Samuel Rouget

Je commence sincèrement à me demander quand est-ce qu'un livre de cette maison d'édition va me décevoir, car j'enchaîne coup de cœur sur coup de cœur à chacune de mes lectures !



Ce livre n'a donc pas fait exception. On nous a vendu un livre dans l'ambiance des films Ghibli, de Avatar le dernier maître de l'air et de Zelda, et l'univers en est en effet un beau mélange.



L'héroïne est très attachante, très réaliste aussi, et les autres personnages sont tout aussi très intriguant, notamment le personnage de Grand-père qui semble cacher bien des secrets mais auquel on s'attaque énormément !



J'ai adoré la trope de "l'école magique" qu'on retrouve mais qui est super originale et qui m'a énormément plu ! Les jeunes Sylphes et Sylphides apprennent des matières toutes plus extravagantes les unes que les autres.



On a aussi beaucoup de mystère autour de l'absence totale d'écriture, de livres, qui semblent tous bannis et interdits. Les origines de l'héroïne, qui est différente des autres sylphes, sont aussi un grand mystère qu'on va explorer, je pense, dans les prochains tomes !



En bref, j'ai vraiment été subjuguée par l'univers et l'ambiance de celui-ci. C'est vraiment un monde tout en couleur, et la lecture nous fait voyager du début à la fin. Mais on décèle quand même quelques parts d'ombre, notamment avec tous les secrets que cachent les miroirs. Je ne veux rien spoiler, mais il y a quelques moments qui font froid dans le dos, et ces deux ambiances font vraiment de ce livre un chef-d'œuvre !



J'espère sincèrement que vous vous laisserez tenter, et que si ma chronique n'a pas réussi à vous convaincre, la magnifique couverture le fera peut-être !!

La couverture, aux allures de Zelda, éveille la curiosité et attire l'œil par ses nuances de bleu mêlées aux reflets argentés, parfait "miroir" du titre. Les illustrations de couverture, rabats et quatrième de couverture sont très à propos et en font un bel ouvrage (merci à Cécilia Lapeze).



L'univers du roman, qui est dominé par le Vent, peut sembler complexe au départ mais Samuel Rouget parvient rapidement à nous mettre à l'aise en armant ses descriptions de détails essentiels et savamment dosés (bien qu'un Annexe rappelant les Vents aurait été bienvenu). Les nombreux dialogues servent le rythme d'un récit qui jamais ne s'essouffle. J'ai particulièrement apprécié la première partie qui m'a semblé plus "magique", avec l'environnement de Puycrottier et les noms farfelus des champignons. La seconde et troisième partie marquent le début de l'aventure et les amitiés se nouent. J'ai souvent songé à Harry Potter lors de ma lecture. Bien qu'ayant son propre univers imaginaire, le Serment des Sept miroirs s'inspire avec plaisir de l'environnement scolaire de la saga culte !



Naalisse est un personnage perspicace abreuvée depuis son enfance par les histoires de son grand-père. Celui-ci lui a ouvert les portes de sa bibliothèque sacrée, véritable puit de culture qui rend sa petite fille plus qu'atypique au sein de l'établissement scolaire l'Etude (sans compter sa particularité physique). C'est un personnage décidé et confiant malgré sa différence. J'aime beaucoup Ilas également, qui me fait penser à Neville.



Le récit tient bien ses promesses avec des éléments perturbateurs de qualité et des épreuves entraînantes. J'attends néanmoins d'en connaître davantage sur les murs hors de l'école, sur ces fameuses planeuse et ces autres peuples. Si l'auteur continue sur sa lancée, le deuxième tome risque d'être encore plus mouvementé voire encore plus profond.



En somme, un roman intrigant qui évoque des thèmes chers à la jeunesse (amitié, origines, réussite au sein d'un groupe, famille) mais aussi aux Hommes de façon générale (respect de la mémoire d'un peuple, discipline, famille). Un roman rafraîchissant qui promet de beaux voyages.

Tout est une réussite dans Le serment des 7 miroirs : la couverture est magnifique, on ne se lasse pas de regarder les détails qui prennent tout leur sens une fois la dernière page tournée. Le contenu est à la hauteur : une intrigue bien ficelée dans un monde original qui ouvre énormément d'opportunités !



Naalisse est une jeune Sylphide de 13 ans. Elle vit seule avec son grand-père adoptif sur la planeuse de Puycrottier, une sorte d'île flottante comme des milliers d'autres qui forment Terreciel. Seule, pas tout à fait car Atshakak, une sorte de félin géant, a toujours été là dans un monde dont les animaux ont disparu lors d'une grande catastrophe. Et lorsque Naalisse, comme tout Sylphe de 13 ans, doit partir sur la planeuse de l'Etude, elle sait que ce ne sera pas facile car ses cheveux roses mettent en avant sa différence par rapport aux sylphes aux cheveux argentés.



Bien sûr, on retrouve un début assez classique de la littérature jeunesse depuis Harry Potter : le jeune "peut-être" élu qui part apprendre tout ce qu'il doit savoir d'un monde qu'il ne connaît pas et, éventuellement, sauver le monde. Mais Naalisse n'est pas du tout une copie de notre jeune sorcier, elle connaît le monde des Sylphes par toutes ses lectures, elle est curieuse aussi de connaître le monde d'en bas, et elle s'attend au rejet de la part des autres sylphes. Mais elle est également courageuse et décidée, surtout lorsqu'elle découvre qu'une menace pèse sur son monde.



Un monde magnifiquement imaginé et complexe : 7 peuples très différents, qui occupent le ciel et les terres basses et surtout, 13 vents qui permettent mille merveilles : voler, transmettre les rumeurs et bien d'autres encore !



Ce tome 1 est à la fois un merveilleux récit d'aventures et une immersion dans un monde incroyable que j'ai hâte de retrouver dans un tome 2 !



Un roman qui plaira aux ados et aux adultes mais qui peut être proposé dès 8-9 ans à un très bon lecteur.
Lien : http://abrrracadabra.com

Livre reçu en service presse, merci à @gulfstreamediteur !



Tout d’abord petite parenthèse. Ce roman est destiné aux 13 ans et plus. En tant qu’adulte, on a parfois une vision différente. Je dois dire qu’ayant lu énormément de fantasy, j’ai trouvé qu’on était dans une histoire assez basique (pour les 3/4 en tout cas, la fin diffère beaucoup) : une jeune personne différente des autres qui va aider à sauver le monde qui est en péril à cause d’une grande menace à laquelle personne ne croit et bien sûr elle a des grandes capacités. J’ai un peu moins pris de plaisir à cause de cela mais pour un jeune, cela passera parfaitement et lui plaira beaucoup, j’en suis sûr.



Plus l’histoire avançait et plus j’appréciais l’univers. On en apprend plus sur le monde, les différents peuples, leurs croyances et comment les sylves se sont retrouvés loin des autres. Et plus j’en apprenais et plus j’avais envie d’en découvrir. j’ai aimé découvrir les différentes utilisation des vents qui sert pour tout dans leur culture et qui est même devenu un divinité.



Naalisse a été éduqué par un homme bien étrange mais qui lui inculqué de belles valeurs et une bonne éducation. Grâce à cela et malgré les autres qui la repousse, elle arrive à tenir et à apprendre un maximum dans l’école des sylves. J’ai bien aimé son personnage et celui d’Ilas mais j’ai plus de réserve sur Horus.



J’ai beaucoup aimé la fin et je suis très curieuse de lire la suite !

Naalisse a grandi avec son grand père sur une planeuse (qui est une île flottante, pas le dessert mais littéralement une île flottante dans le ciel), à l'aube de ses 13 ans, elle rejoint l'Étude, où elle va apprendre à maîtriser les pouvoirs des vents en compagnie des sylphes et sylphides de son âge. L'intégration de la jeune fille, dont les cheveux roses ne passent pas inaperçus, ne se fait pas sans peine. D'autant qu'une menace étrange plane sur l'école et ses élèves...



La très belle couverture, avec ses reflets argentés et son inspiration manga, donne le ton de ce roman jeunesse, dont l'univers aérien rappelle les films du studio Ghibli. Le monde de l'Étude, et tout le lore construit autour des vents est également original et intéressant.



J'ai été moins emportée par un récit somme toute très classique (l'héroïne qui sort du lot et doit trouver sa place dans son école...) qui peine à démarrer. Tome d'exposition oblige, tout cela avance très lentement, jusqu'au dernier quart du livre où les choses s'accélèrent brusquement et où certaines scènes d'actions sont parfois bien confuses. Malheureusement l'ensemble ne suffira pas pour me convaincre de lire le T2.

J'ai reçu ce livre avec la masse critique. Je l'ai trouvé très agréable à l'oeil. Les couleurs sont douces et les effets irisés sont attirants. Les dessins permettent de bien visualiser les détails vestimentaires : Ipsim et Kapailes. On y retrouve tous les thèmes importants à l'âge de l'adolescence. La découverte de l'identité, l'amitié et les difficultés à être reconnu et intégré dans un groupe. Naalisse doit quitter sa famille, perdre les repères de l'enfance pour intégrer un nouveau monde, un genre de pensionnat perche dans le ciel, bousculé par des vents aux noms plus particuliers les uns que les autres. Cela demande, parfois, n peu de concentration dans un premier temps , comme le mot Kapailes, que je n'ai pas intégré immédiatement le concept. C'est créatif, cet univers et le vocabulaire peu courant donne une touche de nouveauté et d'aventure à ce récit. Il y a, bien sûr, les méchants en embuscades, et un monde caché qui recèle, sans doute, bien des péripéties à venir.

Musique de la nuit,

mélopée de l’oubli,

dans le souffle infini

compose nous ce récit.



Un récit où le cor résonne.

Une légende dont les réponses se cache dans les lignes qui n’oublient jamais et dans les miroirs qui renferment la folie des hommes depuis les temps qui précédaient le temps.

Une légende, murmure de l’oubli, où la vie appartient aux vivants et dont les mots dansent à l’ombre du silence.



Envolons-nous ensemble vers Terreciel et son étude, aux tours fières et puissantes, en compagnie d’une jeune fille aux cheveux d’un rose unique dans ces nuages à la blancheur parfaite.

Naalisse, l’une des trois de Puycrottier en compagnie de son grand-père et de sa vieille majesté, sera ainsi notre guide dans cette école et ce royaume éthéré d'îles mouvantes au gré du souffle d’Avel, dans cette aventure où notre héroïne devra être curieuse des autres tout en étant fidèle à elle-même et braver la mort, ipsims bleu dans le vent, pour un éclat de vérité.



Animée par le souffle, de tout être l’horizon, elle nous entraîne dans une année où les journées des jeunes Sylphes et Sylphides sont rythmées par les cours, la camaraderie et les découvertes en tout genres. Moins de mal que de peur ? Pas certain car il revient...

Les révélations s’enchainent au fil des pages et des souvenirs, lueurs dans la nuit, recherchées dans les histoires, les rumeurs lointaines et les vents passés.



Dans ces miroirs qui pourraient nous briser, les mots de l’auteur, dessins qui parlent et qui restent dansant avec la gravité sur les douze vents de ce monde, nous invite en des songes imprégnés d'une sensation «ghibli-esque » où chaque mot tracé à l’encre est un cri de l’âme pour rêver, rêver petit bonhomme, puis s’abandonner.



Alors à tous ceux qui tombent dans le vide, à tous ceux qui se sentent différents (quel terrifiant mot dans l’infini langage) et à tous ceux qui n’ont de combat que celui qu’ils mènent contre eux-mêmes, je vous invite à déployer vos ailes, porté(e)s par le souffle, et à lire ce petit bijou d’imaginaire qu’est le premier volet du « Serment des sept miroirs ».

Un moment de félicité. 🤍

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On est introduit dans un univers où les vents font Loi.

En commençant par le paysage : fait de roches flottantes, balayé par les Vents, donnant des airs de Steam Sailors ou de Planète aux Trésors. Le vent sous toutes ses formes n’est pas que l’architecte de cette cartographie mais est surtout un outil…



C’est ici qu’entre en scène Naalisse, jeune fille aux cheveux roses qui intègre l’institution de l’Etude afin d’apprendre, de comprendre et d’utiliser la magie des vents à bon escient. C’est l’occasion pour elle de sortir de l’autarcie dans laquelle elle se complaisait avec son grand-père et de découvrir ses racines. Mais sa quête identitaire ne sera pas aisée quand le regard des autres la voie et la traite avec scepticisme et indifférence, sous couvert d’une certaine crainte.

L’auteur donne voix à une jeune fille en perdition, qui se cherche mais sans tomber dans les clichés ni dans la juvénilité. Au contraire, on a à faire à un personnage justement écrit, ambivalent : son innocence et sa solitude la rende attachante. 🫂



Un récit qui appelle à nos sens tant la plume de Samuel y est représentative, nous transportant sans ambages dans un rêve éveillé.

J’ai trouvé le ton du récit assez poétique sans que le style soit lourd et malgré les enjeux de l’intrigue, la plume est une invitation au rêve tant la narration y est douce, flirtant avec l’onirisme. La magie des vents est complexe, poussée mais très intéressante à découvrir, j’ai été envoutée par ses vents aux aptitudes différentes, leurs particularités propres, ne pouvant m’empêcher de faire un parallèle avec mon quotidien finistérien. C’était une expérience des plus captivante !

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Prenant et merveilleux, un excellent premier tome qui interroge sur la notion de différence et de la force qui en résulte.
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Une très jolie fantaisie jeunesse, un joli conte à raconter aux enfants, une héroïne très attachante, un roman contemplatif avec une plume très fluide, c’était doux et mignon. L’intrigue était très prenante et je lirai le tome 2 à sa sortie avec grand plaisir

Avant toutes choses, prenons un instant pour admirer cette magnifique couverture ! Elle m'a immédiatement tapé dans l'oeil avec son ferrage holographique et son atmosphère à la Ghibli. Et lorsque j'ai lu le résumé, je me suis dit que cette lecture était faite pour moi !



Nous allons suivre Naalisse, une jeune fille aux cheveux roses vivant sur la planeuse isolée Puycrottier (une île volante) en compagnie de Grand-père. Ce dernier la recueillit alors qu'elle n'était qu'un bébé déposé sur le pas de sa porte. C'est un homme au grand cœur qui l'a élevé comme sa propre fille. À 13 ans, comme tout les jeunes sylphes de son âge, elle doit rejoindre l'Étude, une école dans laquelle elle va apprendre a maîtriser la magie des vents. Au fil de son apprentissage elle va découvrir que des choses étranges se passent à l'Étude et que tout cela est lié aux miroirs. Aidée par Horus et Ilas, elle va essayer d'en apprendre plus sur ces phénomènes.



Bien que l'intrigue mette du temps à démarrer, j'ai adoré cette histoire ! La première moitié est très axée sur l'apprentissage de Naalisse et la mise en place du contexte. Le rythme était donc assez lent. C'est néanmoins un mal nécessaire pour poser les bases et s'approprier ce fantastique univers. Ça manquait un peu d'action mais ça restait très intéressant ! Puis une fois passé cette moitié, l'intrigue devient très addictive, et je n'avais aucune envie de lâcher ce livre !



Le worldbuilding est incroyable, avec des décors exceptionnels et un système de magie original. La plume poétique de l'auteur contribue pleinement à rendre cet univers immersif et très visuel.



J'ai adoré suivre cette héroïne qui subit railleries et harcèlement à cause de sa différence. Elle est à la fois mystérieuse mais aussi d'un grand courage. J'ai également beaucoup aimé Grand-père qui est un sacré cachottier !



En bref, c'était trop bien ! Les pages se sont tournées toutes seules et j'ai hâte de poursuivre l'aventure de Naalisse et d'en apprendre plus sur les autres peuples !



Ce roman est une excellente découverte que je vous recommande à 1000% !

C'est un très bon premier tome. Plus j'avançais dans le roman et plus je l'appréciais. L'Univers est riche et bien pensé. L'intrigue est intéressante et bien différente de ce que j'ai déjà lue. Deux petits bémols : j'ai été un peu perdu dans les 20 premières pages par tout ce vocabulaire nouveau et non expliqué (mais on comprend tout par la suite). J'espère que les jeunes lecteurs ne s'en sentiront pas trop déroutés. Dans la première partie, la relation entre les différents personnages ainsi que certains dialogues manquent, pour moi, de naturel.

Mais quelle belle deuxième partie ! Tout se met en place et tout gagne en profondeur. Je n'ai plus qu'un envie : lire la suite des aventures de Naalisse et de ses amis.

On a ici un roman très poétique qui m'a énormément rappelé l'univers du château dans le ciel de Miyazaki.



Naalise a été élevée par son grand-père sur un îlot perdu et isolé du reste du monde. C'est un gros changement pour elle quand elle intègre l'Etude qui forme les syphildes à l'art de danser dans le vent, d'écouter les rumeurs ou de combattre. Malheureusement pour elle, Naalise a les cheveux roses quand tout le monde a les cheveux argentés, et à cause de cela elle est harcelée par les autres élèves mais aussi certains enseignants. En plus, elle commence à avoir des visions et à entendre des rumeurs comme quoi un mal risque de s'abattre sur son monde.



L'univers de ce roman et très riche et poétique, mais j'ai eu énormément de mal à entrer dans le livre, j'ai lu la première partie sans comprendre vraiment ce qui se déroulait dans l'histoire. Mais l'histoire vaut vraiment le coup et il faut s'accrocher ! Une fois la première grosse partie d'explication de l'univers et des premiers cours passée, l'action est prenante et il y a de nombreux évènements.



On a l'impression de revoir un peu l'univers d'Harry Potter avec les cours et les nombreux profs qui ont des caractères bien différents. Petit à petit d'autres personnages commencent à entourer Naalise, ils ont chacun leurs qualités et défauts et vont permettre à l'héroïne de prendre son envol.



Finalement, on a une histoire assez classique : une héroïne élue qui doit sauver le monde avec l'aide de ses amis tout en cherchant à comprendre son passé et ses différences. Mais le côté très poétique et onirique de l'écriture et de l'univers apporte un plus à ce roman.

Critique à chaud puisque je viens de terminer ce roman il y a à peine quelques secondes..



C'était incroyable ! Quelle aventure ! Les mots me manquent...

L'univers est si riche et travaillé. J'étais dans les airs avec Naalisse, j'étais dans la mémoire des ulutes et il me tarde de découvrir la Grande Bibliothèque des Valors, les voix tranchantes des Thars et les autres peuples des Basses Terres.

Je n'ai vraiment pas vu passer la lecture de ce premier tome, vivement la suite !!

J’aimerais débuter cette chronique en mettant en avant la beauté de la couverture. L’illustration est vraiment magnifique et l’effet métallisé lui donne encore plus d’éclat. Le style de dessin me rappelle énormément Final Fantasy, ce qui est un point très positif pour capter mon attention.



C'est avec beaucoup de plaisir que Samuel Rouget a réussi à me transporter aux côtés de Naalisse, une jeune fille très débrouillarde en quête d’aventure et d’identité. J’ai trouvé son personnage extrêmement attachant. Au début du roman, elle est un peu naïve, ce qui la met parfois dans des situations délicates. Cependant, son évolution tout au long du récit renforce son caractère et elle devient plus mature. Elle prend peu à peu son indépendance et saura affirmer ses choix, quelles que soient les conséquences. Les autres personnages qui gravitent autour d'elle viennent enrichir davantage son caractère et son développement.



En revanche, j’ai eu quelques difficultés à m’immerger dans l’histoire au début. La première partie m’a paru assez introductive et longue, ce qui a entraîné un certain ennui. Cependant, elle s’avère essentielle saisir pleinement les subtilités de l’univers et la progression de l’intrigue. Les parties suivantes se révèlent beaucoup plus dynamique et captivantes, me tenant en haleine jusqu’à la fin. À travers tout le récit, on sent que Samuel Rouget accorde une grande importance à la construction de son univers. Celui-ci est très complet et approfondi, ce que je trouve remarquable pour un livre destiné à un public plutôt jeune.



Toute la magie qui régit cet univers a également attisé ma curiosité. Elle est à la fois subtile et omniprésente. Bien qu'évoquée et utilisée à plusieurs reprises, elle n’est pas surutilisée. Naalisse sera confrontée à cette magie à plusieurs reprises et cela est très bien amené. J’ai également apprécié toute la dimension autour de l’apprentissage. Les sujets choisis par l’auteur sont très intéressants et bien développés. Par moments, j’ai même relevé des similitudes avec la célèbre saga Harry Potter, ce qui a renforcé mon plaisir de lecture.



En conclusion, c’est un roman original que je recommande chaudement à toute personne en quête d’un nouveau monde à explorer.

Je voulais vous mettre quelques citations, mais j’en ai relevé vraiment un nombre beaucoup trop important, et il m’est absolument impossible de faire un choix !

Alors je vais vous mettre la belle dédicace que j’ai eu;



« S’ouvrir aux autres est une aventure, se rencontrer soi-même est un combat. Méfie-toi des miroirs. »



Parmi les mots clefs qui étaient rattachés, il faisait mention que nous avions un beau bijoux ( holographique qui plus est) qui pourrait très clairement plaire aux amateurs du studio Ghibli, avatar le dernier maître de l’air et Zelda.

Et appréciant énormément la magie et l’univers de ces trois là… en plus d’être à la hauteur de l’annonce, j’ai été conquise par la plume et l’histoire !



L’univers est extrêmement riche, prenant et intéressant ( j’aurai peu être apprécié plus d’illustrations.. désolé les rabats du livre sont tellement beau.. que j’en voulais plus, ainsi qu’un glossaire pour les gens qui n’on pas de jugeote comme moi)

un monde complètement onirique avec une plume très cinématographique.. c’était d’une douceur et ce malgré des sujets tout de même assez rude.





L’on parle d’une quête d’identité, de faire face à la différence et en subir le prix.

On parle également de vivre à travers des traditions souvent devenue dénuées de sens à travers les âges, qui au final font plus de mal qu’autre chose.



J’ai énormément aimé ce premier tome et qui laisse énormément d’opportunités pour la suite, que ce soit pour la ( les?) quête principale, en apprendre plus sur des événements, sur certains protagonistes.. ( Grand père, je te volerai volontiers du livre pour t’adopter ! ) mais surtout.. sur tout ces peuples si différents des uns des autres.. on en a eu quelques bribes.. et là, j’attend qu’une chose, la suite !!



Bref, je recommande ! En plus l’héroïne a les cheveux roses ( meilleur argument )

Samuel Rouget nous transporte aux côtés de Naalisse, qui vit seule avec son Grand-Père et leur animal de compagnie. Ses treize ans approchant, la jeune fille s'apprête à quitter la seule maison qu'elle ait jamais connu pour rejoindre l'Etude, ou se retrouvent tous les membres de son peuple, les Sylphides, pour apprendre à maîtriser les Vents et intégrer la société. Mais ses cheveux roses la distinguent de ses camarades, et la désignent comme une étrangère. Elle devra lutter pour s'intégrer, alors que d'étranges évènements mettent en danger la stabilité de l'Etude, voire du peuple Sylphide...

La construction de l'univers est très intéressante. Samuel Rouget a réussi à créer un système de magie subtil et original, ainsi que des cultures uniques et fascinantes, à commencer par les Sylphides, un peuple aérien, les Ulutes, et d'autres que j'ai hâte de découvrir dans les tomes suivants. Naalisse est une héroine attachante, mais imparfaite, et elle évolue au fil de l'intrigue.

Ce premier tome est très prometteur, haletant, poétique et rafraichissant. Vivement la suite !

Ce roman est un moment de douceur et de poésie. Comme les personnages, on rêve de s'envoler dans les airs.



⚔️Mais, cela a beau être un young adult, il aborde des thèmes importants et certains passages sont assez durs .



✨Dans un monde de fantasy, que nous allons apprendre à connaître tout au long du récit, notamment avec des extraits à chaque début de chapitres, Naalise a été élevée par un sylphe, mais ses cheveux roses détonnent parmi ce peuple aux cheveux argentés. Quelles sont réellement ses origines ? Pourquoi a t'elle été déposée devant la porte de celui qu'elle appelle grand père ?



🔥Un peu à l'image d'un célèbre sorcier, elle va devoir faire ses preuves au sein de l'Etude, autrement dit l'école des sylphes. Évidemment, ses cheveux roses ne vont pas aider à son intégration. Heureusement, elle saura montrer sa valeur et ses talents, et s'entourer d'amis fidèles.



🌫️Mais certaines choses semblent lui être cachées, comme l'histoire de son grand père, les implications du fameux Tournoi où elle va devoir combattre et, surtout, elle fait des rêves étranges et angoissants qui l'avertissent d'un terrible danger. Doit-elle les croire alors que les adultes semblent sceptiques ?



🌅Tous ces questionnements l'amène à vivre une grande aventure, qui implique les sept peuples de ce monde.



🌄Si on sent bien l'influence du sorcier à la célèbre cicatrice, l'auteur développe son propre univers, univers dont on entrevoit les implications futures, qui promettent d'être très intéressantes.



🌬️Ici, nous allons surtout suivre ces jeunes sylphes et je me suis sentie dans une bulle de douceur en lisant ce récit, même si son développement va vers quelque chose de plus grave et intense.



🌪️On espère et on souffre auprès de Naalise, cette héroïne si attachante, manquant d'assurance mais si courageuse et déterminée. Ses amis joueront un rôle important ainsi que son grand père.



☄️Nous sommes entraîné dans un univers construit, aux personnages bien développés et le récit est passionnant du début à la fin.



🪽Je recommande ce roman pour tous les âges.
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