J'avoue que j'ai choisi ce roman policier pour ce que je présupposais de sa simplicité de lecture.

Et j'ai eu une bonne surprise ! C'est effectivement très simple à lire mais bien construit et plaisant ! On s'attache sans problème à la pétillante Trudy Loveday mais également à l'austère Dr Clement Ryder. L'intrigue est bien amenée et si, par déduction, j'avais trouvé le coupable, j'étais très loin du compte pour le mobile !!!

Sûr que je lirai le deuxième tome avec plaisir !

J'avais envie d'une lecture "facile", mais pour autant bien écrite, et c'est exactement ça. Un parfait livre de vacances : fluide, plutôt amusant, au coeur d'Oxford, un duo au départ que tout oppose, une énigme policière, des bâtons dans les roues, tous les ingrédients sont présents pour passer un très bon moment.

chers et trop indulgents amis de Babelio me revoilou , aprés une douloureuse opération suite a la fracture de mon col du fémur ( moi qui ne cassse rien !!!) , mais bon ne jouons pas les Tamalous dont la capitale du pays est Bobolà . On ne se débarasse pas de moi si facilement . Donc le dernier volume des enquêtes de Loveday et Ryder me laisse un goût d inachevé certes nombre d'auteur(e)s ont tendance a user la corde jusqu'au bout . Il me semble que le duo avait encore de la marge , dans cette Angleterre des années 60 qui même très différentes des notres éveille des souvenirs nostalgiques chez beaucoup de vieux croûtons septuagénaires comme moi . C est avec un petit pincement de cœur littéraire que je vois séloigner le binôme dans le soleil couchant sur les toits Oxfordiens Bref ça m enquiquine D autant plus qu en ces temps de douleurs les autres bouquins lus sont de sacrés navetons J hésite à les commenter sauf a aiguiser les couteaux .Amitiés à tous

3ème opus de la série Loveday et Ryder qui gagne en "épaisseur".



Le personnage de Loveday se "densifie", elle est moins naïve et ses réflexions dans l'intrigue s'en trouvent plus abouties.

Le docteur Ryder est moins distant que dans les 1ers premiers tomes et le duo trouve bien son rythme.



Un concours local de Miss se voit entaché de plusieurs problèmes rencontrés par les candidates. Est-ce l'œuvre d'un mauvais plaisantin ou est-ce plus grave ?

Lorsque l'une d'entre elle est retrouvée morte après avoir ingurgité une potion sensée rendre sa peau plus nette et plus lisse, le stress gagne toutes les concurrentes.

Ce breuvage était fabriqué à base de baies très nocives.

Personne ne sait dire si la victime avait concocté elle même cette boisson ou si une autre personne a intégré ces baies dans le liquide. Alors, accident, suicide ou meurtre ?



Loveday et Ryder vont enquêter discrètement et Loveday va même jusqu'à intégrer le concours pour vivre de l'intérieur les relations entre les candidates. La concurrence est rude et certaines sont très ambitieuses.



Un très bon cosy crime et un duo d'enquêteur très sympathique. Et toujours cette ambiance des années 60 très réaliste.

Le souci avec les cosy mysteries, c’est qu’il y a souvent plus de cosy que de mystery. Dans un roman policier, je ne cherche pas les histoires d’amour, les recettes ou les potins du village... Il y a donc eu pas mal de déceptions. A part L.B. Hathaway et sa délicieuse Posie Parker, bien peu de sagas trouvaient grâce à mes yeux! Je pense désormais avoir trouvé deux concurrents sérieux avec la série « Loveday et Ryder » de Faith martin.



Si ma queen Posie évolue dans les années folles, on est catapultés ici dans les années soixante, à l’aube de grands changements culturels et sociaux. A Oxford, ça bouge déjà beaucoup dans les clubs underground où de nombreux groupes se prenant plus ou moins pour les Beatles viennent se produire devant des fans énamouré.es. C’est le cas des Rainbirds, qui semble promis à un très beau succès et qui viennent d’ailleurs d’être approchés par un impresario prestigieux. Enfin, c’était le cas jusqu’à la mort tragique de leur chanteur vedette... La police voudrait conclure à une mort accidentelle mais le coroner Clement Ryder n’est pas convaincu. Avec la jeune policière Trudy Loveday, ils vont tenter de faire la lumière sur cette affaire.



J’ai été complètement séduite par l’ambiance rétro et le duo d’enquêteurices aussi dissemblables que complémentaires. Le rythme est bon, les chapitres s’enchaînent et l’intrigue est intelligemment ficelée. Dommage que ce soit le dernier opus de la série, Clement Ryder devant malheureusement tirer sa révérence! Qu’à cela ne tienne, je rattraperai les 7 premiers tomes. On me glisse d’ailleurs à l’oreillette que Faith Martin est l’autrice de plusieurs séries dans la même veine. A creuser!

Retournons à Oxford dans les années soixante, où l'héroïne doit toujours faire face au machisme de ses collègues. J'aime bien lire cette série qui rappelle que ces années-là, ne sont pas si loin. L'enquête se situe dans la haute société habituée à mentir. Là, l'enquête est basée sur une période très froide, difficilement imaginable aujourd'hui, où les gens ne peuvent pas sortir à cause de la glace. Un polar sympa à lire.

Déjà la quatrième « aventure » de l’agente Trudy Loveday et du coroner Clement Ryder. Celle-ci prend un ton à la fois dramatique et pensif : enquête sur la mort d’un enfant de dix ans lors d’une chasse aux oeufs, qui ressemble d’abord à un horrible accident mais se révèle un meurtre grâce au flair de nos deux enquêteurs, une enquête qui mêle le monde des petits aristocrates de campagne et le monde feutré de l’université d’Oxford ; réflexion intense pour nos deux détectives, Trudy se posant des questions angoissantes sur l’état de santé du coroner (angoisses partagées de son côté par Clement – mais aucun des deux ne se résout encore à en parler à l’autre) et sur son travail dans la police. Une fois de plus, je me suis laissé entraîner dans la ville et la campagne autour d’Oxford, une société encore fortement corsetée dans les usages et les clivages sociaux, aux secrets bien gardés, qui évolue cependant mais où les femmes comme Trudy doivent courageusement conquérir leurs droits.
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Dernière danse à Oxford est annoncé comme le dernier tome de la série Loveday et Ryder.



Dans une boite de nuit, le chanteur d'un groupe en plein essor est décédé de façon suspecte. Si à première vue, l'accident est le plus probable, le coroner trouve que certains détails ne collent pas vraiment. Sentant sa maladie le rattraper à toute vitesse, souhaite-t-il un dernier baroud d'honneur en cherchant la petite bête là où il n'y en a pas ou bien son intuition est-elle toujours intacte?



Si l'enquête est toujours aussi prenante et qu'il est toujours aussi agréable pour moi de voir Loveday s'émanciper de la tutelle de son mentor et prendre confiance en elle, la répétition régulière de la probable démission de Ryder m'a un peu lassée. De plus j'ai trouvé que la fin de ce roman était un peu sèche pour une fin de série et laisse certaines attentes en suspens. Dommage, j'aimais beaucoup cette série autant pour ses enquêtes, que pour ses personnages ou son contexte historique.