Vladimir Vladimirovich reprend son calepin. Il note : prédateur – celui qui vit de sa proie. Il le referme, l’ouvre à nouveau pour écrire : proie – être vivant dont un animal s’empare pour le dévorer. Puis il va chercher ses cahiers dans le tiroir. Et il se dit que tout se passe comme s’il était cerné par le président Poutine et comme si le Président Poutine était cerné par les fantômes de Staline. P 72