La maladie addictive ne guérit jamais vraiment. Et Louise le savait mieux que quiconque. Mais qui peut se targuer de n'avoir aucune dépendance ? A la nicotine, à l'alcool, au sexe à l'argent, au travail, aux jeux vidéo, et même au sport ? Tout plaisir, même banal, entraîne un besoin toujours plus fort, plus puissant, plus grisant. Et quand une substance disparaît, une autre la remplace. Il fallait vivre avec. Elle devait vivre avec.