du serrage de mains et/ou le report du baiser à d’autres temps plus ou moins lointains.

Il ne nous reste alors que le baiser entre gens confinés. 

Ce petit livre est un bon condensé sur le sujet : l’auteur dresse la liste des différents types de baisers, nous informe de son origine historique et de son évolution dans l’histoire, les transpose dans l’art et nous donne également un aperçu de celui-ci dans le monde des animaux.

Personnellement, j’ai trouvé que cet éloge met sur papier de nombreux éléments intelligents sur le sujet du baiser ainsi que de nombreuses citations – bien choisies et très à propos - mais, malheureusement, je déplore, malgré un découpage en chapitre pour chaque thématique, un manque de fluidité, de coordination entre les idées développées. Chaque idée, chaque notion fait l’objet d’un paragraphe pré-titré mais rien ne vient les lier avec, pour conséquence, une sensation de manque de cohésion, de manque de trame narrative.

Un magnifique livre !

J’ai vraiment adoré cette lecture, véritable ode au baiser et à l’amour!

C’est du baume au coeur, de la douceur, des petits bisous volés à chaque page.

Ce livre c’est vraiment une source de savoir sur le baiser sous toutes ses formes, dans toutes les situations, pour petits et grands, dans l’histoire, dans l’art et même du point de vue animal.

En aucun cas moralisatrice, cette lecture nous laisse le choix de voir et de ressentir le baiser comme bon nous semble.

Merci à masse critique Babelio ainsi qu’aux éditions Flammarion pour la confiance qu’ils m’ont accordée en me confiant ce partenariat.

Quand j’ai lu le résumé, j’ai cru que ce serait comme les petits romans d’éloge que j’ai lus : une compilation de nouvelles mettant un thème spécifique à l’honneur. Or là, il n’en est rien. Sur Livraddict il est classé dans la catégorie Développement personnel, je ne l’aurais pas mis là-dedans, mais je ne vois pas trop où ailleurs.



Le préambule est un véritable éloge au baiser et l’auteure en fait l’apologie tout en nous expliquant l’importance que le baiser représente pour elle.

Le chapitre 1 (le baiser dans l’ histoire) revient sur son évolution à travers les époques en commençant par les origines étymologique du mot.

Le chapitre 2 (le baiser sacré) nous conte quelques légendes importantes tournant autour du baiser, mais également les traditions que cela revêt dans certains pays.

Le chapitre 3 (des baisers variés) liste les différents baisers existants, les noms qu’on leur donne ou les moments où ils sont offerts, leur signification et leurs origines.

Le chapitre 4 (marre de la bise !) nous dépeint le rituel de la bise en France, mais pas que. C’est également l’occasion de faire le tour des autres pays avec leur façon parfois semblable souvent différente de dire bonjour.

Le chapitre 5 (l’alchimie et la chimie du baiser) nous explique les différents procédés chimiques que provoque le baiser. Cela comporte bon nombre d’effets bénéfiques, mais également quelques “dangers”

Pour le chapitre 6 (des baisers dans l’art, la culture et le sport), c’est davantage les baisers à travers le cinéma et l’art qui sont retracés avec une liste non exhaustive des œuvres marquantes pour l’ auteure et en quoi. La partie dans le sport est vraiment très courte.

Le chapitre 7 (les baisers de la nature et des animaux) nous explique en quelques paragraphes rapides la sexualité de certaines plantes, mais le plus gros du chapitre traite des animaux, ces êtres sensibles qui ressentent des émotions semblables aux nôtres (et encore pas tous), mais les expriment différemment.

Le chapitre 8 (quand le baiser est assigné en justice) : comme l’indique le titre, le baiser peut être puni par la loi. L’auteure nous liste plusieurs affaires : me too et balance ton porc, mais aussi bien d’autres.

Le chapitre 9 (l’art de bien embrasser) nous donne des astuces sur l’art de bien embrasser, de la préparation des lèvres et de haleine jusqu’au soin du lieu pour un premier baiser

Le chapitre 10 (quelques jeux) avec nos amoureux ou nos enfants.

Le chapitre 11 (l’ambassade des embrassades vue par ma psychologie) est un peu un condensé de ce qui a été dit : les bienfaits du baiser, et met un point final à l’éloge grâce à des questions que l’auteur s’est posées.



Ce n’est pas une lecture que j’ai trouvée passionnante à proprement parlé, dans le sens où les chapitres sont indépendants les uns des autres donc quand on en termine un, on ne meurt pas d’envie de lire la suite. Néanmoins, j’ai apprécié cet éloge : il est intéressant et a réussi à susciter ma curiosité.

Ma partie préférée est probablement le chapitre 7 parce qu’il rend un bel hommage aux animaux. Celle qui m’a le moins plu est le chapitre 8,le côté juridique, malgré les exemples donnés, m’a un peu ennuyée.

J’ai aimé cette lecture, surtout parce qu’elle n’était en rien moralisatrice, aucun conseil n’est donné ce qui laisse le lecteur libre de ses choix en matière de baiser : qu’a-t-il envie d’expérimenter ? Quel passage lui parle le plus ? A-t-il vécu telle ou telle situation ?
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..

Ce livre répond enfin aux différentes questions juridiques quant aux droits des médias et de la communication. Tout au long des 215 pages de l’ouvrage les auteurs mènent une analyse pertinente sur les liberté et devoirs des nouveau médias.



Alors certes, une partie de l’ouvrage est surtout destinée aux professionnels de la communication et des médias en abordant des domaines de la presse écrites, de l’audiovisuel et des supportes multimédias. Mais la partie dédiée à l’internet éclairera tout autant des blogueurs particuliers ayant soif de comprendre les enjeux juridiques inhérent à un support écrit sur internet.



Le chapitre 4 « La protection de la vie privée et le multimédia » aborde particulièrement bien la question de l’identité sur internet, la protection des tiers et la création des sites.



Je considère que c’est un ouvrage particulièrement judicieux pour les collectivités et les « presque-pros » qui investissent Internet avec passion.
Lien : http://www.mllegima.net/blog..

Sois comme l’eau de Céline HESS HALPERN,

Enseignement de l’eau pour se sentir mieux et retrouver un sentiment de liberté.

Le livre se présente par chapitres en donnant une définition en lien avec l’eau comme par exemple « l’eau nous enseigne l’altruisme comme la pluie. Fais comme la pluie quelques gouttes pour plus d’écoute ». Les textes sont complétés de proverbes, Mantra, poésies et textes de l’auteur.

La présentation du livre, les couleurs marquant les paragraphes font penser au milieu de l’eau, les bas des pages comportent des petites bulles très jolies qui apportent de la légèreté.



Le livre part d’une bonne idée mais celle ci ne pas pas emballée. C’est un livre feelgood plein de belles pensées et de recommandation tout en utilisant le vocabulaire de l’eau comme la glace, la neige, les fleuves.

Pour ma part la lecture n’a pas été fluide comme l’eau. J’avais souvent du mal à associer l’eau telle que la présente l’auteur à une qualité. Les proverbes sont là pour compléter le thème, les mantras quant à eux sont là et ça apporte un touche de positif, c’est toujours bon à prendre. La poésie et la petite histoire m’ont totalement perdu et je n’en vois pas l’utilité dans ce texte ni de rapport avec les textes du début de chapitre.



Je n’ai pas vraiment compris le but de ce livre, peut être n’était-ce pas le moment pour moi mais aujourd’hui le sentiment qui domine est la déception. J’avais hâte de découvrir ce que l’on pouvait tirer comme enseignement de l’eau et je suis restée sur la rive pour ne pas dire noyée. Je le reprendrais plus tard et je modifierai ma critique si besoin.

Merci au éditions tredaniel pour ce partage et merci à babelio pour sa patience.

Lu dans le cadre d’une masse critique - merci à Babelio et aux Éditions Médicis.



J’ai tout d’abord été intriguée à la lecture du résumé, porteur de belles promesses. Un livre de développement personnel qui semble se démarquer des autres.



Le livre est très beau. La palette de couleurs bleutées et les différentes polices rendant l’objet et son contenu visuellement très agréable et doux. La mise en page très aérée est plaisante.



Pour ce qui est du fond, malheureusement la magie de l’eau n’a pas opéré sur moi. Je suis complètement passée à côté de cet ouvrage.



Tout d’abord, messieurs passez votre chemin pour la lecture de cet ouvrage, l’auteure a pris le parti de ne s’adresser qu’aux femmes. Ce qui m’a beaucoup étonnée.



Les 10 enseignements de l’eau sont présentés en 10 chapitres construits de la même manière :

• Une brève présentation de l’état de l’eau choisit : la pluie, la mer, le glacier, la vapeur.. Leur symbolique, leur importance dans certaines religions.

• « Fais comme …(l’état de l’eau du chapitre). Ce que cet état peut nous apporter comme sagesse ou enseignement.

• Des « actions » : conseils de développement personnel pour se comporter comme ledit état de l’eau.

• Des citations sur cet état de l’eau

• Poèmes/poésie

• Enfin, une nouvelle (Qui n’a parfois aucun rapport avec l’eau et le chapitre développé)



Ce livre de développement personnel est pour moi une énigme, un ovni. Il mêle de la poésie, des nouvelles, des enseignements de développement personnel, des conseils, des mantras, des témoignages d’enfants sur des expériences avec l’eau...

J’ai trouvé certains parallèles avec l’eau complètement capilotractés. Exemple : « Crois-tu que le lac ne se demande pas de quoi il a l’air quand il se lève, chaque matin ? »



Le ton employé dans les « actions » à mettre en place et les enseignements de développement personnel est parfois très directif, voire moralisateur « Évite de trop te plaindre.. pratique la plainte avec grande modération.. ».



L’écriture est vraiment simple, voire simpliste. « L’eau devient solide et dur quand la température baisse beaucoup. » L’auteure utilise énormément de jeux de mots en épuisant les champs lexicaux de la mer, de l’eau, la navigation, etc, qui n’ont pas su me convaincre.



Parmi tout cela ce qui m’a le plus plu, ce sont finalement les nouvelles, que j’ai trouvé plutôt bien écrites et intéressantes pour la plupart.



Bref.. vous l’aurez aisément compris une lecture qui ne m’a pas du tout séduite, que je ne conseille, par conséquent pas.

On ici a dans les mains un livre spécial qui ne conviendra pas à tout le monde c’est certain. Dans un premier temps les livres de bien-être cible un public qui apprécie ce genre. Dans un second temps, il est rédigé d’une façon particulière.



Le livre est joli. Les couleurs sont blanches et bleues ce qui colle bien avec le titre et l’univers. Il y a un travail autour des typographies différentes selon la partie et il y a aussi des dessins représentants l’eau dans différents états.



L’autrice a décidé de tutoyer le lecteur ce que je trouve adapté dans cette lecture.



Je n’ai pas accroché aux parties abstraites du livre qui sont malheureusement trop présentes. En effet puisqu’on est censé nous partager les enseignements de l’eau, je m’attends à quelque chose de concret avec des choses à réaliser (ça ne représente que 10% du livre).



Comme je l’ai évoqué rapidement au début : on a un style d’écriture particulier. On a l’impression que c’est écrit en vers libre du début à la fin et pas uniquement lors des passages de poésie. Il y a donc un certain travail mais ça peut rebuter pas mal de lecteurs.



Les conseils / actions à réaliser sont les mêmes que dans d’autres ouvrages de développement personnel. Ici c’est tout simplement associé à l’eau. Par contre ces derniers, de mon point de vue, sont en grande majorité irréaliste. L’autrice vit dans un monde merveilleux et ne prend pas en considération les difficultés comme l’anxiété sévère, la dépression, les problèmes d’argent, la famille, etc. qui peuvent nous empêcher de réaliser certains points.



Chaque chapitre est composé d’une introduction, d’une partie explicative de ce qu’est l’état de l’eau abordé avec sa signification spirituelle (entre autres), une question auquel il faut idéalement répondre dans sa tête ou dans un cahier à part, une partie action, des citations, un mantra, un ou des poèmes et une nouvelle.



J’ai par contre relevé le côté religieux parfois trop présent et qui peut être dérangeant selon le lecteur.



Je ne le conseille malheureusement pas sauf si vous avez l’occasion de l’emprunter gratuitement quelque part.



(Dans le cadre de la masse critique Babelio)