Les trois quarts de l'humanité ont péri à cause d'un virus échappé d'un laboratoire (tiens, tiens !). Les survivants se regroupent dans deux villes de l'Ouest américain.
Il s'agit surtout d'une lutte entre le bien (représenté par une très vieille femme) et le mal (représenté par un homme en noir). Mais tout n'est pas aussi binaire et tous ont des moments de doute.
A la suite de cette lecture, je regarde à nouveau la mini-série éponyme, assez fidèle au récit et que j'avais vu lors de sa première diffusion à la télévision française, en 1995...
D'ailleurs,
Stephen King apparaît dans un des épisodes, ce qui laisse supposer qu'il ne devait pas être mécontent du scénario.
De toutes façons, ce livre représente un bon exemple de l'écriture bien rodée de cet auteur prolifique.
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