Dans ma tête, les exaspérations de Christophe Profit font encore des étincelles. "Rénover un refuge désaffecté pour y mettre encore des dizaines de personnes, comment définir ça ? L'appât du gain ? Veillons à ne pas transformer la montagne en Disneyland. Si, entre Vallot et le sommet, il y a cent personnes devant et cent personnes derrière, le passage n'est pas large, c'est dangereux pour tour le monde. On passe progressivement de 'planète passion' à 'planète fric'. Bien sûr qu'il faut de l'argent pour vivre, mais j'ai envie de survivre. Et que mes clients rentrent chez eux sains et saufs."