Betancourt J. Gregory. Ambre et chaos. 2003. Gallimard - Folio SF. 2005. 388 p. 4 étoiles.

Second tome du cycle préquelle d’ « Ambre », (Zelazny).

Ma critique du 1er tome : babelio.com/livres/Betancourt-Prelude-aux-neuf-princes-dAmbre-tome-1--Les-neuf/33142/critiques/3888050

Cela démarre très mal, une nouvelle fois. Je lis quelques lignes du chap. 1. Tellement nul que je le passe. J’ouvre la fenêtre…

Heureusement cela ne dure pas !

Très intéressant :

- Chap. 2 : le rendu des sensations que l’on pourrait éprouver quand on découvre un monde régit par le chaos.

- p. 81 : une porte qui parle…et je visualise comme dans un dessin animé. 6 pages de discussion pour pouvoir entrer 😊

Bon, à part cela, l’histoire commence à stagner et mon énervement à augmenter.

p.112 : pourquoi Obéron a-t-il choisi de tuer les sous-fifres du sorcier Zon plutôt que ce salopard qu’il avait à sa portée et qui était en train d’affreusement torturer son frère depuis des DIZAINES de…mois ? Explication de l’auteur ? Non -> Incohérence. Evidemment Zon s’échappe. Et Obéron prend une branlée. Bof. Tristesse.

p. 153 : cela n’avance pas. Bla bla bla. Les protagonistes, l’action, tout se déroule au même endroit.

Et puis enfin, comme pour le 1er tome, le récit démarre !

Et cela devient très bon ! Très très bon. Voilà. Même perception que pour le tome 1.

Belote,, rebelote et…pas de 10 de der car j’en ai assez qu’on me fasse lanterner. Je ne lirai pas le tome 3.

Déjà là avec ces 2 1ers ouvrages on vit la création d’Ambre, et de ses mondes parallèles (Ombres) régentées par Dworkin, une insulte aux Ombres de la cour du roi du Chaos.

J’ai démarré le tome 1 du cycle des Prince d’Ambre et cela s’enchaîne bien.

Betancourt J. Gregory. Les 9 princes du Chaos. 2002. Gallimard - Folio SF. 2004. 343 p. 4 étoiles.

Le 1er roman de JGB d’un cycle de 3 romans, préquelles au cycle/monument « Ambre », écrit par Zelazny. Et que j’avais lu d’une traite il y a plus de 20 ans. Et que j’ai envie de relire en commençant cette fois-ci par les préquelles.

J’observe que pendant les 60 premières pages, le style littéraire est un peu « passé », …trépassé.

Je commence à m’énerver devant les incohérences qui se succèdent mais sur la même veine. Pour lui sauver la vie, le héros, Obéron, est transporté malgré lui par son Oncle Dworkin à travers les mondes (Ombres), et se pose des questions tout en éprouvant de vives frayeurs. Où suis-je, que fais-je, qu’acoustiquais-je, est-ce bien dieu possible, etc…

Et cela dure des dizaines de pages. Or ce type est le bras droit d’un roi en guerre depuis plus d’un an contre des forces de…l’Enfer. Hommes-lézards, chevaux qui crachent le feu,…Bref, il en a vu des vertes et des pas mures…

Explications de l’auteur ? Non. Donc incohérence (monumentale).

p 96. Toujours trop de question. Je suis sur le point d’abandonner, complètement dégoûté.

p. 104. Obéron commence à piger ce qui lui arrive…Le billet finit par atteindre le sol.

p.110. Le roman démarre (ENFIN). J’étais à 2 doigt de le fermer et de l’envoyer par la fenêtre.

Et là je me sens « accroché / hameçonné ».

Et ce sera bon jusqu’à la fin ! Les pages s’enchaînent à un rythme effréné.

p.157. Excellent passage, beaucoup de plaisir.

p. 168. Une pointe de spiritualité (advaita vedanta).

De l’action, des révélations, …

p.248. Le héros se pose des questions …de bon aloi. Enfin !

Je souris. C’était un bon roman !