J'avais inconsciemment protégé l'image du père en moi. Malgré sa violence et son crime je lui avais toujours cherché des excuses [...] je m'étais toujours dit qu'il devait m'aimer, car j'étais son fils, et qu'un père aime toujours ses enfants. Je devais accepter que ce n'était absolument pas le cas. La violence ne pouvait pas coexister avec l'amour. Mon père ne m'aimait pas.