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Anita Blake

Série de 31 livres (En cours). Écrite par Laurell K. Hamilton (31),


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Dernières critiques
Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Mouais, on sent bien que c'est une nana qui écrit, donc c'est un peu Buffy qui aurait vieillit, enfin y a des rats garou, un gars qui aime bien tuer les vampires, des goules, des zombies et plein de vampire, l'intrigue principal est pas bien mais ça se lit vite et y a quelques passages sympa.
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Anita Blake, tome 15 : Arlequin

Ce tome m'a beaucoup plu! Je retrouve l'ambiance qui m'a séduite dans les premiers romans. Bien sûr l'ardeur est toujours très présente dans l'histoire, mais cette fois ce n'est pas le centre et j'ai vraiment repris plaisir à lire cette histoire. J'ai bien aimé qu'il y ait de nouveau un petit côté enquête bien que ça pourrait être encore plus. Retrouver les collègues dont Edward et Zebrosky m'a fait plaisir, car j'apprécie ces personnages. L'intrigue politique entre vampire et la coalition des lycanthropes est plutôt bien amenée et j'aime bien les nouveaux liens qui se créent.

Enfin c'était une lecture agréable où j'ai vraiment retrouvé ce que j'aimais dans cette histoire après deux romans un peu trop focus sur le sexe.

J'ai bien l'intention de continuer la suite des aventures d'Anita et tous ses compagnons.



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Anita Blake, tome 1 : Plaisirs coupables

Une lecture divertissante pour les amateurs de polars "vampiriques" mais pas non plus le livre de l'année pour ce premier tome des aventures d'Anita Blake, réanimatrice de morts et tueuse de vampires à ses heures perdues, surnommée l'Exécutrice par ces derniers.



Le livre se lit facilement mais je trouve le personnage d'Anita un peu trop peureuse à mon goût au vue de ses activités professionnelles et extra-professionnelles.



Nous ne retrouvons, dans ce premier tome, pas que des vampires, zombies et loups-garous mais d'autres créatures lycanthropes (que je trouve assez "ridicules" de mon point de vue) ainsi que des créatures légendaires tels que des goules.



J'ai aimé retrouver le côté manipulateur des vampires (un peu à la True Blood) mais si vous espérez retrouver des passages un peu osé dans ce premier tome, passez votre chemin. Seule la couverture l'est !



J'ai également trouvé la fin un peu trop rapide et facile. A vous d'en juger.



J'attends de voir si le second tome sera meilleur que celui-ci.
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Anita Blake, tome 15 : Arlequin

Alléluia, ce tome n’est pas centré autour du sexe et les scènes toujours plus crues qui vont avec. Je ne dis pas qu’il n’y en a pas, mais c’est dérisoire par rapport à ce qu’on a connu dans les derniers livres… Ici on peut largement arriver jusqu’à la moitié du bouquin sans en croiser – ce qui n’empêche pas Anita d’y penser mais c’est encore supportable.



On retrouve donc rapidement l’essence des Anita Blake, avec une vraie trame de fond, des personnages qui l’accompagnent mais qui ne polluent pas la ligne conductrice, de l’action et des réponses qui ne sont pas bâclées en deux paragraphes à la fin pour aller plus vite. Les idées et l’imagination de l’auteure pour étoffer son univers me surprendront toujours – et ça ne m’enlèvera jamais l’idée qu’elle s’auto-sabote avec la redondance de l’ardeur, quand bien même elle s’ouvre une porte de sortie à la fin de ce tome… A voir si elle l’exploite.



J’aime donc beaucoup les Arlequins qui permettent à chacun des protagonistes de sonder ce qu’ils veulent, leurs peurs et même leurs certitudes. Je ne crache pas non plus sur le fait de recentrer un peu l’intrigue autour des personnages que l’on connait sans forcément se disperser. D’ailleurs je lève aussi mon chapeau à l’approche psychologique que l’on a de Richard. Il est approfondi dans une partie de ce livre, avec ses vices et déviances qu’il confit à Anita dans un dégout de lui qui m’a paru très vrai et très juste. Ce n’est pas mon personnage préféré de base, mais je lui ai trouvé ici une profondeur si intense que ça m’a clairement donné envie d’une série autour de lui. Il est tellement torturé et dans des combats internes aux antipodes qu’il en devient vraiment fascinant – plus que les autres hommes qui partagent la vie d’Anita, qu’il fait paraitre si fades avec ses problèmes qui le raccrochent vraiment à quelque chose de réel… On peut se retrouver en lui. Alors, pas au sens strict du terme mais, il fait des choses qu’il déteste sans pouvoir s’en empêcher, il recherche à ce qu’on le rejette parce qu’il pense qu’il est si sale/mauvais que c’est tout ce qu’il mérite et dès qu’on le fait, il peut au moins s’assurer qu’il avait raison sur ce point… Et il se roule dans cette triste colère qui le rend si tangible… Bref, vraiment, ce personnage est l’un des plus réussi de cette série, pour moi, parce qu’il a une évolution ultra intéressante et des réactions vraiment très réelles – on peut tous et toutes connaître ou être un Richard, alors qu’une Anita…



Après c’est quand même sans surprise que je trouve TOUJOURS le personnage d’Anita détestable. Aucune once de sympathie pour cette fille qui est toujours si parfaite, si merveilleuse, si irrésistible, si ingénue sans l’être vraiment ; qui fait toujours les bons choix contrairement aux autres – selon ses critères toujours plus fumeux, subjectifs et fallacieux… C’est quand même moins marqué sur ce tome où elle semble plus encline à se remettre en question que sur les autres, mais alors qu’est ce que ça m’énerve qu’elle demande systématique aux gens qui l’entourent de faire ce qu’elle ne serait pas foutue de faire elle-même… Qu’est ce que ça m’énerve qu’elle ne sache jamais quoi répondre aux gens qui font un pas vers elle… Qu’est ce que ça m’énerve de lire des pavés entiers ou elle dit à la première personne comme elle est belle et bien foutue – je ne dis pas le contraire mais au bout du 15ième tome je pense qu’on a compris le concept – et comme elle est forte par rapport à tout le monde…

Elle est imbue d’elle-même et, comme c’est le personnage principal, toute l’histoire tant à lui prouver qu’elle a raison… Dans ce livre un personnage finit même par préférer se lier à elle plutôt qu’à Jean-Claude – d’ailleurs il sert à quoi lui ? Le mec il fait de la figuration, c’est toujours Anita qui vainc les méchants pendant que lui il se roule les pouces…



BREF !

Pour conclure, je ne crache quand même pas dans la soupe, j’ai apprécié ce tome, les idées, l’univers et l’intrigue des Arlequins qui est bien tenue contrairement aux précédentes ! On a un fil conducteur duquel on ne sort pas – ou du moins, pas longtemps. Les scènes de sexe sont présentes mais ne font pas partie intégrante de ce tome et c’est même sans ça que les méchants finissent par succomber !

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Anita Blake, tome 14 : Danse macabre

Alors alors… Je viens de terminer ce tome et je suis… Euh… Voilà… J’ose espérer que ma note parle d’elle-même mais je vais essayer d’étoffer pour ceux qui veulent se lancer dans cette aventure bien entamée – si vous en êtes au 14ième tome je me doute que vous êtes sacrément engagés quoi.



Il est mauvais – plus de suspens – mais pas parce qu’il est mal écrit, juste parce que ça fait quelques tomes que c’est déjà LA MEME histoire et qu’on en a marre. J’en viens à me demander si l’auteure ne fait pas des copier/coller récurrents de ses 18 pages de descriptions de lieux, de vêtements, de la façon dont les gens se déplacent, se regardent, la jugent, la jaugent ; de sa propension à être si forte et froide lorsqu’elle tient un flingue et le vide qui l’habite lorsque c’est le cas… Des odeurs, des goûts, de la tension, des pouvoirs, des liens métaphysiques et de la parure de soie du lit de Jean-Claude…



Cela dit, dans chaque tome, Anita a des espèces de répliques phares qui reviennent comme des mauvaises blagues tout le long des chapitres… Ici ça sera "Je ne comprends pas" et "Vous ne le verriez pas même si on vous mordez la fesse gauche" qui a eu le malheur de faire rire une fois quelqu’un et qui a incité l’Exécutrice à abuser de l’expression.



Il y a aussi tout le pan psychologique que je trouve complètement fumé. Anita est clairement odieuse, toxique, particulièrement stupide, elle ne comprend rien MAIS elle arrive à nous parler comme la page la plus complète de Wikipédia – au nez et à la barbe de gens plus concernés par le problème qu’elle… Genre elle a une culture qui dépasse celle de ceux qui ont VRIAMENT vécu les faits. Et elle essaie de faire passer ça avec cette espèce de fausse humilité qu’il n’y a vraiment que Laurell K. Hamilton qui arrive à distiller de façon si méprisante dans ses personnages… Ca m’a donné envie de lui mettre des gifles, et c’est assez fort qu’un personnage de fiction me soit aussi antipathique – surtout quand c’est censé être le personnage principale.

Puis Anita est quand même sacrément horrible sur bien des points, dès le premier chapitre avec Ronnie, sa meilleure amie, elle se montre d’une violence dégueulasse. Ca se concrétise d’ailleurs tout le long du bouquin avec Richard – que je ne porte pas forcément dans mon cœur mais WHA la patience…



Je soulignerais aussi que des chapitres entiers tournent autour d’un comique très vaudeville et très pas drôle... Tous les personnages balancent donc la même info d’une manière différente et personne ne se comprend… Ca donne des situations aussi débiles que :

- Ce fromage est blanc ?

- Je voulais effectivement dire que ce fromage était immaculé et même crémeux.

- Ne tournez pas autour du pot de yaourt, est-ce qu’il est vraiment blanc ou est-ce que vous vous foutez de moi ?

- Je ne sais pas, comment le vois-tu toi ?

- Bah je ne sais pas, c’est pour ça que je vous pose la question !

- Et bien regarde le mieux.

- Répondez-moi qu’on en finisse !!!

Et ça peut franchement durer des dizaines de pages en version Anita Balke.



Puis bon, y a toujours cette ardeur qui flingue clairement l’intrigue de base… Alors, pour une fois, Hamilton ne fait pas semblant de nous trouver une intrigue intéressante dont elle ne parlera pas au détriment des scènes de cul… C’est honnête : Anita va devoir trouver de nouveaux partenaires et l’intrigue politique sous-jacente sera résumée en un paragraphe à la fin du bouquin – comme quoi quand elle veut elle peut être concise.

Là aussi vous allez avoir droit à un florilège de manipulations en tout genre pour que vous puissiez profiter de tout un tas de scènes de sexe – cela dit moins dérangeantes, je trouve, que dans le tome 12, mais comme dit, pour le coup, le but de ce tome c’est le sexe donc on est un peu moins déstabilisé par la propension d’Hamilton à nous servir tout le champ lexical du coït. C’est FORCEMENT entrecoupé par plein de passages où Anita explique – ou se fait expliquer – comme elle est plus belle que tout le monde, plus cultivée que des vampires vieux de 7 siècles, plus forte qu’eux et BIEN SUR où elle ne comprend naïvement pas que c’est la meilleure et où c’est censé faire tout son charme…



Bref rien de nouveau sous les tropiques… Une plume qui a des élans de génies, parfois, mais qui se cantonne à faire de la fiction pour des adolescentes – son public grandit mais pas ses histoires en somme.

Ce qui donne des histoires inexistantes avec des personnages dont on se passerait bien, toujours plus d’excuses pour faire des scènes de cul sans queue – LOL – ni tête, des intrigues noyées sous les synonymes du mot "baiser" - quoi que y a des passages tellement vulgaires que c’est le seul mot qui est employé – et une Anita toujours aussi unique, attirante, puissante et pas enceinte – là aussi, vraiment, 10 chapitres de débat pour un résultat qu’on sait négatif c’est nul…



Moi c’est mes lectures rapides entre deux bouquins plus intéressants et, souvent, plus lourd émotionnellement… Ca me repose le cerveau, j’ai pas besoin de réfléchir, ça se lit vite malgré tout, c’est assez fluide même si ça me fait lever les yeux au ciel, sans compter que je suis du genre têtue et que dès que je commence une série de livre j’aime pas m’arrêter en plein milieu… Mais faut pas lire ça en attendant de la substance et d’être happé par une histoire fantastique de dingue. Je pense qu’il y a nettement mieux dans le genre.

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Anita Blake, tome 6 : Danse mortelle ou Mor..

Rappel : il s'agit pour moi d'une relecture.



Bien le bonjour tout le monde, j'espère que vous vous portez bien ! Aujourd'hui je viens vous parler du 6e tome des aventures d'Anita Blake.



J'aime bien ce tome pour plusieurs raisons, mais sur d'autres plans, j'ai moins aimé... Je vous explique.



En gros, je trouve qu'il y a pas mal d'action dans ce tome et surtout de précédents conflits qui reviennent sur le tapis pour enfin être résolus (comprenez, sans spoil, que des méchants reviennent et qu'on s'occupe enfin d'eux).



Autre truc assez sympa, c'est que les relations amoureuses d'Anita évoluent enfin, et pas qu'un peu ! Moi qui avait l'impression que ça stagnait, je suis servie.



L'autrice explore un peu plus la piste des pouvoirs d'Anita, ENFIN, et c'est pour moi le plus grand intérêt de ce tome. Ajoutez aussi à ça la création du triumvirat (mais je ne vous en dirai pas plus) qui va apporter des nombreuses conséquences dans la suite de la saga, je le sens (bon, en vrai je la SAIS vu que je l'ai déjà lue).



Le gros truc qui m'a fait chi*er dans ce tome, c'est d'abord les longueurs, mais surtout, SURTOUT, c'est Richard.



Pour les longueurs, j'ai surtout eu l'impression qu'entre les moments d'actions, on ne faisait que ressasser encore et toujours les mêmes choses (hem hem, Richard hem hem) et que ça ne tournait plus qu'autour de la romance...



Quant à Richard, houlala ce qu'il m'a pelé les ovaires ! Désolé mais c'est un vrai red flag ambulant qui n'accepte pas qui il est et surtout qui n'accepte pas Anita comme elle est. C'est bien beau de faire le mec naïf et blessé, mais au final c'est Anita qui se sent mal et ça c'est de la manipulation ! Franchement ce type me sort par les trous de nez !

Jean-Claude lui il accepte Anita comme elle est, au moins !



Bref, vous l'aurez compris, je suis team Jean-Claude jusqu'au bout des ongles !



Sur ce, la bise !
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Anita Blake, tome 7 : Offrande brûlée

J'avais dit que je n'étais pas sûre de continuer la série mais je suis tombée sur ce tome dans un magasin et j'ai craqué.



J'ai bien fait parce qu'il y a beaucoup, d'action, de rebondissement, de mystère et de suspense. C'est très rythmé, il n'y a pas de temps mort. Ce n'est pas centré sur le triangle amoureux et il n'y a pas de sexe. En fait, on revient pratiquement au schéma narratif des premiers tomes et c'est super comme ça.

Le scénario est très intéressant, très captivant. C'est toujours aussi original.



Anita est devenue une héroïne très forte physiquement, psychologiquement et surtout magicalement. Elle est impressionnante et je l'aime beaucoup. Quelle femme !

On découvre les envoyés du Conseil, ce sont de vraies pourritures, je les ai détestés. A part Ash, il a des circonstances atténuantes et il est presque touchant finalement.



Richard est toujours aussi agaçant, j'avais envie de lui coller des baffes et J.C est fidèle à lui-même. Il est présent mais malgré tout, un peu effacé dans ce tome. Les métamorphes se rapprochent énormément d'Anita, ils vont former un groupe solidaire et compact autour d'elle, je pense.



J'ai adoré et je lirais la suite, on verra bien ^^

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Anita Blake, tome 14 : Danse macabre

Dans ce tome, l'auteur nous plonge dans une intrigue politique entre maîtres vampires. Tous espèrent assoir leur pouvoir et former des alliances servant leurs intérêts. Évidemment l'ardeur et sa puissance sont au centre des attentions mais du coup, ça tourne encore en rond. J'aime beaucoup le côté sulfureux de ces histoires, mais pas quand l'entier du livre est focalisé dessus. J'ai trouvé le rythme plus lent et qu'au final il ne se passe pas grand chose. Il y a beaucoup de nouveaux personnages, certains sont intéressants et intrigants, mais j'aurais préféré qu'il y en ai moins, mais plus développés.

Cependant sur la fin, j'ai adoré le tour que prend les derniers chapitres et j'ai hâte de découvrir ce que nous réserve ce récit, en espérant revenir un peu plus sur de l'action.

Jean-Claude est l'hôte de nombreux maîtres vampires qui viennent assister à l'évènement de l'année. Ceci étant déjà un stress pour Anita, c'était sans compter sur l'ardeur et son pouvoir qui prend de l'ampleur. Mais comme un malheur n'arrive jamais seul, Anita a du retard et vu le nombre d'hommes dans sa vie... Elle est complétement perdue et ses derniers ne réagissent pas à la nouvelle comme elle s'y attendait.

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