AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Henri-l-oiseleur


Une "novella", comme on dit dans l'édition anglo-saxonne, à savoir un récit plus bref qu'un roman, mais plus long qu'une simple nouvelle à la française ou à l'américaine (short story), dotée d'une chute et parfois d'un enseignement. Il s'agit d'une sorte de robinsonnade, puisque le héros se retrouve le seul humain survivant de toute l'humanité, réfugié dans une station scientifique de la planète Mars. Dans sa solitude, il rencontre des êtres artificiels, vrais ou non, et la seconde partie du récit retrace sa quête de la vérité ultime, des secrets les plus enfouis de l'univers. On connaît l'auteur pour son usage de la science dans sa science-fiction : son héros est capable de transmuer son chagrin d'être le dernier homme, et sa terrible solitude, en recherche du savoir et de la connaissance. Parfois, on pense un peu à "La nuit du faune" de Romain Lucazeau, mais sans l'esthétique ni le goût pour les arts de ce dernier. Après tout, la figure musicale de référence de ce récit d'Alastair Reynolds est Elton John. Ce n'est pas la même culture.
Commenter  J’apprécie          187



Ont apprécié cette critique (18)voir plus




{* *}