La maladie ne rongeait pas seulement le cerveau de mon père, mais l’image que je m’étais faite de lui étant enfant. Toute mon enfance j’avais été fier d’être son fils. Maintenant je le tenais de plus en plus pour un esprit faible.
Jacques Derrida devait avoir raison de le dire : On ne cesse d’implorer pardon quand on écrit.