Mais les histoires, on les raconte " après ", elles émergent toujours après les faits qu'elles racontent. Le mythe du "déclic", parce qu'on l'attend, rend passif. Il est dangereux en ce qu'il participe de l'apathie. Il contribue à créer des légendes destinées à endormir les gens, ou à nous endormir nous-mêmes.