Une très belle illustration en couleurs commence ce tome et nous fait retrouver la fine équipe pour notre plus grand plaisir. Mais c'est même bien plus, vu que c'est le moment de tenter de décrocher le ticket pour le concours national et d'affronter les autres lycées, mais aussi une belle réunion de passionnés par quelque chose que tout le monde ne comprend pas.

Autant être prêt, ce n'est que le début, le lycée Tokise n'est pas encore passé à la fin de ce tome, mais c'est bientôt à eux sur la fin, ils se préparent.

Nous découvrons de nouvelles personnes, en revoyons certaines, les liens se font et se défont. Ils vont tous s'affronter sur scène et montrer le fruit de leur travail. Comme bien souvent, celui-ci ne suffit pas et il faut aussi affronter tous les sentiments négatifs, les craintes qui jaillissent, c'est bien transmis aussi.

Nous verrons que beaucoup de lycées se sont férocement entraînés. Entre autre, un qu'on connaît où il y eu une grande rigueur et des règles drastiques, si bien que l'une est laissée de côté et doit réussir à surmonter cela. Ce sont les élèves certes qui livrent leur prestation sur scène, mais leurs référents sont aussi en rivalité et veillent sur leurs poulains.

Alors que certains y mettent de gros enjeux, nous verront un club de lycée déséquilibré, mais pouvant rappeler les débuts, qui touche et écorche à la fois. De son côté, Akira qui nous a offert une belle évolution continue de plus belle.

Un tome qui réunit ces gens qui aiment le koto, se donnent à fond pour lui, sacrifient des heures (entraînement ...), des lycéens qui se retrouvent en rivalité, la concrétisation du fruit de leurs efforts pour le meilleur et pour le pire. Ca y est, ils s'affrontent, ont fait leurs choix (musique, participants ...) pour gagner ce conours et avoir le droit de participer au sacro saint concours national. Et c'est sur scène sous les yeux des spectateurs, journalistes, jurés, etc. que cela se joue.

Vivement la suite du concours.

Définitivement devenue une série doudou, je prends un grand plaisir à découvrir chaque nouveau tome et à y suivre l’évolution de nos héros même dans les tomes qui sont clairement là pour nous faire patienter comme celui-ci ^^!



Après les deux tomes d’entraînement drastique avec leur nouvelle formatrice, place désormais à la compétition. J’aime à chaque fois ces moments où on assiste à la symbiose ou à la discordance des groupes venant jouer. Ici, l’autrice nous offre un rapide tour d’horizon des adversaires dans ce tome, un tour peut-être un peu trop rapide pour pleinement ressentir l’émotion qu’on devrait, surtout tandis que nos héros, eux, ne sont pas encore passés ^^!



C’est en effet un tome d’attente où on en profite pour aller à la rencontre d’autres lycées. Sur le papier, j’ai été contente de retrouver Kazusa et son lycée de filles. L’autrice nous offre ce qui se veut un émouvant développement autour de l’amitié qui la relie à l’une de ses camarades qui n’a pas pu être choisie pour jouer malgré ses efforts. Malheureusement, malgré un très joli trait et de belles émotions suggérées, peut-être parce que ça sort un peu de nulle part, sans avoir réellement suivi ces filles auparavant, je n’ai pas ressenti l’impact voulu. J’ai bien vu que leur prestation devait être incroyable pour les spectateurs, avec une synergie folle pour le niveau de technicité invoqué, mais ça ne m’a pas percutée comme peut me percuter un Blue Giant, un Masket Noise ou un Lovely Love Lie. Zut ! Il manque quelque chose ici, cela reste trop lisse.



En revanche, dès qu’on repart sur nos jeunes héros, vu que l’autrice a pris le temps de construire quelque chose avec eux, c’est totalement différent et là, je suis embarquée. Je sais qu’on ne les a pas beaucoup vus ici, mais juste l’intervention de Chika auprès d’une jeune musicienne pétrie de trac, j’ai trouvé ça beau, parce qu’il est simple et incourageant. Juste les petites interactions des membres du groupe et le rapprochement Chika-Hozuki qui continue, j’adore. Juste, l’intervention d’Akira pour faire venir la mère d’Hozuki et tenter de bousculer les choses, je trouve cela émouvant et très prometteur. J’ai besoin de cette proximité avec les personnages pour ressentir quelque chose et l’autrice a su le faire avec les lycéens de Tokise. Il faut qu’elle trouve comment le faire avec les autres pour que leurs interventions ne fassent pas aussi lisses et improvisées, pour combler les trous du scénario…



Nouvelle lecture des plus sympathique, j’ai aimé retrouver nos héros dans les coulisses de leur futur concours même si c’était un tome d’attente et que la découverte de leurs adversaires m’a paru un peu fade malgré la bonne volonté de l’autrice. C’est gentil, c’est touchant, il y a de belles promesses pour la suite. J’attends juste de ressentir les émotions promises.
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Ce n'est pas encore dans ce tome que l'on verra le résultat final de ses éliminatoires. On va ici découvrir quelques écoles qui participent au concours, en plus de celles déjà connues. C'est Himesaka qui ouvre le bal et elles y vont fort ! Elles n'ont pas digéré la défaite face à Hakuto (que l'on retrouve dans ce tome également) et sont plus motivées que jamais.

J'aime beaucoup les tomes centrés sur la compétition, je m'implique avec nos protagonistes, je stresse avec eux, j'explose de joie avec eux ou je pleure avec eux... J'adore ça ! Ça me fait le même effet qu'une compétition de karuta dans Chihayafuru ^^

On a hâte de lire le prochain tome et de voir la performance du lycée Tokise ! Même si le manga ne permet pas d'entendre les performances comme le fait l'anime, les planches sont tellement visuelles qu'on imagine très bien la performance

Je ne lis pas régulièrement des mangas, par manque de temps et manque de connaissances dans le domaine. Car c'est un vaste champ que celui des shônen, seinen et autres types de mangas. Mais j'ai été rapidement attiré par cette série. En partie parce qu'elle parle de musique. Et que je suis toujours curieux de voir comment on peut aborder le son avec des images et des mots. Comment on peut ainsi faire ressentir la vibration des notes, leur puissance, leur harmonie. Mais aussi parce qu’elle aborde un instrument de musique dont j’ignorais à peu près tout : le koto.



Cet instrument à cordes, gigantesque, qui ressemble à une grande planche de bois courbée sur laquelle sont tendues plusieurs cordes (leur nombre varie selon le « modèle ») est typiquement japonais. Et ses sonorités m’étaient également inconnues, ou presque. J’ai donc rapidement fait un tour sur internet afin de découvrir davantage ce dont il était capable.



Mais auparavant, j’ai lu le premier tome de Sounds of Life. Le schéma en est classique, mais il écrit et dessiné avec une grande finesse. Je me suis rapidement laissé emporter par l’histoire. Et par la vie des personnages, qui nous arrivent tous avec leurs déchirures profondes, leurs blessures qui vont sans doute pouvoir guérir grâce à la force du collectif. Et, comme de bien entendu, au début, ce n’est pas gagné. Takezô se retrouve seul pour animer le club de koto de son école. Toutes les filles qui étaient avec lui sont parties. Or, cet instrument de musique est plutôt joué par des jeunes femmes. Il va devoir s’affirmer, ce qui lui est très difficile. Il va être rejoint par Chika, un garçon à très mauvaise réputation : il enchaîne les bagarres et les mauvaises fréquentations. Mais il a un lien très fort avec le koto. Quant à Satowa, elle est l’héritière d’une famille fameuse pour son école de koto. Mais des tensions l’empêchent de profiter pleinement de cet héritage. Ce trio, épaulé par quelques sympathiques clowns, va rencontrer très rapidement son premier défi : si ces quelques membres du club veulent que leur association ait le droit de continuer à exister, il va leur falloir gagner le cœur des autres lycéens en apprenant et interprétant un morceau. Or, parmi eux, deux membres seulement savent jouer. Un sacré défi !



Prendre confiance en soi dans l’adversité et grâce à l’appui des autres. Le message est toujours le même, mais il est ici illustré à merveille. Le caractère des personnages est bien marqué, sans l’être de façon excessive. L’histoire tient la route, malgré quelques exagérations. Le ton mêle adroitement détresse et humour, moments de relâchement et passages intenses. Et les pages qui relatent des moment musicaux m’ont particulièrement plu : entre le décor qui change pour évoquer ce que la musique fait naître comme sentiment et les lignes de force qui en prouvent l’intensité, j’ai été tout à fait convaincu.



Bonne pioche que cette série. J’ai déjà acquis les tomes suivants et compte bien les lire. Et venir vous en parler ici.

Regardez moi ces beaux sourires qui rayonnent sur la couverture, le tout suivi de très belles illustrations en couleur. Et c'est encore un très beau tome qui fait pulser nos cœurs. Le son, les émotions, leur passion et envie de bien faire nous touchent en plein cœur. Nous ne sommes pas les seuls à être touché par ce club de Koto, Akira Dôjima n'a aussi que pu constater leur envie de faire, leur amour du koto et elle s'est attachée à eux l'air de rien et prend beaucoup de plaisir à leur enseigner. C'est un personnage très intéressant, elle a aussi une belle évolution. Sa grand-mère est toujours à fond contre eux, et très malsaine.

Le son et les émotions se mélangent, et sont également sublimer par le graphisme. Que fera Akira ?

Quand Satowa et Akira jouent ensemble, c'est comme magique. Tout le monde est sous le charme de leur prestation. Tout le monde continue à s'entraîner, progresser, mais attention à ne pas exagérer non plus. Ils forment un groupe hétéroclite et solidaire. Leur professeur Tetsuki Takaoka se montre très présent dans ce tome aussi, il les guide et conseille.

Il y a aura de l'émotion, des réflexions, des échanges, des discussions. C'est intéressant et prenant.

Le lecteur se laisse entraîner tout du long.

Ca y est, ce qu'ils visent arrive enfin vers la fin, le concours national, le stress, la nervosité sont aussi de la partie. Nous voyons différents groupes, différentes interactions, tout le monde se met en route, on respire juste avant de rentrer dans l'arène, et nous avons hâte d'assister au concours national de ces jeunes lycéens.

Plusieurs petites histoires bonus en crayonnés sont réparties au fil du tome.

C'est déjà le tome 10, quelle puissance, et quel son (même si on ne l'entend pas). La série ne s'essouffle pas et nous emporte toujours. Ces jeunes gens volontaires d'un simple club de koto dans un lycée

ont de la volonté, travaillent dur, font de leur mieux. Ils ne sont pas, pour la plupart, de ce monde à l'origine mais aujourd'hui ce sont de véritables passionnés.

C'est Akira Dôjima qui fait la couverture du tome, une couverture superbe au passage, c'est bien vu car nous sommes grandement centrés sur elle. Une sublime double page couleur commence le tome.

Si le scénario s'enrichit, est intense par moment. Une grande force de ce manga, qui comble ainsi le son qu'on ne peut entendre, sont ces dessins qui retracent à merveille tout.

Akira Dôjima est ambiguë, c'est difficile de réellement lui faire confiance, en même temps nous ne pouvons pas dire qu'elle est indifférente aux élèves de ce club, à leurs efforts, à leur amour du koto.

Elle est blessée, en souffrance, malgré sa façon de se tenir toujours droite et debout. Elle leur enseigne alors qu'elle reste hantée par le passé.

La première claque qu'on se prend, c'est quand on voit son grand frère, Keichi, qui est plein de vie. Elle a l'air différente avec lui, et lui à l'opposé d'elle. C'est en découvrant Keichi, sa famille, son passé, son histoire, que nous cernons mieux Akira et qu'elle nous touche.

Akira lance pas mal de piques notamment à Satowa, assez hargneuses même, tout en se reprenant. Elles auront l'occasion d'avoir une discussion franche. C'est fou d'où peuvent provenir les répercussions.

Il est impossible de réellement tout prévoir, et ces deux jeunes femmes ont en commun l'amour du koto, d'avoir appartenu à ce monde très tôt mais également la pression.

Les souffrances d'Akira, sa part ténébreuse, sont retracées à merveille par le graphisme, des jeux d'ombre et tout ce qui va autour.

Un très beau tome, extrêmement fort en émotions.

Quelle lecture vraiment de plus en plus inspirante ! J’avais tellement peur au début d’avoir du sous-Chihayafuru et la série a vraiment su gagner en maturité et profondeur depuis quelque temps, me ravissant et me rassurant aussi quant à sa longueur et sa capacité à me passionner.



J’aime énormément l’arc actuel avec la préparation du concours et l’arrivée de cette nouvelle prof dans le groupe. C’est plein de vie, plein de passion, mais aussi de remise en question et de lutte contre les préjugés, avec un vent de jeunesse qui touche adolescents comme adultes. Je ne pensais pas dire ça au début mais j’adore !



Je me sens moi aussi prise par la passion que leur koto leur transmet. L’autrice réussit enfin à me faire vibrer quant ils jouent et pas seulement Chika. Les autres aussi désormais ont suffisamment de choses à nous transmettre pour notre pénétrer et c’est superbe à voir en image. La scène où Hozuki et Akira jouent est magique ! Mais plus que cela, il y a une vraie réflexion sur la musique, sa transmission, sa passion, ce qu’elle nous communique qui me parle et me touche. J’aime voir le sérieux de nos adolescents. J’aime les voir réfléchir à ce qu’ils veulent transmettre à travers elle. J’aime les voir trouver leur place grâce à elle et il en va de même pour les adultes. Après un Monsieur Takinami qui a retrouvé sa passion, c’est au tour d’AKira de sortir de la grisaille et d’oser se rebeller pour ce groupe auquel finalement elle s’est attachée. Superbe !



C’est vraiment ça la force du titre, la formation de ce groupe et tous les sentiments qu’ils nous communiquent. Ça donne envie de faire partie d’un tel groupe. C’est enthousiasmant et touchant de les voir aussi pris par leur passion mais attentif aux autres. On sent enfin de manière palpable leur amitié. Ils sont tous devenus très proche et ça les a transformés, à l’image de Chika qui sait désormais sourire ou Hozuki qui ose se confier sur sa situation familiale. On a même des petites pointes de romances qui arrivent de loin et qui prêtent à sourire. J’aime énormément cette ambiance et la chaleur humaine qu’elle communique.



J’ai ainsi pris un grand plaisir à suivre les avancées de ce joli club dans ce tome de préparation avant le concours. J’ai aimé les voir se soutenir les uns les autres et grandir ensemble. J’ai aimé voir les adultes les protéger et les prendre sous leurs ailes. J’ai aimé les voir tous travailler ensemble vers un but commun. C’est un très bel esprit de groupe, de club, d’amitié qui me touche en plein coeur. Sounds of life est vraiment une série qui porte bien son nom et qui se bonifie au fil des tomes, des épreuves et des apprentissages de la vie de ses héros. On approche de plus en plus de la série doudou quasi coup de soeur. ❤
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Dernières étapes avant les éliminatoires ! Le rôle d'Akira prend bien plus d'importance puisqu'elle ne va plus seulement conseiller ses élèves sur la technique, elle va aussi leur prodiguer des conseils et les rassurer. C'est ce qu'on attend d'un référent et j'ai aimé voir son changement d'attitude, tout en douceur et, ici, plutôt crédible. Les personnages ouvrent leur cœur dans ce tome et c'est ce qui fait le ciment de leur équipe soudée. On n'a qu'une hâte en refermant ce tome : lire le suivant, car on entame les choses sérieuses !

(Aaah ce passage ou Satowa leur donne leur porte-bonheur, j'avais hâte de le lire ^^)