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Critique de Chofie
En bonne enfant des années quatre-vingt, j'ai grandi dans un monde où président, c'était un métier d'homme.
Sauf en Islande.
En Islande c'était une femme qui était présidente et à l'époque on voyait ça plutôt comme une curiosité sympathoche, mais probablement pas un truc appelé à se généraliser (et quand on voit le rythme de sénateur auquel progresse la parité en politique, on se dit qu'on est encore loin du compte).
Quarante ans plus tard, je suis ravie d'en savoir enfin plus sur l'histoire de Vigdís Finnbogadottír, qui fut donc la première femme du monde élue présidente au suffrage universel, mais aussi prof de français, directrice de théâtre, et la première femme célibataire du pays à adopter un enfant. Un vie pas banale présentée dans un album plein d'humour, et dont on espère qu'elle saura inspirer les jeunes lectrices !
Sauf en Islande.
En Islande c'était une femme qui était présidente et à l'époque on voyait ça plutôt comme une curiosité sympathoche, mais probablement pas un truc appelé à se généraliser (et quand on voit le rythme de sénateur auquel progresse la parité en politique, on se dit qu'on est encore loin du compte).
Quarante ans plus tard, je suis ravie d'en savoir enfin plus sur l'histoire de Vigdís Finnbogadottír, qui fut donc la première femme du monde élue présidente au suffrage universel, mais aussi prof de français, directrice de théâtre, et la première femme célibataire du pays à adopter un enfant. Un vie pas banale présentée dans un album plein d'humour, et dont on espère qu'elle saura inspirer les jeunes lectrices !
