L'extinction des espèces ne résultera que de la mort douloureuse d'un nombre incalculable d'individus. Ce ne sont pas alors des statistiques qui diminueront, mais des vivants qui expireront.
La souffrance peut-elle ne pas être prise en compte ? Derrière la vie, il y a les vivants. Tout est là. Ce ne sont pas des idées qui vont devoir - par nos choix - tenter de survivre à l'effondrement : ce sont des personnes.